Ronsard Un Squelette

............................ 166 À une passante........................................................................................ 135 Allégorie........................................................................................ 167 Le Squelette laboureur........................................................................................ Béatrice........................................................................................ 136 La 168 Le Crépuscule du soir..................

100 101 102 103 104 105 106 107 108 110 TABLEAUX PARISIENS LXXXVI. Paysage LXXXVII. Le Soleil LXXXVIII. A une Mendiante rousse LXXXIX. Le Cygne XC. Les Sept Vieillards XCI. Les Petites Vieilles XCII. Les Aveugles XCIII. A une passante XCIV. Le Squelette laboureur XCV. Le Crépuscule du Soir XCVI. Le Jeu XCVII. Danse macabre XCVIII. L’Amour du Mensonge XCIX. C. CI. Brumes et Pluies CII. Rêve parisien CIII. Le Crépuscule du Matin 111 112 113 114 116 118 120 123 124 125 127 128 129 131 132 133 134

les textes de l’Antiquité. La lecture de la Bible encourage les mouvements de rénovation religieuse. RABELAIS, proche de la culture populaire, incarne l’enthousiasme d’un joyeux savoir (Pantagruel et Gargantua, 1532-1534). Les poètes de la Pléiade (RONSARD, du BELLAY) créent une poésie riche et érudite ; ils se font une haute idée de leur mission. MONTAIGNE développe une sagesse qui exprime la variété des expériences humaines (Essais, 1580). • L’esthétique baroque (1580-1650) Caractérisée par le goût

Est-ce que la littérature doit-elle être scandaleuse  ? Belles lettres de la renaissance = ce que nous appelons la littérature aujourd’hui. Au contraire de Baudelaire , DB et Ronsard, les gardiens de la langue ne faisaient pas du tout scandale. Ils se portent garant de la bienséance de la langue pour être une belle chose qui séduise le public. Il s’agit d’utiliser la langue de tous pour en faire un élément

. .155 XCI. Les Petites Vieilles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .158 XCII. Les Aveugles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .163 XCIII. A une passante . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 164 XCIV. Le Squelette laboureur . . . . . . . . . . . . . . . . . .165 XCV. Le Crépuscule du Soir . . . . . . . . . . . . . . . . . . .167 XCVI. Le Jeu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .169 XCVII. Danse macabre . . . . . . . . . . . . .

.....................................................127 XCII. – Les aveugles................................................................ 130 XCIII. – À une passante ........................................................... 131 XCIV. – Le squelette laboureur............................................... 132 XCV. – Le crépuscule du soir .................................................. 134 XCVI. – Le jeu ......................................................................... 136 XCVII. –

.....................................75 XCII. – Les aveugles .......................................................................... 77 XCIII. – A une passante.....................................................................78 XCIV. – Le squelette laboureur .........................................................78 XCV. – Le crépuscule du soir.............................................................79 XCVI. – Le jeu.....................................................................

.....................................................127 XCII. – Les aveugles................................................................ 130 XCIII. – À une passante ........................................................... 131 XCIV. – Le squelette laboureur............................................... 132 XCV. – Le crépuscule du soir .................................................. 134 XCVI. – Le jeu ......................................................................... 136 XCVII. –

est décrite comme un lieu horrible. Les mots que tu devais souligner en vert sont : « brûler » (l. 23), « poussière » (l. 23), « nue » (l. 25), « sale » (l. 25), « puante » (l. 25), « lèpre » (l. 25), « ravagée » (l. 25), « rongeait » (l. 26), « squelettes » (l. 26), « défoncés » (l. 26), « abandonnés » (l. 26) et « inachevées » (l. 27). b) Dans ce paragraphe, le paysage et les personnages sont décrits du point de vue du narrateur. Ce point de vue est externe (le narrateur n’est pas un personnage)

Marot en règles ou en cavales Chroniques d’humour et de plaisir La chasse au poète fait bonne impression Pernette gorgée de Scève Louise Labé et son envie de baisers Les capitaines de la Brigade Sous l’aile de Dorat Du Bellay ne retient pas sa langue Ronsard entre amours et politique Fin de constellation Jodelle abattu en plein vol Jean-Antoine de Baïf, le parolier de Lassus Le sensuel Rémy Belleau Pontus de Tyard, l’évêque amoureux La rigueur mathématique de Peletier du Mans Chapitre 7 - L’ébullition