Rêves Et Cauchemars

le néant : La contemplation de la nature prend dans l'âme romantique une dimension surnaturelle qui la confronte à l'infini La Nuit : La nuit est pour la sensibilité romantique une temporalité particulière qui favorise les fantasmes, les rêves et les cauchemars Le Rêve et la rêverie : Source de création, la rêverie excite l'imagination à recréer le monde L'Orient : L'exotisme imaginaire de l'Orient a été poussé dans ses plus hauts degrés Le Médiévisme : étude du Moyen-Age La Nature : incarnation

A quoi servent les rêves Nous passons plus de la moitié de notre temps à dormir et plus d'une heure et demie à rêver, ce phénomène suscite bon nombre de réflexions chez les théoriciens tel que Freud et laissent place à l'interprétation chez les producteurs, cinéaste, écrivains de science fiction ou de récit fantastique, le rêve diurne en est lui aussi à de nombreuses reprises sources d'inspiration. Comment expliquer ce phénomène ? quel est l'impact sur l'homme ? C'est ce que nous allons

tout dit. On peut dire à chaque fois davantage. E.W. : Dernièrement, j'ai écrit dans mes rêves. Je rêve de plus en plus de cette période-là. Au commencement, pendant la guerre, on rêvait d'autre chose, de nourriture, de paix. Chez moi, je rêvais de Shabbat, de fêtes juives, de ma famille. Ensuite, après la Libération, c'était différent. Et maintenant, de plus en plus, presque chaque nuit, une sorte de cauchemar. Je me retrouve là-bas. Le matin, je me lève et j'écris très vite ce qui me reste de ces

principal, que l’on retrouve dans la lettre que Nathanaël adresse à Lothaire (chapitre I). En effet, Nathanaël continue d’être hanté par la figure de Coppelius qui a traumatisé son enfance. Son poème n’est en réalité que la mise en vers d’un cauchemar : une succession de visions, de situations, qui ont pour point commun l’horreur : « l’horrible Coppelius » ; « pénétraient [dans le sein] avec l’ardeur de deux chardons ardents » ; « [Coppelius] le jetait dans un cercle de feu » ;  « gémissements » ; 

et sa terreur de la mort. De la Mort ? Tiens, tiens… Jetez-la dehors par la porte… Lorsqu’on s’égare dans les méandres de son propre esprit, alors naît le rêve qui exprime ces trois terreurs primitives : la nuit, le surnaturel, la mort. Les trois rêves poétiques qui vous ont le plus fait réagir le mois dernier exploitaient ces trois peurs et ont provoqué la vôtre : phénomène d’inconscient collectif. Lire ainsi les mêmes effrois sous trois plumes différentes, à des années d’intervalle, a pu vous faire

n’être qu’un rêve, bon ou mauvais peu importe, mais cesser de se torturer l’esprit à la recherche d’une explication logique à sa situation actuelle. Il aurait voulu, jusqu’au fond de lui-même, croire que le réveil allait bientôt le délivrer de ce cauchemar qui avait de plus en plus d’emprise sur son existence, ses états d’âme et sa façon de voir et de comprendre les choses. Il resta dans cette posture un long moment avant de décider d’ouvrir l’unique fenêtre de la pièce pour laisser pénétrer

psychique à un sens même si ce sens ne nous est pas accessible : Freud suppose qu’il existe un lieu psychique qui nous échappe (= inconscient) -> souligne le fait que les symptômes névrotiques et les rêves sont liés à l’inconscient  analyse des rêves -Correspond avec Fliess à propos de ses recherches sur les rêves = auto-analyse (à la mort de son père en 1896). Découvre que l’inconscient occupe une place centrale dans la vie des individus + sentiments amoureux inconscient à l’égard de la figure maternelle

rêve de Gala avait été arrêté, mit sur pause pour que Dali le photographie, et le peigne. La couleur principale de cette œuvre est le bleu, c’est également la couleur du rêve. La réelle question que je me pose alors : est-ce un rêve ou un cauchemar ? Tous les éléments agressifs allant vers Gala, laisse à penser qu’elle est menacée. Liens Cette œuvre est placée dans l’objet d’étude « Mémoire collective, mémoire de l’individu » car elle reflète le rêve de Gala, femme et muse de Dali

arcades et à passer des après-midis complets à faire du lèche-vitrine avec mes copains, désormais, un week-end sur deux, je devais le passer chez mon père, dans un trou perdu de la campagne, au milieu des prairies, des fleurs et du blé… Mais mon pire cauchemar allait commencer. La première fois que j'en ai vu une, j'ai paniqué. J'étais dans la salle de bains quand c'est arrivé. Je ne savais pas trop comment réagir avec elles. Je n'en avais jamais vu d'aussi près avant... enfin, je veux dire, en vrai.

d’étranges signes qui semblent renvoyer à de très sombres secrets. Face au passé enfoui des villageois, face à la mystérieuse femme en noir qui hante les lieux et s’approche chaque jour davantage, Arthur va basculer dans le plus épouvantable des cauchemars… "Houston, nous avons un probleme", c'est la phrase qui, le 13 avril 1970 a 21h7, fit sursauter les hommes qui surveillaient un vol de routine du vaisseau "Apollo 13" depuis la salle de controle de la NASA. Un des reservoirs d'oxygene venait