Rothko Newmann

pratiquent le « all over », couvrant entièrement la toile de peinture. Tendance plus zen, la colorfield painting (peinture du champ coloré) est plus méditative et introspective. Ses représentants majeurs sont Marc Rothko, Barnett Newman et Clyfford Still. {draw:frame} Marc Rothko, Red, orange tan, and purpule. 1949 POP-ART Le Pop Art américain Aux Etats-Unis, le Pop Art apparaît au sein d’une société de consommation en plein boom : par le réemploi et le détournement plus ou moins dénonciateur

américain, Jackson Pollock est devenu un mythe, célébré par une Amérique fière d’arborer un artiste capable d’égaler les grands maîtres européens. La peinture de Pollock est associée à l’expressionniste abstrait aux côtés de De Kooning, Motherwell, Newman ou Rothko. Même s’il s’inspire de l’artisanat indien, des fresques mexicaines, de l’automatisme (pour sa part physique) de Mirò et Masson, Picasso reste sa véritable référence. C’est en 1947 que Jackson Pollock abandonne l’utilisation classique du pinceau

français se réfugient aux USA. « Color field » : critique : Clement Greenberg artistes : Mark Rothko et Barnett Newman « Action painting » : critique : Harold Rosenberg artistes : Jackson Pollock et Willem De Kooning Mondrian sera sur New York mais c’est surtout Kandinsky qui intéressera la nouvelle génération. Ils seront aussi très influencés par les dadaïstes et les surréalistes. Mark Rothko « number 10 », 1950 : il s’intéresse beaucoup à la couleur, héritage direct de Kandinsky, là il

ne centrer que sur la couleur de l’expansion physique de la lumière en grand forma afin de nous absorber le spectateur qui traverse la toile. 2) Réduction de la palette chromatique. N’est pas en monochromatique (une seule couleur) En glossi.  Mark Rothko : travail avec les couleurs translucides (beaucoup de couche en aquarelle afin de donner l’impression de profondeur). 3) L’idée de l’enivrement du spectateur soit absorbée par la couleur et rien qu’elle. D’où la difficulté de l’exposé en des bonnes

ne centrer que sur la couleur de l’expansion physique de la lumière en grand forma afin de nous absorber le spectateur qui traverse la toile. 2) Réduction de la palette chromatique. N’est pas en monochromatique (une seule couleur) En glossi.  Mark Rothko : travail avec les couleurs translucides (beaucoup de couche en aquarelle afin de donner l’impression de profondeur). 3) L’idée de l’enivrement du spectateur soit absorbée par la couleur et rien qu’elle. D’où la difficulté de l’exposé en des bonnes

l’une de ces grandes toiles en 1955. De nombreuses similitudes formelles sont dès lors mises au jour entre l’art abstrait de l’École de New York qui caractérise la production artistique depuis la fin des années 1940 aux États-Unis (Pollock, Rothko, Newman, Still…), l’abstraction lyrique en Europe et les réalisations du vieux maître. En effet, les Nymphéas de Monet apparaissent comme l’acte de naissance en occident d’une peinture décentrée, où aucune partie du tableau n’exerce de primauté

Les œuvres color field donnent ainsi une sensation d’enveloppement du spectateur, et créent un rapport fort et émotionnel avec lui. Rothko est un peintre américain d’origine russe. Il est né en Lettonie à Dangavpils (anciennement Dvinsk) mais émigre aux Etats-Unis avec sa famille en 1913. Le nom de son père était Jacob Rothkowitz, qu’il transforme en Rothko. Il se forme ensuite à New-York au côté de M. Weber. Ses premières œuvres sont figuratives dans un style expressionniste. En 1935, il fonde

précoce ou une modification matérielle de l’oeuvre peuvent être causées par l’omission, par exemple, de la couche de base - ou de préparation - (S. Francis), par l’absence de vernis protecteur contre la poussière et la pollution atmosphérique (M. Rothko), par l’application de couches de surface fragiles (C. Still), par l’usage de châssis faibles ou inaptes à soutenir de vastes formats ou le poids de toiles lourdement travaillées (A. Kiefer). Parmi d’autres causes figurent l’utilisation de supports

peinte cow-boy solitaire alcoolique. En quoi une image serait-elle assez forte pour déciller durablement l’imaginaire ? Une présentation de l’Autre, de Dieu qui ne soutienne la croyance en l’ex-istence de l’Un dans l’Autre. Doit-on chercher du côté de Rothko ? La seule peinture qui peut soutenir ce genre de proposition est une peinture mystique, soit ce qui manifeste le discours théologique en ce qu’il implique la question de la jouissance ; ça ne peut avoir que des conséquences tout à fait sérieuses

(pt) Morris, Robert (pt, sc) Motherwell, Robert (pt) Mousseau, Jean-Paul (pt) Nevelson, Louise (sc) Newman, Barnett (pt, sc) Noland, Kenneth (pt) Oldenburg, Claes (pt) Pellan, Alfred (pt, sc) Poliakoff, Serge (pt) Pollock, Jackson (pt) Robert, Louise (pt) Rauschenberg, Robert (pt, sc) Raysse, Martial (pt) Rebeyrolle, Paul (pt) Reinhardt, Ad (pt) Riopelle, Jean-Paul (pt, sc) Rothko, Marcus Rothkvitch, dit Mark (pt) Roussil, Robert (sc) Saint-Phalle, Niki de (sc) Savoie, Robert (pt)