Ruelle

une profonde solitude … Se dessine alors la première partie du roman où Apolline suit sagement son chemin tout tracé au couvent et sa montée à Paris où elle retrouve sa sœur Ursule maintenant appelée Olympe ; mourante dans un sombre immeuble d'une ruelle parisienne. C'est à ce moment précis qu'Olympe lui remet dans un dernier souffle, son « testament ». Nous entrons alors dans la deuxième partie du roman, sorte de second monologue : le récit d'Olympe. Elle y raconte en détail toutes les étapes

°° La pluie fracasse le sol depuis trois jours Elle coule le long de ces ruelles jonchées de corps en putréfactions Le sang neuf,lui, continue de giclé ci et là au travers de viol à répétition C'est la tradition Trois jours de pillage pour clore un siège de deux mois d'horreurs Demain midi Mehmed II s'agenouillera dans la belle Sainte Sophie il embrassera ces courbes qui adoucissent le ciel Et sous ce dômes aux milles lunes et leurs reflets bleutées, il l'épousera! Désormais elle portera

n’avait aucun problèmes. La mère me paraissait calme, timide mais très, très naïve. Elle croyait tous se qu’on pouvait lui dire. Une fois, en parlant avec elle, je lui raconta une de mes mésaventures passées. Un jour, je me trouvais seul dans une ruelle sombre et sans vie où l’on distinguait à peine le bout de la rue ! A ce moment même pendant que j’étais en train de marcher, j’aperçus tout à coup devant moi : un chat noir. Je ne distinguais que ses yeux brillants de mille feux, comme deux lucioles

de comédiens en boule « craquent » comme un tas d'os, le chorifé joue le singe devenu fou d'excitation. Mais on retrouve aussi dans le langage du geste un travail de personnage (personnages principaux du film), d'ambiance sonore (le son d'une ruelle sombre à New York dans « Pretty woman », ou celui de la fête de mariage dans « Chat noir, chat blanc »), de texte (très court et assez expressif, exemple : « Bill ! » dans Kill Bill), de chant (les airs connus du film) … C'est un style très riche

ouvrière, il y a plus de la moitié qui pour la nourriture, le reste pour le chauffage, l'éclairage et le loyer, peu pour les vêtements et loisirs. Ils n'ont pas beaucoup d'économie. Les quartiers ouvriers sont très peuplés. Dans les petites ruelles étroites et sales, il y a beaucoup d'enfants. Les murs ne sont pas en bon état. Les maisons sont très petites, ils sont obligés de se laver dans la pièce quotidienne. Ils ont juste un poêle et se lavent dans une bassine. Quelques ustensiles de

maison" forme avec "L'incendie" et "Le métier à tisser" une trilogie algérienne qui commence en 1939.    «Grande et vieille, elle était destinée à des locataires qu'un souci majeur d'économie dominait ; après une façade disproportionnée, donnant sur la ruelle, c'était la galerie d'entrée, large et sombre : elle s'enfonçait plus bas que la chaussée, et, faisant un coude qui préservait les femmes de la vue des passants, débouchait ensuite dans une cour à l'antique dont le centre était occupé par un bassin

des immeubles effondrés ou éventrés qui crachaient une fumée noire pleine de poussière, le parfait reflet de misère qu’était cette ville. Les rares civils qui avaient décidé de rester se cachaient entre les maisons ravagées sillonnaient les rues et ruelles à la recherche d’un abri quelconque et d’une possible aide ne trouvant uniquement la mort au bout du chemin. De temps à autres des cris et des tirs se faisaient entendre au loin, puis tel un écho d’autres répondaient de la même façon. Puis des explosions

égorgés, les jeunes filles brûlées », un rythme ternaire : « Tout brûlait autour, Nawal, tout brûlait, tout cramait » (l’emploi du terme plus familier « cramer » accentue l’horreur), et une image : « Il y avait des vagues de sang qui coulaient des ruelles » (la métaphore ici employée n’est pas une hyperbole, mais la transcription de la réalité). Mais Sawda poursuit son discours, avec le récit d’une violence particulière, exemplaire même de l’atrocité de la guerre civile : elle raconte une violence

découverte de la Maison de Goldoni, dédiée aux acteurs de la Comedia del'Arte. Dîner et nuit. Jour 4 Visite après le petit déjeuner de la Galerie de l’Académie, l’un des plus beaux musées du monde. Déjeuner typique dans une pizzeria. Découverte des ruelles, petits ponts. Départ en fin d’après-midi. Dîner (panier repas) et voyage de nuit Jour 5 : Arrivée dans la matinée devant l’établissement scolaire. ALLEMAGNE Berlin Jour 1 : Départ en début d’après-midi en autocar en direction de Berlin. Dîner

Pastiche Crédule arriva le matin au port de Lagos, au Nigeria. Ne savant ni où aller ni où manger, il se lança à la découverte de la ville. Il vit dans une ruelle salle et poussiéreuse une petite fille, la tête entre les genoux, en train de pleurer. Il s’approcha et s’assit à coté d’elle et lui demanda d’une voix inquiète : « ça ne va pas mon enfant, pourquoi tu pleure ? – J’étais avec mon père quand trois hommes nous ont agressés. Pendant qu’il tabassé mon père pour lui voler son argent, j’ai pu