Réinsertion Sociale Jeune Délinquant

« La place du jeune kanak dans la société contemporaine et les moyens de lutter contre la marginalisation d’une partie de la jeunesse. » Etude menée par la Commission Education Formation du Sénat coutumier de la Nouvelle-Calédonie Juin 2009 1 Introduction Première partie : Choix d’outils méthodologiques et diagnostic de la situation 1) Les populations concernées par l’étude 1.1 : L’échantillon des jeunes....................................................................... P.8

A) Pour les personnes en handicap physique ou sensoriel B) Pour les personnes ayant une déficience mentale ou un trouble de la personnalité C) Pour les personnes subissant une inadaptation sociale des troubles du comportement D) Pour les « délinquants » IV) Utilisation des produits dérivés du cheval A) Le lait de jument B) La viande I) Utilisation du cheval pour les travaux agricoles A) Pour le labour En agriculture

donc pas de complicité par imprudence. Discordance entre l'infraction projetée et l'infraction réalisée. Il n'y a pas vraiment de solution. → Théorie des valeurs sociales protégées: quand il s'agit de la même valeur sociale protégée dans les deux infractions, on va retenir la responsabilité du complice. Quand la valeur sociale est différente, le complice ne verra pas sa responsabilité engagé en tant que complice mais éventuellement pour auteur d'une association de malfaiteur. → théorie de la

avant d'avoir une réalité juridique est d'abord une réalité sociale qu'il importe d'étudier. Si la criminologie est nécessaire c'est que la technique pénale est une méthode archaïque pour traiter la délinquance. On a donc un traitement scientifique de la délinquance qui doit se poursuivre jusqu'à la fin du risque que présente le délinquant. On va avoir de célèbres criminologues dont un certain Grammatica et sa doctrine dite de la défense sociale (état dangereux à dépister auquel on applique des mesures

son sommet. En démocratie populaire ou bourgeoise, c’est la police qui fait respecter la Loi,la Justice qui punit les contrevenants. Entre la justice (l’équité) à laquelle chacun aspire et la Justice (l’institution) qui fait fonctionner la machine sociale au détriment des relations libres entre les êtres, le précipice est infranchissable. Parlant à peine, l’enfant est aussitôt sensible au sentiment d’injustice : quand il a mal et qu’il pleure (trop) longtemps, on crie, on le boude, on le frappe parfois

question de la réinsertion des détenus est affichée comme étant au cœur de la politique pénitentiaire, spécialement depuis 1945. Mais il s’avère que la mission de service public pénitentiaire s’inscrit dans des cadres très particuliers. Ainsi, l’administration pénitentiaire fonctionne sur une logique très verticale et descendante, notamment de par le caractère éminemment régalien de la politique pénale dans son ensemble. En même temps, la mise en œuvre locale de la politique de réinsertion se fait sur

dans une continuité professionnelle, et une démarche personnelle qui me paraissent inéluctables. Au cours de ma formation d’éducatrice spécialisée, j’ai prit la croisée d’un premier chemin, dit de spécialisation : celui de l’enfance en difficulté sociale et familiale ; laissant alors de côté l’approfondissement de mes connaissances sur le handicap physique et mental. Après l’obtention de mon diplôme, j’ai alterné les lieux d’exercice de mon métier, entre services de milieu ouvert habilités justice

D’ARRET ET MAISON DE PEINE……………………………………………………….5 PRISONS FERMEES, SEMI-OUVERTES ET OUVERTES……………………………………………5 1.2.2. A PROPOS DES DETENUS PSYCHIATRIQUES…………………………………………....5 1.2.3. A PROPOS DES HOPITAUX DE DEFENSE SOCIALE……………………………………...5 1.2.4. A PROPOS DES CENTRES DE DETENTION POUR DELINQUANTS MINEURS D’AGE…….6 CHAPITRE 2. PROBLEMATIQUE ET CHOIX METHODOLOGIQUES…………………………..7 CHAPITRE 3. ANALYSE CRITIQUE ARCHITECTURALE………………………………………..9 3.1. GENESE MORPHOLOGIQUE ET SEMANTIQUE DE LA PRISON……………………………9

QUI AUGMENTE ET SE MODIFIE............................................................... 16 1. L’augmentation de la délinquance des mineurs .................................................................................... 17 2. De s mineurs délinquants plus jeunes et plus violents .......................................................................... 19 a) Un rajeunissement incontestable .....................................................................................................

certains hommes pour les faire rentrer dans une vraie communication Jusqu’alors, leur incapacité à communiquer les mettait dans un statut de retranchement hors de l’humain. Leur liberté de circuler pouvait faire croire à une vraie intégration sociale mais les sociétés européennes de l’époque ne faisait que s’en accommoder, voire s’en amuser, s’en distraire. A la différence de ce qui se passe de nos jours, où l’on détourne le regard du fou vociférant dans le métro. C’est à partir des années