Récit épique

Les récits Beaucoup d'actions ne peuvent être représentées sur scène, soit qu'elles contreviennent à l'unité de lieu, soit qu'elles contreviennent aux bienséances. Il convient donc de recourir au récit pour conter ces actions, au risque d'ennuyer le spectateur ou de briser le mouvement de l'action. Pour déjouer ce risque, les Classiques soignent tout particulièrement ces morceaux. Ils animent les récits de façon à donner l'illusion de l'action ; bien souvent, le ton prend un caractère épique.

Chrétien de Troyes écrit-il : « puisque ma dame de Champagne veut que j'entreprenne un roman, je l'entreprendrai très volontiers ». Le terme commence alors à se rapprocher de son sens moderne, celui de récit fictif à épisodes centré autour d'un ou de plusieurs personnages. Le roman a tout d'abord été le récit d'une aventure fantastique, comprenant un personnage idyllique vivant une aventure idyllique elle-même. Les livres étaient au début destinés aux nobles et non au peuple. Le genre littéraire[modifier]

Roman (nom masculin) : œuvre d’imagination constitué par un récit en prose d’une certaine longueur, dont l’intérêt est dans la narration d’aventures, l’étude des mœurs ou de caractères, l’analyse de sentiments, de passions, la représentation du réel ou de diverses données subjectives. Ce genre regroupe les œuvres présentant ces caractéristiques. Historique du roman : Le roman au Moyen Age : Au XIIème siècle, les romans sont des récits rédigés en vers, et en langue romane, c’est-à-dire en français

digne de foi, vérifiée ». Il sait que très vite certains visages, certaines émotions vont disparaître. Viendra alors le temps de la documentation. En effet, pour combler les failles de la mémoire, l'auteur recourt le plus souvent à des photos ou à des récits de ses proches, mais il ne peut savoir s'ils sont fiables. Ainsi, Simone de Beauvoir commence les Mémoires d'une jeune fille rangée en feuilletant les pages d'un album de famille, mais au lieu de lui offrir des certitudes sur sa petite enfance il

de la science-fiction (ou récit d’anticipation) qui lui succède. Dès l’origine, les classifications s’opposaient ou se superposaient. Aristote qui a fondé la distinction entre les trois genres épique, lyrique et dramatique, distinguait les moyens (vers / prose), les modes (narratif / dramatique), et les objets mêmes de la mimésis. D’Aristote à Platon, les notions se répartissent différemment : pour Aristote, la mimésis, qui selon lui fonde la littérature, comprend le récit (diégésis) et la représentation

l’espace des pages, se situe à l’époque contemporaine et raconte l’histoire de Lalla, jeune émigrée qui revient finalement au désert de ses ancêtres. A strictement parler, une seule voix se fait entendre dans ces deux récits alternés : celle d’un narrateur, source implicite du récit, impersonnel et invisible, mais manifeste, pourtant, au moins dans la coloration onirique (rêve) donnée au texte. La voix de ce narrateur adopte la perspective et reconstitue les émotions de deux personnages bien différents

de son temps, voilà des motifs qui ont conduit un auteur à se lancer dans l'écriture et la publication de son œuvre. Plusieurs registres font aussi partit de la littérature, comme le registre comique, celui tragique ou pathétique, celui lyrique et épique. Le registre, réaliste, fantastique et polémiste sont arrivés plus tard… De plus on à l’intérieur de tout cela des sous division, comme le roman, la poésie (qui là parle davantage de l’intime conscient ou inconscient), et également l’histoire, les

Fiche repères – Le Personnage de Roman D’abord assimilé aux héros épiques de la mythologie, le personnage de roman a connu, au long de l’histoire littéraire, de nombreuses métamorphoses, son existence et ses caractéristiques étant toujours liées à la vocation du genre dont il est un élément essentiel. * Une évolution historique Dans les premières formes du roman le héros est l’héritier des demi-dieux antiques. Cette caractéristique demeure au XVIIème siècle à travers des personnages nobles

confortable que de ne risquer rien derriére ce monde ecrit. Les romans fantastiques ou de science fiction sont de beaux exemples: un voyage vers le centre de la terre, ou bien dans l'immensité de l'ocean, vingt milles lieues sous les mers, périples epiques inventés par l'imaginatif Jules Vernes, lorsque ce n'est pas une fabuleuse épopée d' elfes, de nains et autres créatures mythiques et fantastiques d'un monde que décrit Tolkien dans son oeuvre maîtresse, le Seigneur des Anneaux, si vaste, si riche

implicitement la scène par la périphrase « large bouche » / ce n’est pas le lieu principal de l’action • Temps : nuit « obscure » (irrespect de l’unité jour) qui semble être créée par le mage lui-même  • Action : retour en arrière (analepse) avec le récit de Pridamant au passé simple, on se rend compte que c’est une pièce qui sure plus de dix ans • Intrigue : repentir d’un vieillard à la recherche de son fils (Clindor) = réconciliation du père avec son fils qui doit passer par une réconciliation avec