Ruy Blas Monologue Don Cesar

près de la porte de Nesle. Mais, comme l'absolue fidélité à soi-même vient surtout aux personnages de théâtre, Cyrano de Bergerac, dans une de ses lettres, se montre moins prompt à ferrailler : «Hier, je fus appelé sot et l'on s'émancipa jusqu'à me donner un soufflet en ma présence. Certains stupides (en matière de démêlés) disent qu'il faut que je périsse, ou que je me venge. Vous, Monsieur, vous qui m'êtes trop bon ami pour me conseiller un duel, ne suis-je pas assez maltraité de la langue et de

près de la porte de Nesle. Mais, comme l'absolue fidélité à soi-même vient surtout aux personnages de théâtre, Cyrano de Bergerac, dans une de ses lettres, se montre moins prompt à ferrailler : «Hier, je fus appelé sot et l'on s'émancipa jusqu'à me donner un soufflet en ma présence. Certains stupides (en matière de démêlés) disent qu'il faut que je périsse, ou que je me venge. Vous, Monsieur, vous qui m'êtes trop bon ami pour me conseiller un duel, ne suis-je pas assez maltraité de la langue et de

beaucoup et refuse d’entreprendre quoi que ce soit en prévision du tournage très physique du prochain film de Gérard Oury, qui doit s'intituler Le Crocodile. Dans ce film, dont le premier tour de manivelle est prévu pour mai 1975, et où il prévoit de donner la réplique à Régine Crespin, Aldo Maccione et Charles Gérard, Louis de Funès doit jouer le rôle d’un dictateur sud-américain, « un petit colonel cupide, teigneux, couard avec des faiblesses : le fric, sa femme, son fils46 ». Santé précaire[modifier

librement déterminés par le professeur et associés à la lecture d’œuvres intégrales. À titre d’exemple, voici cinq séquences possibles : • Objet d’étude : la mixité des genres et des registres Lecture d’une œuvre intégrale : Molière, Dom Juan ou Hugo, Ruy Blas ou Cocteau, La Machine infernale. Groupement de textes extraits du manuel : – Corneille, Le Cid, p. 108 – Hugo, Hernani, p. 115 – Koltès, Roberto Zucco, p. 130 • Objet d’étude : le théâtre dans le théâtre Œuvre intégrale : Corneille, L’Illusion comique

des tons, la recherche de la couleur locale avec des sujets empruntés à l'histoire des XVIe-XVIIe siècles et l'utilisation de la prose ou, pour Victor Hugo, de l'alexandrin libéré]. Les principales œuvres de cette période sont :Hernani (1830) et Ruy Blas (1838) de Victor Hugo, On ne badine pas avec l'amour (1834) et Lorenzaccio (1834 - non représenté) de Musset. L'histoire littéraire garde le souvenir de tentatives de renouvellement à la fin du siècle comme le Théâtre-Libre et le théâtre naturaliste et

lèvent afin de saluer leurs amis qui quittent Ajaccio pour se rendre à Pietranera, qui se trouve au centre de l’île. Colomba fait cadeau d’un «stylet» (un poignard) à Lydia, tandis que le colonel offre à Orso un de ses fusils, un Manton. Dans un monologue, Lydia, tout en s’en défendant, succombe au charme romanesque d’Orso. Chapitre 9  Tout en cheminant, Colomba exprime son admiration pour la beauté et le charme de Lydia, et engage Orso à l’épouser, d’autant plus qu’elle doit être «un bon parti»

renversement général. » Ce « cancer » touche ainsi « la cour » puis « Paris », « les provinces et les armées » avant de mener « à la ruine et au renversement général » ! Les figures d’analogie Deux figures d’analogie permettent à Jean Giono de donner une dimension extraordinaire à son personnage. C’est le cas, tout d’abord, des comparaisons qui permettent de rapprocher deux réalités différentes au moyen d’un outil de comparaison. La fête dans le château est par exemple représentée « comme

d’autant plus que Louis XIV aime les arts et s’entoure d’une cour très brillante. Il encourage et aide les artistes ; il fait construire de splendides châteaux, tel le Château de Versailles. Il fait venir à la cour les écrivains les plus réputés, il fait donner de brillantes représentation théâtrales et, en un mot, ‘‘patronne’’ les lettres et les arts. Or cet engouement pour la vie artistique coïncide avec l’apparition, entre 1660 et 1680, de très grands écrivains. Ce sont les écrivains classiques. Donc

apparente boulimie de savoir qui serait tout à son honneur si elle était quelque peu disciplinée. De plus ce savoir nouveau est mal assimilé et M. Jourdain se trouve pris en défaut par le fleuret de sa servante, cette Nicole à qui il prétendait donner une leçon. Le lecteur ou le spectateur comprend aisément que M. Jourdain n’inspire pas le respect. Ses façons « donnent à rire à tout le monde ». Épouse et surtout servante se gaussent à plaisir de cet épouvantail, de ce « carême prenant ». Ses

l’air d’extase enthousiaste que je devais avoir en l’écoutant finirent par lui donner une meilleure opinion de moi ». - Aussi, pendant que les deux garçons parlent, suis-je en admiration devant eux. Ils m’initient d’un ton un peu rude, comme un conscrit dans l’énergie duquel on a une médiocre confiance. Cependant, le frémissement d’aise, l’air d’extase enthousiaste que je dois avoir en les écoutant finissent par leur donner une meilleure opinion de moi. Séance 4 4 — © Cned, Français 3e ©