Régime Présidentialiste

discours de Bayeux (16 juin 1946) ; élection du Président de la République par un collège le plus large possible ; nomination discrétionnaire du PM par le président de la République ; président arbitre ; art. 16  Michel Debré : rationalisation du régime parlementaire : délimitation domaine de la loi/domaine du règlement ; travail des assemblées sous la direction du gouvernement ; non-cumul des mandats  Guy Mollet et Pierre Pflimlin (ministres de De Gaulle) : mécanismes pour limiter les risques d’instabilité

renverse le régime du directoire et rétablie l’empire en 1804 et met fin à la république ; Louis XVIII est un roi libéral en 1814 longtemps exilé en Angleterre et en 1814 laissera le régime de la charte évolué dans le parlementarisme ; Louis Philippe est un roi libéral qui inventera un parlementarisme orléaniste dualiste et par son aveuglement a entrainé une révolution (1848) ; Louis Napoléon Bonaparte élu au suffrage universel direct en 1848 n’a eu de cesse que de re-installer un régime autoritaire

modifications dans les relations entre gouvernants et gouvernés. I) Un président aux pouvoirs encadrés Depuis longtemps, les juristes critiquaient le système de la Ve République en le qualifiant de trop présidentialiste, plusieurs appellations ont d’ailleurs été proposées : un régime « semi-présidentiel » semble être le terme le plus approprié. C’est sans doute l’un des facteurs qui a poussé Nicolas Sarkozy à revoir la Constitution et à tenter de limiter les pouvoirs du Président afin d’atténuer

démocratie (ex : droit de femme acquis depuis 44), stabiliser le régime via mouvement de résistance. Gouvernement provisoire : septembre 44, le GPRF présidé par De Gaulle, referendum 21 octobre 1945 (La IIIe république est un fiasco : plus personne n’en veut, régime instable depuis 1870, à l’origine des guerres.) Assemblée constituante rédige constitution, difficilement adopté le 13 octobre 1946 et dès le début mal aimé. Caractéristique du régime : Exécutif invisible : discours de De Gaulle à Bayeux le

dissolution comme en 1962, dans le contexte on voit bien le mécanisme. Ici codification du principe de gouv parlementaire ki a été imposer par la loi du 3 juin 1958. comme bocoup de constit on a une admission du principe du gouv parlementaire. Pour GDG, le régime parlementaire c finit mais Debré a insister sur l'idée kon rénovait le parlementarisme, pour GDG ne voulait pas ke le gouv soit à la caprice des parlementaires. GDG voulait ke le gouv dépende uniquement du président, il na pas put réaliser tout son

le pouvoir exécutif. - un parlement bicaméral qui permette de faire contrepoids. - un régime parlementaire rééquilibré grâce à un gouvernement procédant du président de la République (et non du Parlement). - un pouvoir présidentiel fort, chargé du pouvoir d’État et de l’arbitrage entre les institutions. B. Le discours de Michel Debré devant le Conseil d’Etat (27 août 1958) ▪ Régime parlementaire : Régime de collaboration (séparation souple) équilibrée des pouvoirs, où le Gouvernement et le

véritable chef du gouvernement dans le sens ou le gouvernement était là seulement pour l’assister dans la définition de l’orientation générale de la politique intérieure et extérieure du pays. De Gaulle y renonça pour se conformer aux principes d’un régime plus parlementaire et faire accepter sa constitution. La pratique gaullienne des institutions plaidait donc en pareil circonstance pour une démission du chef de l’État, puisque sa responsabilité avait ainsi été directement mise en cause par le peuple

Victor Hugo a dit « les parlementaires parlent, les parlementaire parlementent et les parlementaires parlent et mentent ». Ce mot peut être un faux régime, sous l'Ancien Régime le parlement était les juges. Par ailleurs en Grande-Bretagne, le parlement englobe le roi et les 2 assemblées. On précise que régime présidentiel et régime présidentialiste (régime de prépondérance du président) sont bien différent. De plus, sous la 5ème République, le parlement a été fortement abaissé. C'est une tendance générale

et se démarque des autres démocraties contemporaines puisqu’on y retrouve trois variable clés qui permettent d’expliquer le fait majoritaire. D’après eux, c’est le cumul des effets de chacune de ces variables qui a produit une majoritatisation du régime. Il faut bien voir que ces variables n’ont un effet que si elles interviennent en même temps, dans le cas contraire elle ne provoque aucune influence. ! Tous d’abord, le premier élément, est l’utilisation du scrutin majoritaire pour l’élection des

actes du présidents sont contresignés sauf certaines exceptions. Article 8 al 1er choix du 1er ministre Article 11 décret de convocation aux référendum Article 12 dissolution de A.N Article 16 décret de pw exceptionnels Juridiquement c’est un régime parlementaire auquel, le gouvernement doit être responsable devant le parlement. Si le 1er ministre ne convient pas au parlement, l’A.N peut le destituer. Article 11 : sur proposition du 1er ministre. Article 12 condition de délais et risque politique