Rêves Réalité

souligner que ce que nous percevons comme étant la réalité nous trompe au point que l'on peut s'interroger si la vie réelle n’est pas moins inconstante que le rêve. Ainsi il convient de se demander en quel sens peut-on dire que la vie est un songe ? de quelle manière pouvons-nous savoir que nous ne rêvons pas ? Qu’est-ce qui permet de s’assurer que nous soyons éveillés, qu’il existe une réalité ? I) Vie et songes n'ont pas de frontières si nos rêves étaient plus constants, ils seraient complètement

libre (sans jugement, ni moral) permet d’atteindre ce 2ème niveau de la conscience et de libérer le patient. Il entame ainsi son exploration de la conscience dont il va dresser la cartographie via ses 2ers topiques ainsi que son interprétation des rêves 1er TOPIQUE : 1er schéma de l’appareil psychique La 1ère topique décrit l’appareil psychique comme partagé en 3 instances : L’inconscient séparé de la préconscience et de la conscience par la barrière mentale de la censure. Le préconscient et la

d'autrefois. Le résultat est un roman qui se déroule comme un souvenir d'enfance, où la séparation entre rêve et réalité est incertaine, et tout est pénétré de sentiments de nostalgie et de regret. Ce lien avec le monde de l'enfance et de l'imagination était déjà très fort dès le début: en 1905 il décrit son projet de roman comme un ouvrage sans personnages et sans histoire, pour laisser la place aux rêves qui se rencontrent ou encore, en 1910, comme un roman d'aventures et de découvertes. L'enfance, les paysages

difficilement nier que nos mains sont les nôtres et que les objets qu’elles tiennent sont réels. Cela le mène alors vers un autre monde des sens, celui des rêves. Parfois extrêmement concret, ceux-ci sont cependant le fruit de notre imagination. C’est alors qu’il nous fait supposer que nous sommes endormis, bien sûr le songe n’est pas réalité, mais les couleurs qui le compose et l’illusion qu’il crée sont véritables. Puis, il avance deux théories, sur le créateur du monde. D’abord celle où le Dieu

sensibles. Si l’on cherche à expliquer, c’est donc que l’on veut dégager les causes, les lois de fonctionnement, qu’il s’agisse d’un phénomène naturel sociologique ou psychologique. La vérité d’une explication renvoie à sa correspondance avec sa réalité. Elle est donc vérifiable. On présuppose donc que la connaissance tend vers une approche de la vérité. Ici, il s’agit de la connaissance du monde, donc de comprendre comment celui-ci fonctionne et de ce fait de mieux l’appréhender. Dans ce cas,

Il y a urgence à philosopher sur cette question qui nous obligent à rester septique :croire dans tous les faits possible est-t-il possible? Rêve et réalité l'être humain peut-t-il être induit à confondre ces deux « notions » ? la question existentielle à laquelle l'individu est confortée est-elle la mort ou la recherche du bonheur? Quel est le rôle de mon identité par rapport aux faits possible ? L'expérience est-elle nécessaire ? Par quoi cette expérience doit-t-elle passée ? La vérité est-elle

Préface D’un point de vue scientifique un rêve n’est qu’une suite d’image produite résultant de l’activité psychique, seulement, comme nous le savons tous, les rêves représentent bien plus que cela. Certaines fois les rêves sont des endroits magiques ou seul la joie ponctué d’émerveillement ne sont autorisés d’autres fois nous nous retrouvons plongé dans le domaine de la peur, de la colère et du cauchemar. Les poèmes proposés dans cette anthologie forment un voyage onirique au travers des différents

part de ses avancées notamment en revenant sur la théorie des rêves dans le premier chapitre. Il traite également de la décomposition de la personnalité psychique (le Surmoi, le Ca, le Moi), de la vie pulsionnelle et de l’angoisse ainsi que de la féminité. Dès la première page du livre, nous comprenons bien que Freud s’adresse à un public d’amateur éclairé puisqu’il amène d’emblée le lecteur sur la question de l’interprétation des rêves et de son travail d’élaboration. Il ne redéfinira pas les notions

sa confiance. Cette façon de voir les choses place les illusions comme préjudiciable pour l’Homme. A certains degrés, les illusions peuvent être des prisons individuelles dans lesquelles les humains s’enferment pour ne pas avoir à faire face à la réalité. II) les illusions positives Néanmoins, pour une majorité de personnes, toute personne ayant elle-même des illusions en fait, ces dernière sont plus profitables que néfastes. Qui n’a jamais entendu l’expression : « l’espoir fait vivre » ? Dans

«  elle éprouvait des angoisses vives », « maintenant au moindre bruit, il tremblait, il palissait, comme un petit garçon ». Zola n’idéalise pas les sentiments mais présente bien la peur des deux personnages sous son aspect premier, il décrit la réalité telle quelle est : «  Et, chaque jour, l’épouvante des amants grandissait, chaque jour leurs cauchemars les écrasaient, les affolaient davantage. » Pour décrire l’évolution des sentiments des acteurs : Thérèse et Laurent, de manière objective, il