Saales

i*(J-l oi atlAt 1* :11aJ pgl a' dJ-Ib,, :\a;" JlXt ,!( te *3 arFrr ;f.I- fe\-r! Ur"/ gF >t} ,.^t-J-r- ,,t') -'g-a"*\ F e! 'll! 'p)LJtl "-:(Jr ,e) co j1\ "-u-ltr..+Ir t'*Ji .; -,\ F c'-r\f\ Q c""4G ;)\-J\ ,jl * ,.-,,\.,r *r .r*U ,*<i J-: t' ..!SaaL+; ^1 1.-riL-Jr; ;-";*lr oir\rr* .--it i,->3\) U))it* r+'t! u+,^+ .;$jJ\ ;trJt 4l; A:; JI t;,t\ !J\ L-(a; eg &Jt ouu*J\ J! L-\.t-\ r+\-rl U-q- kr t' o-; -!i o+ i r)'Jr. f.-,J .) ;)-.oJl "J" di ( :rUt d L, ej--t^-r JL- j * ,k'

-à-dire le vaste territoire qui s’étendait de l’Elbe au Rhin moyen, fut atteinte dès 906 et, depuis lors, plusieurs fois mise à mal. Dans l’Italie, on les vit pousser jusqu’à Otrante. En 917, ils se faufilèrent, par la forêt vosgienne et le col de Saales, jusqu’aux riches abbayes qui se groupaient autour de la Meurthe. Désormais la Lorraine et la Gaule du nord devinrent un de leurs terrains familiers. De là, ils se hasardèrent jusqu’en Bourgogne et au sud même de la Loire. Hommes des plaines, ils

sensuel qui était déjà le cœur du fait poétique dans L’Entretien sur des poèmes21. Hofmannsthal, après cet effort de prise en compte de la réalité sociale, approfondit son raisonnement : „Davor flüchten sie zu unzähligen Hunderttausenden in den finsteren Saal mit den beweglichen Bildern. Dass diese Bilder stumm sind, ist ein Reiz mehr; sie sind stumm wie Träume“22. Le cinéma muet rejoint ainsi à la fois l’art de la pantomime et l’univers onirique, ce qui évoque les propos tenus par Hofmannsthal, en référence