Réquisitoire Contre Germinal

* Nombreux appels * Beaucoup de juridictions d’exceptions mal délimitées * Juste déléguée en panne * Juste retenue abusive (lettre de cachets) * Procédures et peines archaïques * Emprisonnement souvent arbitraire * Haine contre les prisons II. Des abus constatés dans les finances et le social A. Des abus financiers faisant monter la gronde de la population * privilèges * beaucoup d’inégalité dans la répartition de l’impôt. * charges fiscales de plus

critiquer les grandes décisions royales. III. Révoltes et révolutions avant 1789 a) La Guerre d’Indépendance américaineEn 1776, l’économie britannique sur le continent américain se révolte contre l’autoritarisme royal. Les colons ne supportent pas la pression fiscale du roi et proclament leur indépendance le 4 Juillet 1776. Ce conflit a une résonance mondiale, certains français y participent comme La Fayette, ce qui conduit la France à s’intéresser

philosophique car ils cherchent à expliquer une destinée : La Peau de chagrin (1831), Louis Lambert (1832) et La Recherche de l'absolu (1834) content la quête d'un idéal esthétique, mystique ou scientifique. Les autres offrent, comme une sorte de contre-point, une analyse détaillée et une description minutieuse d'un milieu et des mœurs : il en est ainsi des Scènes de la vie privée (1830-1832) et d'Eugénie Grandet (1833). Mais c'est après la rédaction d'Eugénie Grandet et du Père Goriot (1834-1835)

 Si Monte­Cristo est un roman, L'Assommoir  en est­il  un  ?  Peut­on  établir  une  comparaison  entre Les  Affinités  électives de  Goethe,  Les  Trois  Mousquetaires  de  Dumas,  Madame  Bovary  de  Flaubert,  M.  de  Camors  de  M.  Feuillet  et  Germinal  de  M.  Zola  ?  Laquelle  de  ces  œuvres  est  un  roman  ?  Quelles  sont  ces  fameuses  règles  ?  D'où  viennent­elles  ?  Qui  les  a  établies  ?  En  vertu  de  quel  principe, de quelle autorité et de quels raisonnements ?  Il  semble 

levait les yeux...elle apercevait » (l.71-72 GF), « mais c'était toujours à la barrière Poissonnière qu'elle revenait » (l.75-76 GF). On suit exactement le mouvement de son regard. Zola justifie ainsi la description du quartier, comme plus tard dans Germinal, il justifiera la description de la foule des mineurs en colère par le regard atterré que les bourgeois jettent sur elle. Au cinéma, on parlerait de champ/contrechamp puisqu'on verrait en alternance Gervaise à sa fenêtre et ce qu'elle voit. Mais

Émile ZOLA “Germinal” Roman de 500 pages Résumé Première partie Chapitre I : Un lundi de février 1865, vers trois heures du matin, un homme arrivait à Montsou, l’une des mines du nord de la France et, dans la nuit, découvrait une fosse. Il conversait avec un charretier de cinquante-huit ans à qui il confiait qu’il s’appelait Étienne Lantier et qu’il était « un machineur » qui, parce qu’il avait giflé son chef, venait d’être renvoyé des ateliers de Lille, qu’il cherchait du travail. Mais le vieux

dans son œuvre Le 24 avril 1864, le poète, très endetté, part pour la Belgique afin d'entreprendre une tournée de conférences mais ses talents de critique d'art éclairé ne font plus venir grand monde. Il se fixe à Bruxelles, et prépare un pamphlet contre son éphémère pays d'accueil, qui figure, à ses yeux, une caricature de la France bourgeoise. Pressentant la mort inéluctable de ce royaume qu'il juge artificiel. Lors d'une visite à l'église Saint-Loup de Namur, Baudelaire perd connaissance. Cet effondrement

Pays-Bas le type et le caractère de ce farceur allemand. On lui invente un tombeau à Damme, près de Bruges, et c'est là que De Coster fera naître son héros, dont il placera l'existence au temps des persécutions religieuses et de la révolte des « gueux » contre le pouvoir espagnol. Car il y a dans le récit tout un aspect historique que passionne d'ailleurs une perspective d'anticléricalisme moderne, et le germe fécond de l'ouvrage a été la rencontre de ces deux sources : un recueil de farces populaires et

rétablissement d’un régime autoritaire (mise en place progressive du consulat, puis de l’empire, par Napoléon 1er Bonaparte). • Le rôle des sans-culottes dans la Révolution (manifestations auprès des Assemblées, émeutes, participation aux clubs, soulèvement contre-révolutionnaire en Vendée…). • Les transformations issues de la Révolution (égalité devant la loi et l’emploi, fin des privilèges, libertés fondamentales…). • Les principales institutions napoléoniennes (Code civil, Légion d’honneur, préfets, lycées)

l’égard de la seigneurie, les droits qui pèsent sur les paysans, dénoncer la justice de police du seigneur, dénonciation de l’usurpation des biens communaux, et des critiques contre l’autorité étatique (pas directement contre le roi, qui ne sait pas ce qui arrive) conte le système fiscal, contre la lourdeur des impôts, contre leur caractère arbitraire, critique des droits indirects : la gabelle particulièrement, critique du système administratif, de la fonction d’intendant et du sup délégué, le phénomène