Roue De Bicyclette Marcel Duchamp

qui est la représentation par un objet emblématique de l’histoire personnelle du dit saint : La coquille de Saint Jacques, le bâton de Saint Christophe, la croix potencée et la clochette de Saint Antoine, ou bien de l’instrument de son supplice : la roue à clous de Sainte Catherine d’Alexandrie ou le gril de Saint Laurent. Mais il s’agit toujours de représentation d’après le réel d’un ou de plusieurs objets. C’est au XXième ou 20ième siècle que sera franchit le pas de l’introduction dans le

phrases, de logique, d’intérêt ? Seul le contenant est mis en valeur et c’est la signature du poète qui est supposée conférer à ce document sa qualité d’œuvre d’art. On retrouvera aussi cette ambition en art avec Marcel Duchamp notamment et ses ready-made objects (La Fontaine, Roue de bicyclette, …). Ce rejet de tout sens et de toute logique permet de mettre en valeur uniquement le contenant, qui peut lui seul définir une œuvre d’art et avoir un intérêt esthétique, selon les surréalistes. Ils jouent avec

Matisse et " la fenêtre ouverte". Matisse fait scandale. Il a en effet utilisé du rouge, du vert et du jaune dans le seul visage de la femme au chapeau. Madame Matisse n'ose pas entrer visiter l'exposition, ni son plus fidèle supporter, le socialiste, Marcel Sembat. Matisse, s'écrie " la tendance dominante de la couleur doit être de servir le mieux possible l'expression ... le choix de mes couleurs est basé sur le sentiment, sur l'expérience de ma sensibilité." La raie verte, Copenhague : 1905 L’ombre

qui s’en distinguait. Marcel Duchamp est un de ces artistes qui refusent la conception traditionnelle, en se posant comme anartiste. Il se permet d’incorporer dans l’art des matériaux techniques : poignées de portes, bouteilles de plastiques, objets courants etc. Ce n’est pas nouveau. Picasso s’était livré à ce genre d’exercice, en prenant un guidon et une selle de vélo pour faire un taureau. Duchamp pousse cette logique jusqu’au ready-made. En 1913 il met une roue de bicyclette sur un tabouret. En

qui s’en distinguait. Marcel Duchamp est un de ces artistes qui refusent la conception traditionnelle, en se posant comme anartiste. Il se permet d’incorporer dans l’art des matériaux techniques : poignées de portes, bouteilles de plastiques, objets courants etc. Ce n’est pas nouveau. Picasso s’était livré à ce genre d’exercice, en prenant un guidon et une selle de vélo pour faire un taureau. Duchamp pousse cette logique jusqu’au ready-made. En 1913 il met une roue de bicyclette sur un tabouret. En

: Les « ready-made » (« tout-faits ») de M. Duchamp, Roue de bicyclette (1913), Porte- bouteille (1914), Fontaine (1917) M. Duchamp est membre directeur de la Société des artistes indépendants de New-York, société à l’avant-garde où tous les artistes, sans exception, sont acceptés et qui a pour principe « pas de jury, pas de récompense ». En 1917, la société tient son premier salon. Pour y exposer une œuvre, il suffit de cotiser 6 $. Duchamp, sous le pseudonyme de Richard Mutt, envoie Fountain

Becher Jérôme Bel Hans Bellmer Ben Pierre Bismuth Christian Boltanski Camille Bombois Pierre Bonnard Pierre Boulez Louise Bourgeois Ronan et Erwan Bouroullec Maurice Boutterin Constantin Brancusi Georges Braque Brassaï Victor Brauner Robert Breer Marcel Broodthaers Luis Buñuel Daniel Buren André Cadere Alexander Calder Sophie Calle Jacques Callot Jacques Carlu Gilles Caron Henri Cartier-Bresson Emmanuel Cattani Edmond Céria César Marc Chagall Gaston Chaissac René Clair Claude Closky Henri-Georges

au château de Versailles avait créé de nombreux débats. Le ready-made, dont un des premiers a été celui de Marcel Duchamp, est très critiqué. Il s’agit de présenter un objet comme une œuvre d’art. Voici quelques « œuvres » de Marcel Duchamp, créé en 1962 : « Roue bicyclette » « Porte-bouteille » « La Fontaine » Marcel Duchamp http://biboups.wordpress.com/2009/09/25/marcel-duchamp/ «Je leur ai jeté le porte-bouteilles et l'urinoir à la tête comme une provocation et voilà qu'ils en admirent

David Unger, produite par Actes Sud et diffusée sur Paris Première. https://www.youtube.com/watch?v=0kwmfdKe9gg Séance 5 : Le pouvoir des objets Seconde partie : le pouvoir merveilleux des objets, promesses de bonheur et de bien-être. Supports :  Marcel Proust Du côté de chez Swann, Grasset, 1913.  Samuel Beckett, Oh les beaux jours, 1963. http://www.ina.fr/video/CPF86628107.  André Breton, Le Mur, Reconstitution d’un mur de l’atelier d’André Breton, 42, rue Fontaine, Paris, où il a vécu et travaillé

en la rendant absurde. L’artiste qui a beaucoup matérialisé le mouvement DADA c’est Marcel Duchamp (1887-1968) et crée les ready made comme « la roue de bicyclette » en 1913, « le porte bouteille » 1914 ou encore « La fontaine ». Le ready mate est une pièce que l’artiste trouve « already made » c’est à dire déjà toute faite et qu’il sélectionne pour sa neutralité esthétique. En inventant cette démarche, Duchamp ouvre la voie aux démarches avant-gardistes les plus extrémistes. En 1919 il crée «