Ruy Blas Heroique

abandonne à la fois le réalisme cru des «histoires comiques» (Sorel, Furetière, Cyrano de Bergerac) et l'irréalité élégante des longs romans de bergers (notamment les romans pastoraux, illustrés par Honoré d'Urfé avec l'Astrée) ou de princes (romans héroïques illustrés par Mlle de Scudéry avec le Grand Cyrus). Et la place, le récit élabore un réalisme élégant, qu'illustrent bien les nouvelles historiques, comme la Princesse de Clèves de Mme de La Fayette. La littérature classique en vers: L'Académie n'a

abandonne à la fois le réalisme cru des «histoires comiques» (Sorel, Furetière, Cyrano de Bergerac) et l'irréalité élégante des longs romans de bergers (notamment les romans pastoraux, illustrés par Honoré d'Urfé avec l'Astrée) ou de princes (romans héroïques illustrés par Mlle de Scudéry avec le Grand Cyrus). Et la place, le récit élabore un réalisme élégant, qu'illustrent bien les nouvelles historiques, comme la Princesse de Clèves de Mme de La Fayette. La littérature classique en vers: L'Académie n'a

enthousiasme débordant 1- Les cinq expressions qui montrent l’exaltation de Vladimir sont : • « ma force de caractère et mon héroïsme » (ligne 18). • « j’accepterai d’autres sacrifices » (ligne 21). • • « mon imagination était déchaînée » (ligne 23). « héroïque et tout couvert de sang, puis, expirant à ses pieds » (lignes 25-26). • « absorbé dans la contemplation » (lignes 29-30). 2- Vladimir s’imagine d’abord dans le rôle d’un héros, acceptant de terribles sacrifices et donnant des gages de son amour

étoile qui des soldats de Napoléon I , semble jaillir du cœur sur celle des soldats du Deux Décembre, c'est une tache de boue ; : Puis il donnait sa croix à ces hommes Et des larmes coulaient de leurs iMuets, On ils stoïques, yeux héroïques adoraient leur demi-dieu vainqueur eût dit qu'allumant leur ; ; âme avec son âme, En touchant leur poitrine avec son doigt de flamme, 11 leur faisait jaillir-cette étoile du Les Rayons Quand sur votre poitrine et les il cœur ! Ombres

(en 1839) ses ‘’Mémoires d’un touriste’’. - «le ‘’nil admirari’’» : Formule d’Horace (‘’Épitres’’, I, 6) qui signifie : «ne s’émouvoir de rien» et s’emploie ici dans le sens de ne s’étonner de rien et apparaît alors comme la devise des touristes blasés. - «’’La Transfiguration’’» : Tableau de Raphaël représentant l’apparition de Jésus-Christ à trois de ses disciples sur le mont Thabor. C’est un autre élément autobiographique : en octobre 1839, séjournant à Rome, Mérimée avait pu s'attarder devant

la citation de Figaro vise plus précisément le comte Almaviva, son maître. –– Citation 1 = Musset, le romantisme, xixe siècle. Par cette citation, Musset exprime le sentiment de la jeunesse postnapoléonienne qui considère que, après les exploits héroïques de l’Empereur, toutes les autres luttes sont vaines. 2. a. et b. – Le château de Chambord / la Renaissance / xvie siècle. –– Le théâtre de la Comédie-Française / le classicisme / xviie siècle. –– La prison de la Bastille / les Lumières / xviiie siècle

trop musclée comme les mollets d'une danseuse ; à la ville, idéalement silencieux, c'est-à-dire mystérieux, plein du secret profond que l'on suppose à toute beauté qui ne parle pas. A la scène enfin, engagé par force dans des gestes triviaux ou héroïques, de toute manière efficaces ; à la ville, réduit à un visage épuré de tout mouvement. Encore ce pur visage est-il rendu entièrement inutile - c'està-dire luxueux - par l'angle aberrant de la vue, comme si l'appareil d'Harcourt, autorisé par privilège

légèreté mais fierté : P 87 expédition au couvent : mise en avant de sa force et de sa facilité : goût de la plaisanterie. Récit de ses combats : blessure, marche nocturne… A l’arrivée à Donnafugata, il semble perçu par tous comme un jeune homme héroïque. P 65 « Il apparaissait maintenant comme transfiguré, on ne voyait plus en lui le jeune homme désinvolte mais l’aristocrate libéral, le compagnon de Rosolino Pilo, le blessé glorieux des combats de Palerme. Et il nageait comme un poisson dans l’eau

imposante comme la fierté qui ne veut pas déchoir et qui l’inspire, je ne dis pas que cela n’est point insensé, puisque cela est inutile, mais c’est beau comme tant de choses insensées !... Si le sentiment de la Garde qui meurt et ne se rend pas est héroïque à Waterloo, il ne l’est pas -8- moins en face de la vieillesse, qui n’a pas, elle, la poésie des baïonnettes pour nous frapper. Or, pour des têtes construites d’une certaine façon militaire, ne jamais se rendre est, à propos de tout, toujours

imposante comme la fierté qui ne veut pas déchoir et qui l’inspire, je ne dis pas que cela n’est point insensé, puisque cela est inutile, mais c’est beau comme tant de choses insensées !... Si le sentiment de la Garde qui meurt et ne se rend pas 11 est héroïque à Waterloo, il ne l’est pas moins en face de la vieillesse, qui n’a pas, elle, la poésie des baïonnettes pour nous frapper. Or, pour des têtes construites d’une certaine façon militaire, ne jamais se rendre est, à propos de tout, toujours toute la