Rosanette

ensuite, nous analyserons les procédés utilisés par Gustave Flaubert pour critiquer la population bourgeoise. Gustave Flaubert fait la description, par l’intermédiaire d’un narrateur externe, de six couples assistants au bal organisé par Madame Rosanette. Le type de texte peut être prouvé par l’emploi de l’imparfait descriptif : je cite « dansait », « portait ». Les descriptions sont assez courtes et sont regroupées en un seul paragraphe rédigé en prose. Chaque couple est constitué d’un homme et

scène sa gaucherie en insistant sur le manque de naturel de toutes ses actions : pour dissimuler sa manœuvre (voc. Militaire), se planta, affecta Ceci doit être mis en relation avec l’ensemble du roman : jamais il n’ose aborder Madame Arnoux ni même Rosanette. >Les pensées de Frédéric Le narrateur nous invite à voir, à prendre conscience de la banalité de la scène : ce ne sont que des choses. -comme une chose extraordinaire -se réjouissait d’entendre ces choses comme s’il eût fait une découverte Le lecteur

II) Corpus : le description dans le roman : personnages et visons de la société 1) L'ÉDUCATION SENTIMENTALE Rosanette voulut qu'on arrêtât, pour mieux voir le défilé. Mme Arnoux pouvait reparaître. Il cria au postillon :-- «Va donc! va donc! en avant!»Et la berline se lança vers les Champs-Elysées au milieu des autres voitures, calèches, briskas, wursts, tandems, tilburys, dog-carts, tapissières à rideaux de cuir où chantaient des ouvriers en goguette, demi-fortune que dirigeaient avec prudence

femme. Bientôt, le marchand l'entraîne dans la société parisienne où le jeune homme découvre les joies de la vie mondaine par l'intermédiaire de Rosanette, jeune et belle dame entretenue tantôt par l'un, tantôt par l'autre des compères qui gravitent autour d'elle. Et Frédéric se met peu à peu à hanter les deux maisons : celle de la frivole courtisane Rosanette où il se divertit, et celle de la fidèle et délaissée Marie Arnoux. Durant ces années, il croise également bon nombre de relations plus ou moins

met en scne sa gaucherie en insistant sur le manque de naturel de toutes ses actions pour dissimuler sa manuvre (voc. Militaire), se planta, affecta Ceci doit tre mis en relation avec lensemble du roman jamais il nose aborder Madame Arnoux ni mme Rosanette. Les penses de Frdric Le narrateur nous invite voir, prendre conscience de la banalit de la scne ce ne sont que des choses. -comme une chose extraordinaire -se rjouissait dentendre ces choses comme sil et fait une dcouverte Le lecteur fait donc

sa gaucherie en insistant sur le manque de naturel de toutes ses actions : pour dissimuler sa manœuvre (voc. Militaire), se planta, affecta Ceci doit être mis en relation avec l’ensemble du roman : jamais il n’ose aborder Madame Arnoux ni même Rosanette. >Les pensées de Frédéric Le narrateur nous invite à voir, à prendre conscience de la banalité de la scène : ce ne sont que des choses. -comme une chose extraordinaire -se réjouissait d’entendre ces choses comme s’il eût fait une découverte Le lecteur

actes et les pensées des personnages : dans l'Education Sentimentale, par exemple, Flaubert met au jour le caractère vélléitaire et pusillanime des amours de son héros Frédéric Moreau, partagé entre Madame Arnoux qu'il idéalise et la courtisane Rosanette qu'il méprise. En outre, le roman inscrit son intrigue dans des données sociales et historiques, ce qui n'est pas le cas du poème qui se veut intemporel. Les amours des héros du XIX e siècle sont souvent gouvernées par l'ambition, comme c'est le

donc lui être utile. Le voilà qui entrait dans son existence, dans son cœur » p.185 « Et ce muet échange de leurs pensées était comme un consentement un début d’adultère » p. 214 On peut aussi voir se rapprochement quand Frédéric lui annonce que Rosanette n’est pas sa maîtresse Mme Arnoux à l’air ravie, on en constate donc qu’elle ne lui est plus indifférent. «  Quand elle eut respiré largement, elle lui dit : « Je vous crois », avec un beau sourire » p.224 Le moment où on voit très clairement

nous avons comparé la description du chef-d'oeuvre Plein Air du peintre Claude Lantier, héros du roman L'CCuure de Zola, au célèbre Déjeuner sur l'herbe de Manet; une scène idyllique de L'Education sentimentale-celle de la promenade de Frédéric et Rosanette à Fontainebleau-ressemblait au tableau de Théodore Rousseau, Sortie de forêt à Fontainebleau, soleil couchant (1848); certaines scènes de L'Assommoir et de Germinal rappelaient le ton de critique sociale des oeuvres de Daumier, telles que La Lavandière

vaste fresque historique, raconte l’histoire d’un jeune homme, Frédéric Moreau, qui combine à lui seul enthousiasmes de le jeunesse romantique et ambitions sociales. Alors que se déclenche la révolution de 1848, il séduit tour à tour la lorette Rosanette et l’aristocrate Mme Dambreuse, mais ne peut atteindre sa véritable passion, Mme Arnoux, rencontrée dès le début du roman sous la forme d’un véritable coup de foudre. Grâce à l’interaction entre histoire privée et Histoire publique, Flaubert fait