Ruy Blas Plan Du Dénouement

Cid de Corneille (I, 4) ; Phèdre (III, 2 ; IV, 5). – Dans le drame romantique : le monologue de Cœlio à la fin des Caprices de Marianne de Musset ; le monologue d’Hernani (I, 4), celui de Don Carlos dans Hernani de Hugo (IV, 2), les monologues de Ruy Blas marchant « dans son rêve étoilé » (III, 4 notamment) (Hugo). – Dans le théâtre moderne : le Prologue et le Chœur dans Antigone d’Anouilh ; le « Lamento » du Jardinier dans Électre de Giraudoux (entracte) ; le monologue de Winnie dans Oh les beaux

ttre ? ♦ Que critique dans cette lettre Choderlos de Laclos ? ♦ Sur la base de cet autoportrait, faut­il condamner ou rejeter la Marquise de Merteuil ? Rechercher   ♦ Quels sont les buts de cette lettre 81 des Liaisons dangereuses ? Annonce du plan Nous verrons tout d’abord que cette lettre 81 des Liaisons dangereuses, de par son contenu, est clairement autobiographique (I), puis nous verrons en quoi le portrait que Merteuil donne d’elle­même est celui d’une libertine moderne (II). Pour terminer

Ecrit de Français Plan : Mouvements littéraire : Renaissance Humanisme Baroque Pléiade Classicisme Siècle des Lumières Romantisme Réalisme Naturalisme Surréalisme Genre : Comédie Tragédie Drames romantiques Théâtre de l’absurde Biographie Autobiographies Roman autobiographique

scène comprend un décor unique. Les acteurs jouent des pièces romaines en chapeau à plumes sans souci de la vraisemblance de l’habit. Les conditions morales : La comédie est toujours considérées par l’Eglise comme dangereuse et condamnable sur le plan moral et les comédiens sont excommuniés. Cf. « Tous les grands divertissements sont dangereux pour la vie chrétienne mais (…) il n’y en a pas qui soit plus à craindre que la comédie. » Blaise Pascal L’Eglise et les dévots considèrent la représentation

» (v.50) et d'autre part des « augustes mânes » (v.38) et des « Champs Élyséens » (v.46). Le lecteur reconnaît sans hésiter la société dont parle La Fontaine et l'histoire, comme les morales, véhicule une argumentation. Variante possible de plan: Un plan en 2 axes est envisageable. Dans ce cas, le 2e paragraphe “Des animaux et des hommes” pourrait être abordé dans l’axe 1; le 1e paragraphe “Les deux morales et l'engagement personnel du fabuliste” devrait être traité dans l’axe 2. Axe 3. La portée

double voix, du lyrisme à l’émergence du pathétique (lecture analytique prise en charge par Lise Marcon). c)Le dénouement : un respect surprenant des principes aristotéliciens (voir La Poétique) Le récit de Ragueneau (V, 2 et 3, v. 2335-2359), La scène de la reconnaissance de l’auteur de la lettre (V, 5, v. 2433-2474). Notions abordées : Dramaturgie : l’exposition et le dénouement, le récit au théâtre, le drame romantique, sublime et grotesque, L’esthétique de la pointe, la préciosité, place

mariage. Le mariage de Figaro – ACTE II Scène 1 Suzanne rapporte à la Comtesse la visite du Comte et la scène du ruban avec Chérubin, qui laisse la Comtesse rêveuse. Elle promet à Suzanne qu’elle épousera Figaro. Scène 2 Figaro partage son plan avec les deux femmes, qui consiste à attiser la jalousie du Comte en lui faisant croire qu’on courtise sa femme, et à organiser un rendez-vous entre le Comte et Suzanne en déguisant Chérubin avec les habits de la jeune servante. Scène 3 Suzanne

Je les mets au lit, et je regarde ce qui va pouvoir en sortir  : un tuberculeux, un névropathe, un artérioscléreux... » La satire psychologique se joint alors à la farce, en raison de l’absence (ou presque) de résistance à son succès. Même le dénouement est présenté sous la forme de bouffonnerie, à travers de nombreux 4Knock effets de mise en scène : « Jusqu’à la fin de la pièce, l’éclairage de la scène prend peu à peu les caractères de la Lumière Médicale qui, comme on le sait, est plus riche

Homme qui s'installe a Paris en 1914, Balzac va au pensionnat du fait des discordes avec sa mère. Il devait être notaire mais veut devenir homme de lettre. En 1820, il débute par un échec avec sa pièce Cromwell. C'est seulement en 1828 avec Les chouans qu'il commence à se faire connaître. Sous la restauration, il va chercher une solution dans un légitimisme moderne, organisé et unificateur. Après être entré en contact avec Mme Hanska en 1832, elle lui donne un fils en 1836 et il se marrie avec elle

ébouriffants, est passionnante, maintient un «suspense», de l’inquiétude, mêle des bons et des méchants, des intrigants, des espions, des traîtres, qui trament des plans machiavéliques, des complots. La lutte, éprouvante, féroce, imprévisible jusqu’au dénouement, connaît d’incroyables montées, des coups de théâtre, passe par des meurtres, aboutit à une exécution capitale. On y joue de la suspicion, de la vengeance. Les situations sont pathétiques et s’y donnent libre cours l’émotion, les éclats d’humeur