Rousseau Déterminisme Liberté

car la liberté pourrait être perçue comme une absence de contrainte. En effet, cet idéal qui anime la condition humaine se résumerait ainsi à faire ou exprimer ce que l’on veut sans loi qui pourrait nous y contraindre. Cependant l’absence de toute loi ne serait-elle pas elle même une contrainte à notre liberté ? Ne pourrions nous pas au contraire exprimer notre liberté à partir de nos propres lois, nos propres contraintes ? Est ce que la contrainte est nécessairement une limite à une liberté ? Est

 La liberté. 1 ) Liberté extérieure et liberté intérieure. Lorsqu’on parle de liberté, on peut parler de deux choses différentes.  - Soit, et c’est la définition la plus immédiate qu’on en donne d’ordinaire, de la liberté d’accomplir ce qu’on a envie de faire, ce qu’on veut. Etre libre, c’est pouvoir faire tout ce qu’on veut. Il s’agit alors de la liberté comme possibilité ou pouvoir de faire quelque chose.  Exemple : Etre libre ou pas de faire un long voyage. - Soit de la liberté de choisir

BOUSCAYROL Clément sujet: « La nature est-elle un obstacle à notre liberté »T.G.1 La liberté se définit souvent comme l’ absence de contrainte, la liberté de faire ce que l’ on veut, à condition d’ être un Homme libre. La liberté est alors l’ absence d’ obstacle. Quant à la nature, elle représente au sens large tout notre environnement (le milieu végétal, animal, etc) qui n’ est pas le résultat de la production des Hommes mais aussi elle a un tout autre sens quand on

42 LA LIBERTÉ L’essentiel pour comprendre 1 LES DIFFÉRENTS SENS DU MOT « LIBERTÉ » ▲ A. La liberté comme absence de contrainte ● C’est la définition la plus commune de la liberté : être libre, c’est faire ce qui nous plaît, c’est accomplir nos désirs sans obstacle ni contrainte. Cette acception du mot « liberté » rejoint d’ailleurs son sens premier. Pour les Anciens, un homme « libre » (du latin liber) est un homme qui n’obéit qu’à lui-même (contrairement à l’esclave

« (…) l’homme reperdant par la vieillesse ou d’autres accidents tout ce que sa perfectibilité lui fait acquérir, retombe ainsi plus bas que la bête même?» Référence : Cahier 3, p.5. Rousseau, Jean-Jacques, Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité, En ligne : http://classiques.uqac.ca/classiques/Rousseau jj/discours origine inegalite/origine inegalite.html , page consulté le 19 mars 2015. Définition : « Capacité qu’a l’homme de progresser moralement et intellectuellement -progression

Axes de réflexion : - La liberté semble être une donnée immédiate de la conscience; non seulement elle ne requiert peut-être pas d'apprentissage mais peut-être aussi l'apprentissage lui-même est contradictoire avec la notion de liberté. - Toutefois l'idée d'une liberté immédiate est peut-être une illusion provoquée par les limites de la conscience humaine : je ne connais pas les véritables causes qui me poussent à agir. - Alors la liberté n'est peut-être pas une donnée mais un acquis aussi bien

radicale : il s’agit de défendre l’idée que l’homme est d’une autre nature que la nature. C’est un être à part : il y aurait des « propres de l’homme » qui attesteraient de l’étrangeté radicale de l’homme dans la nature. Seul l’homme par son esprit (liberté et raison) accéderait à un mode d’être transcendant la vie biologique. La rupture ontique désigne la différence de nature qu’il y aurait entre l’homme d’un côté et tous les autres vivant d’un côté. C’est l’idée d’une discontinuité entre l’homme

philosophiques de l’être humain : * Être acquis/inné * Perfectibilité * Historique * Culturel * Créature de Dieu * Besoin/instincts/désirs * Sentiments/émotions * Raison/passion/logique * Libre arbitre/volonté/liberté * Inconscient/conscient de soi-même * * Comprendre, Under stand: prendre, le soutenir, l’avoir sur nous * * * MODERNITÉ * Moyen Âge et christianisme (476-1453) * * La religion va prendre du pouvoir *

La liberté « Être libre, c'est faire ce que je veux » : telle est notre définition courante de la liberté. Je ne serais donc pas libre lorsqu'on contraint ma volonté par des règles, des ordres et des lois. Être libre serait alors la condition naturelle de l'homme, et la société la marque de son esclavage. Pourtant, cette opinion ne semble pas tenable. 1. Peut-on dire que l'animal est libre ? Si la liberté est l'absence de toute règle et de toute contrainte, alors l'animal est libre. Mais ce

l'origine de cette idée. -Donc, Dieu existe. La cause de l'erreur (56) -Un Dieu parfait ne pourrait vouloir me tromper. -l'hypothèse du dieu trompeur ne tient plus. -La cause de l'erreur doit se trouver en nous. Volonté et liberté (57) Descartes croit que nous utilisons mal notre volonté a 2 occasions: -Porter un jugement sur les choses dont la vérité ne m'est pas clairement connue. -Etre détermine a agir de telle façon sans réflexion. -La connaissance de l'entendement