Réalisme Fantaisie Voltaire

les plaisirs) et entre la cour et la provence plus de gens qui ont accèss à l'argent la cour = les informations, les actualités la province = la punition pour la noblesse (les châteaux) le scépticisme rationaliste = Fontenelle, Montesquieu, Voltaire, Lesage, Marivaux amusants, divertissants, ironiques prévention et repression NIVEAU ÉCONOMIQUE JOHN LAW – émission des billets de papier-monnaie → faillite en 1720 (bankrotirao) buorses (Paris, Londres) pourtant, grâce à l'inflation: chômage

moitié du XIXe siècle. Nous savons que c’était un amateur d’arts. Nous lui connaissons des romans caractérisés par un style économe et resserré. Il a la volonté de peindre des faits capables d’intéresser ses contemporains. Il dépeint avec souci de réalisme psychologique, les sentiments des personnages principaux. Stendhal refuse le point de vue du narrateur omniscient et pratique “la restriction de champ”. Il ne fut pas seulement un romancier et un autobiographe mais aussi un fin critique d’art dont

noblesse, la clarté. Ce romantisme serait spécialement d'esprit moyenâgeux, avec ses sentiments profondément religieux, son enthousiasme pour une société chevaleresque, son amour du miraculeux ; il se soucierait plutôt de foi, de sentiment et de fantaisie que de critique, de raison, de mesure ; il serait en un mot l'expression de tendances absolument opposées à celles des anciens, raisonnables, moralistes et païens. l'homme est libre ; il ne dépend plus que de sa volonté et de la grâce divine, qui

Louis XIV, en lien avec les académies de l’Europe entière), les loges, les cafés (café La Régence, place du palais royal à Paris, café Le Procope) et enfin, la correspondance. Les correspondances sont dès lors immenses, comme la correspondance de Voltaire avec 23000 lettres en 13 volumes. Cet idéal n’est pas institutionnalisé, n’est pas comparable à une association mais s’avère efficace et capable de produire de nombreuses choses intéressantes. La dépendance des écrivains Les auteurs du XVIIIème

le XIXe siècle appellera l'art réaliste, qu’il dépassa toutefois en recréant, à partir de ce réalisme même, tout le mystère de l'aventure romanesque, en ne poussant pas l’amour de la vérité jusqu'à choisir un personnage médiocre, comme on en voit tous les jours. L'aventure et le caractère de Suzanne Simonin gardent quelque chose d'exceptionnel. Si, de ce fait, l'œuvre s’écarte de ce que sera le réalisme, il n’en reste pas moins que Diderot a mis au point une technique de description réaliste et qu’il

thématiques du roman qui est la morale ou l’éthique [= distinction entre le bien et le mal] (« tout ce qui nous arrive ici-bas de bien ou de mal était écrit là-haut). Plus que la fatalité Jacques semble bien incarner le déterminisme philosophique dont Voltaire s’était fait aussi le penseur. Au-delà de la philosophie métaphysique, Jacques incarne également la sève romanesque par excellence. En effet la seconde phase narrative met en place l’intrigue exacte qui conduit le roman à savoir les amours de Jacques :

illusoire : « bâtiments, essence, mille vœux à Esculape, homme de conscience, faveur paternelle, gloire » - trivialité : « goutière (polysémie, allusion !), loyer, porte mon eau, suer d’ahan […] col de la verge, bouffonnant » (on voit assez que le réalisme et le burlesque l’emportent sur la fin) PLAN PROPOSÉ INTRODUCTION Montaigne est à la fois sujet et objet dans les Essais. Ici, le dédoublement entre le corps et l’esprit, au moment où Montaigne considère l’expérience de la maladie, fait l’objet

sous ce double patronage - les épisodes du voyage à Paris reprenaient ceux des ‘’Grandes chroniques’’) ; ses exploits dans la guerre picrocholine ; récompenses aux vainqueurs et description de Thélème. Plus que le merveilleux gigantesque, c'est le réalisme des moeurs qui passe au premier plan : I'action se déroule à Paris, dans le milieu des étudiants, ou en plein Chinonais, dans ce monde des paysans et des moines que Rabelais connaissait à merveille. Le livre fourmille de souvenirs personnels et d'allusions

Leurs œuvres qui préparent la Révolution Française nous montrent déjà les dysfonctionnements de la société : la condition de la femme, les inégalités sociales, l’intolérance religieuse… sont condamnés par l’esprit philosophique des Lumières, tels Voltaire ou Montesquieu. Plus tard, les romanciers réalistes et naturalises de la deuxième moitié du XIXe siècle nous font part leur désenchantement et de leur insatisfaction face à la société. En ce sens, le titre du roman de Balzac, les Illusions perdues

entraînait d'autres : la prose substituée aux vers comme étant un langage plus naturel, une plus grande variété dans le costume et le décor, plus de mouvement et de pathétique dans l'action. Mais Diderot confondait trop souvent la nature avec son réalisme puéril ; sous prétexte de morale, il donnait un sermon dialogue au lieu d'une action ; enfin sa sensibilité toujours en effusion le jetait dans un genre larmoyant et ridicule. Le double échec du Père de famille (1757) et du Fils naturel (1758) fut