Rousseau Que La Souveraineté Est Indivisible

la démocratie est le gouvernement du peuple, par le peuple, et pour le peuple, qui est une formule d'Abraham Lincoln introduite dans la constitution française de 1958. Le passage d'un ancien régime à un nouvel ordre institutionnel dans lequel la souveraineté appartient au peuple ne s'opère ni sans heurts ni sans retours en arrière. Il n'y a pas de progrès linéaire de la modernité politique, d'où cette impression de «jeu» permanent et répété des failles produites dans la société européenne par l'événement

femmes, des juifs, et des noirs. Il s’intéressait beaucoup aux questions d’éducation. ROUSSEAU Rousseau pense que la nature humaine est bonne, mais que l’homme est corrompu ( il est rendu mauvais) par la société. Il a écrit « du contrat social », un livre dans lequel il affirme que tout pouvoir politique doit venir du peuple. Seul le pouvoir venant du peuple est légitime. La souveraineté populaire est indivisible. Le « contrat social » (un contrat entre les citoyens), qui est le fondement du pouvoir

La souveraineté aujourd’hui Une définition très complète de la souveraineté est donnée par Carré de Malberg dans sa Contribution à la théorie générale de l’État : « La souveraineté, c’est le caractère suprême d’un pouvoir suprême, en ce que pouvoir n’en admette aucun autre au-dessus de lui-même, en concurrence avec lui. Quand on dit que l’État est souverain, il faut donc entendre par là que, dans la sphère où son autorité est appelée à s’exercer, il détient une puissance qui ne relève d’aucun autre

d’autres notions voisines mais distinctes à savoir le peuple et la nation. On va distinguer la population du peuple et de la nation. A – Population et Peuple La notion de peuple a été conceptualisation par la sens politique moderne par ROUSSEAU : c’est une notion concrète qui couvre l’ensemble des citoyens. « A l’instant au lieu de la personne particulière d chaque contractent, cet acte d’association produit un corps moral et collectif composé d’autant de membres que l’assemblée a de voies

pouvoir et une population c'est donc la fusion de ces deux éléments qui définirait l’état. L’état nation, présupposé une identité de l’un et de autre entre état et nation . cette def d’etat en fusion de pouvoir et corps d’état on la retrouve chez rousseau , il explique qu’a l’issu du contrat qi constitue la société on a un corps dans lequel on appel état quand il et actif et souverain quand il est passif. ces définitions classique sont contestable dans la mesure ou c idée se fonde dans une construction

gouvernement par la vertu - oligarchie), ou au pouvoir de tous (politie, gouvernement de la majorité dans l’honneur - démocratie, gouvernement des pauvres contre les riches). Aristote prône un gouvernement des classes moyennes dans l’intérêt général, avec souveraineté du peuple et de la loi. 2. LA PENSEE CHRETIENNE Même s’il n’a pas prétention à ériger une nouvelle doctrine politique, le christianisme touche aux relations entre État et société. La formule de saint Paul « il n’est de pouvoir que de Dieu

liberté le pousse à confier son pouvoir à l'état parce que cette liberté sera alors mieux assurée, mieux garantie. Les citoyens auraient un droit légitime à l'insurrection. Jean Jacques Rousseau Il écrit que « l'homme naît bon et que c'est la société qui le corrompt ». Plutôt qu'un contrat Rousseau préconise une forme d'association qui défende au nom de chaque individu les intérêts du groupe sans pour autant supprimer la liberté de chacun. Cette association doit s'incarner sous la forme

modifié le fonctionnement entier de la société : il y a une aspiration à un nouvel ordre politique, ainsi que social. A partir de 1789, Sieyès propose le concept de souveraineté, en se différenciant à Rousseau, qui soutient surtout la souveraineté populaire. Ainsi, au lieu d’être transféré du monarque à tous les citoyens, la souveraineté serait soumise à une entité, la Nation, dont les représentants réunis en une Assemblée unique exerceraient la puissance législative. Ainsi ce système constitue le

constitutionnelle. Car un certain nombre d’auteurs vont théoriser un certains nombre de notions, qui elles mêmes vont irriguer le monde contemporain d’ojd. C’est la promotion du libéralisme politique, mais aussi écoq. Quelques grands auteurs comme JJ Rousseau, première grande influence politique doctrinale d’influence démocrate aussi le courant libéral représenté par Johan LOCKE, premier théoricien de la séparation des pouvoirs et dans la continuité Montesquieu. Montesquieu dans « l’esprit des lois»

reconnaissent le suffrage universel et la compétition pour accéder au pouvoir. Section 1 : La notion de souveraineté dans une démocratie Tant que l'état et le roi se confondaient le problème du titulaire de la souveraineté ne se posait pas, car dans une monarchie absolue le roi est le titulaire de la souveraineté car elle est royale. C'est même une souveraineté théocratique car le roi reçoit la souveraineté de dieu. Mais la philosophie des lumières a chercher à encadré et limité l'absolutisme royale, il