Résumé Généalogie De La Morale

autre de ses textes (« le genre, une catégorie utile d’analyse historique », en 1986, dans la revue the american historical review, elle explique qu’elle souhaitait y mettre un point d’interrogation) elle explique qu’à côté de cette généalogie militante, il y a une généalogie épistémologique du genre : l’effervescence que connaissent les chercheurs de sciences sociales. Années 70 : période de recherche intense, autour du structuralisme et du post structuralisme aux EU. Lien entre la troisième vague

vient de quelque chose qui dépasse le monde, qui le transcende. Elle vient des muses = filles de Zeus (donc du divin). Du coup, il faut les invoquer, leur rendre grâce. Le premier qui naquit fût le vide/ le chaos. Ensuite, Hésiode déroule la généalogie. Mais au niveau de la temporalité c’est paradoxal : personnages divins nés après le vide. Dans la mythologie, il n’y a pas de linéarité, de temporalité. Pour les Grecs, il n’y a pas de temporalité : le temps est cyclique, il est non ordonné (pas

La morale Introduction : Au nom de quoi imposer des règles, des normes, ou des lois morales valables pour tous ? Ne peut-on pas au contraire souscrire à la thèse relativiste à chacun sa morale ? Qui est une reformulation du principe : à chacun selon ses choix ? Il est clair que la question morale aura à voir avec celle de la liberté et des différentes manières de la concevoir. Sans aucun doute, une morale hédoniste ne pensera pas la liberté comme une morale du devoir. Cependant, il est possible

est si difficile de se déprendre. Plus spécifiquement, Bourdieu indiquait à quel point il serait précieux d’avoir en main « l’histoire des formes institutionnalisées de production, de communication ou d’évaluation des connaissances », ainsi qu’une généalogie « d’institutions telles que le dialogue, disputatio, disputes des collèges jésuites, cours magistral (...) » (Bourdieu 2000, p. 4). « De la dispute au colloque : contraintes et enjeux de la discussion savante (XVIe-XVIIe siècles) » s’attaque précisément

toujours valable, comme les vieux ideaux. Cycle des "Rougon-Macquart" Bref résumé et analyse de l'oeuvre L’Histoire En 1869, Zola décide d’écrire une œuvre, à laquelle il donnera le titre de « Rougon-Macquart » : il veut conter l’histoire d’une famille française en mettant en évidence que les milieux et les facteurs héréditaires déterminent les comportements des hommes. Fidèle à son idée, il élabore la généalogie de cette famille. Tout commence grace à Adélaide Fouque, une jeune femme qui

convergents, résultant d’un consensus critique et différenciée ou d’une justification complexe. Si on introduit le langage des sphères de justice (comme Walzer) ou celui des cités (comme Boltanski–Thévenot et Boltanski–Chiapello[8]), le Bien commun ne se résume plus à une abstraction a priori ou à une visée asymptotique et idéale ; il ne résulte pas non plus, comme dans les options utilitaristes, d’un simple calcul mathématique d’intérêts ; il devient le résultat tangible et fragile, toujours provisoire

RESUME – LES ESSAIS, LIVRE I, MICHEL DE MONTAIGNE (1ÈRE PARUTION, 1580) Montaigne informe le lecteur qu’il écrit ce livre pour se décrire, afin qu’on le comprenne. 1) LIVRE PREMIER 1.1) Chapitre I : Par divers moyens on arrive à pareille fin A travers plusieurs histoires qui illustrent la vertu de certains hommes, Montaigne semble exprimer que la pitié ou la bravoure peuvent avoir le même résultat face à la haine et au mépris. 1.2) Chapitre II : De la tristesse Montaigne traite de la tristesse

Constant prône le système représentatif, qu’il définit comme une procuration donnée par les citoyens à ses mandataires. Liberté politique et liberté individuelle doivent être combinées. Le but n’est pas seulement le bonheur individuel, il est aussi moral : c’est le perfectionnement du genre humain. L’auteur Né en 1767, d’une famille protestante suisse d’origine française, Benjamin Constant a connu une vie agitée, notamment dans ses relations avec Mme de Staël, et passé pour une girouette, successivement

mettre entre parenthèses le lien de celle-ci à une Histoire événementielle de type politique. C’est en fait la condamnation morale de l’eloquentia corrupta qui s’impose dans les textes du er s. Le topos de la rhétorique décadente prend place dans un réquisitoire contre la civilisation contemporaine. Les deux Sénèque reprennent ainsi les griefs traditionnels de dissolution morale et de mollesse efféminée pour les appliquer aux orateurs jugés décadents. Les textes ne cessent de mettre en scène l’opposition

à travers ce qui, entre-elle, fait médiation, à savoir l’objectivation d’un risque. Un problème important se pose est la distinction fondamentale entre un diagnostic de certitude et un diagnostic de probabilité dont des problèmes de conscience, de morale, et de responsabilité compte tenu, du comportement de l’individu et du tissu familial face à 2    l’éventualité des redoutables problèmes de la prédiction d’où des considérations éthiques et juridiques et sociales. Comment établir la frontière