Ruy Blas Monologue Don Cesar

notes proposées dans votre édition, elles éclairent le texte avec beaucoup de pertinence. L’objet d’étude invite à étudier le contexte d’écriture et de publication de l’œuvre. Vous aurez peut-être besoin de compléter les renseignements historiques donnés dans le cours par une révision de l’Histoire de France depuis La Révolution. N’hésitez pas à consulter un manuel d’histoire ou une encyclopédie pour vérifier vos connaissances ou combler vos lacunes. Vous ne devez pas confondre Louis-Philippe et Louis

notes proposées dans votre édition, elles éclairent le texte avec beaucoup de pertinence. L’objet d’étude invite à étudier le contexte d’écriture et de publication de l’œuvre. Vous aurez peut-être besoin de compléter les renseignements historiques donnés dans le cours par une révision de l’Histoire de France depuis La Révolution. N’hésitez pas à consulter un manuel d’histoire ou une encyclopédie pour vérifier vos connaissances ou combler vos lacunes. Vous ne devez pas confondre Louis-Philippe et

s’adoucissent, la brutalité guerrière se tempère du souci d’épargner l’adversaire vaincu (voir l’extrait de la Vie de Saint Louis, p. 25-26), l’éthique et les rituels chevaleresques se mêlent d’éléments religieux qui se fondent en eux au point de donner naissance à des ordres religieux et guerriers (Templiers et Hospitaliers). Mais ce sont surtout deux désastres guerriers qui précipitèrent la chute de l’idéal chevaleresque de la vaillance guerrière : la défaite d’Azincourt (où est décimée la fine

théâtrale sera populaire, une littérature pour les temps modernes, celle du romantisme, c'est-à-dire, l'art de présenter aux peuples les œuvres littéraires qui, dans l'état actuel de leurs habitudes et de leurs croyances, sont susceptibles de leur donner le plus de plaisir possible. La principale opposition entre théâtre français et théâtre étranger réside moins dans le caractère que dans la conception de l'illusion théâtrale. Faisant dépendre celle-ci de la contrainte imposée par les règles, les

près de la porte de Nesle. Mais, comme l'absolue fidélité à soi-même vient surtout aux personnages de théâtre, Cyrano de Bergerac, dans une de ses lettres, se montre moins prompt à ferrailler : «Hier, je fus appelé sot et l'on s'émancipa jusqu'à me donner un soufflet en ma présence. Certains stupides (en matière de démêlés) disent qu'il faut que je périsse, ou que je me venge. Vous, Monsieur, vous qui m'êtes trop bon ami pour me conseiller un duel, ne suis-je pas assez maltraité de la langue et de

Espagne, dans les environs de Cordoue, sur la bataille de Munda, il rencontra un voyageur que son guide reconnut comme le bandit de grand chemin don José Lizarrabengoa, dit José Navarro, dont la tête était mise à prix pour deux cents ducats. Pendant la nuit, le guide alla dénoncer le bandit à la police. Mérimée, qui n'avait pu l'en dissuader, s'estimant lié à don José par des relations d'hospitalité, l'avertit donc, et lui permit ainsi de s'échapper. Chapitre 2 : La semaine suivante, séjournant à Cordoue

Aimées l'une de Clitandre, l'autre de Pymante, les princesses Caliste et Dorise sont toutes deux éprises de Rosidor. Celui-ci rend à Caliste son amour, au grand dépit de Dorise qui, pour perdre sa rivale, l'entraîne dans la forêt, où elle médite de lui donner la mort. Pymante cependant, qui hait Rosidor, a chargé les domestiques de Clitandre d'assassiner son trop heureux rival. Rosidor, poursuivi dans la forêt par Pymante déguisé et ses complices, trouve Dorise qui s'apprête à plonger une épée dans le

Aimées l'une de Clitandre, l'autre de Pymante, les princesses Caliste et Dorise sont toutes deux éprises de Rosidor. Celui-ci rend à Caliste son amour, au grand dépit de Dorise qui, pour perdre sa rivale, l'entraîne dans la forêt, où elle médite de lui donner la mort. Pymante cependant, qui hait Rosidor, a chargé les domestiques de Clitandre d'assassiner son trop heureux rival. Rosidor, poursuivi dans la forêt par Pymante déguisé et ses complices, trouve Dorise qui s'apprête à plonger une épée dans le

près de la porte de Nesle. Mais, comme l'absolue fidélité à soi-même vient surtout aux personnages de théâtre, Cyrano de Bergerac, dans une de ses lettres, se montre moins prompt à ferrailler : «Hier, je fus appelé sot et l'on s'émancipa jusqu'à me donner un soufflet en ma présence. Certains stupides (en matière de démêlés) disent qu'il faut que je périsse, ou que je me venge. Vous, Monsieur, vous qui m'êtes trop bon ami pour me conseiller un duel, ne suis-je pas assez maltraité de la langue et de

près de la porte de Nesle. Mais, comme l'absolue fidélité à soi-même vient surtout aux personnages de théâtre, Cyrano de Bergerac, dans une de ses lettres, se montre moins prompt à ferrailler : «Hier, je fus appelé sot et l'on s'émancipa jusqu'à me donner un soufflet en ma présence. Certains stupides (en matière de démêlés) disent qu'il faut que je périsse, ou que je me venge. Vous, Monsieur, vous qui m'êtes trop bon ami pour me conseiller un duel, ne suis-je pas assez maltraité de la langue et de