Réinsertion Sociale Jeune Délinquant

vie privée. E/ Le système pénitentiaire et les droits de l’homme : Section III: La promotion et la protection des droits économiques, sociaux et culturels et du droit au développement: A/ Droit au travail, droit à la liberté syndicale et droit à la sécurité sociale  B/ Droit à un niveau de vie suffisant, la lutte contre la pauvreté et le droit au développement  C/ Droit à l’éducation et

j’écris « % » = « par rapport à » Introduction : I. Quelques précisions sur l’intitulé du cours 1. De la « Psychologie des populations socialement déviantes » à la « Criminologie des populations marginalisées » Justification et contextes sociaux de l’évolution de l’intitulé. La criminologique des populations marginalisées est un intitulé qui porte sur une association entre crime et marginalité comme si cela allait de soi. Or ce n’est pas le cas ! La prof n’aime pas cet intitulé. Au départ

prise en charge et de prévention des addictions dans le plan gouvernemental Améliorer les compétences des professionnels dans le domaine de la prévention individuelle ciblée et de la prise en charge Améliorer la prise en charge sanitaire et sociale des jeunes consommateurs de produits psychoactifs Étendre la couverture territoriale des communautés thérapeutiques Développer de nouvelles modalités de prise en charge des usagers de cocaïne Améliorer la prise en charge et la continuité des

SOMMAIRE INTRODUCTION 1 PREMIERE PARTIE : l’environnement familial face à la consommation d’héroïne ou d’opiacés 5 Chapitre 1. : La toxicomanie : un fait social : 5 A. Définitions : 5 B. Un éclairage sociologique de la toxicomanie : 6 1. Le mythe des années 1960 : 6 2. La montée de l’individualisme : de 1970 à nos jours : 7 C. Les produits consommés : Héroïne et opiacés : 7 Chapitre 2. : L’usager de drogues: 9 A. Qu’est qu’un usager de drogues? 9

droit pénal est le produit du phénomène criminel. On considère que s’il y a droit pénal c’est parce qu’il y a au départ un phénomène criminel. Sans crime, nous n’aurions pas besoin de réagir. Le droit pénal est la façon dont une société ou un groupe social, à un moment donné, va répondre au phénomène criminel et encadrer ces réponses par des normes juridiques. La façon dont une société réagit à un phénomène criminel varie selon la société et la période historique. La réponse de la société française

UNIVERSITE DE LILLE 2 FACULTE DES SCIENCES JURIDIQUES, POLITIQUES ET SOCIALES PROCEDURE PENALE (licence 3ème Année) (1er Semestre) Année Universitaire 2007/2008 Plan du cours de procédure pénale INTRODUCTION Définition de la procédure pénale Chapitre 1: Etat de la norme Section 1: Les sources de la procédure pénale I La loi et les règlements II Les règles non

méthodologique 5.1. Le cadre théorique 5.2. Le milieu d’interconnaissance, entretiens et focus groups 5.3. Les axes d’orientation 5.4. Présentation des résultats de la recherche A. Définitions A.1. « groupes armés » et « violence armée » A.2. « capital social » B. Aspects de la violence armée en contexte urbain B.1. La violence armée aux Cayes (La Savane, Derrière Fort, Kwa Mati, Anba Veritab, Reno) B.1.1. Typologie des groupes armés B.1.2. Nature et fonction des groupes armés B.1.3. Typologie

Introduction Le marketing social est l’application de concepts et techniques de marketing, en vue d’influencer le comportement d’un groupe cible pour son bénéfice, et celui de la société. Le comportement peut nécessiter l’utilisation d’un bien ou un service ou pas. Dans le cadre du présent programme, il est question de l’adoption d’un nouveau comportement, à savoir l’éducation des parents quant aux techniques de résolution pacifique de conflits, pour ne plus avoir recours à la violence, et de ce

ce manifeste Propositions pour les villes de banlieue 1. Ressources des collectivités locales 2. Aménagement du territoire 3. Intercommunalité 4. Ile-de-France 5. Habitat et logement 6. Cohésion sociale 7. Réussite éducative 8. Prévention et sécurité 9. Insertion et emploi 10. Laïcité, parité, lutte contre les discriminations Pourquoi ce manifeste Nous sommes au début du XIIIème siècle. Le mot « banlieue » fait

système carcéral n’est quasiment pas développé. Il faudra attendre l’époque des humanistes du Siècle des Lumières (XVIIIème siècle) pour voir apparaître un changement des mentalités. C'est surtout grâce à un essai (Des délits et des peines, 1764) du jeune juriste milanais Cesare Beccaria (1738-1794) ainsi qu'aux nombreuses sorties de philosophes tels que Voltaire (1694-1778) et Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) que le discours sur la peine de mort a pu déboucher sur un débat public. Ces penseurs dénoncent