Ronsard Sonnet 35

Pantagruel (1532) ou Gargantua (1535) Clément Marot, Adolescence Clémentine (1532). Louise Labé, poèmes (vers 1550) Du   Bellay,   ∆   Défense et illustration de la langue française (1549) et Regrets (1558) ou Antiquitez de Rome (1558) *Ronsard, Odes (1550) ou Sonnets pour Hélène (1578) Marguerite de Navarre, L’Heptaméron (1558) *Montaigne, Essais (1580-1588) (extraits) XVIIe siècle Malherbe, Poésies (1627) ∆*Descartes,  Discours de la méthode (1637) *Corneille, Le Cid (1636) ou Horace (1640)

réussit le mieux la synthèse de la prose d’idées et de la prose narrative. La Renaissance est aussi un véritable âge d’or de la poésie. A Paris les membres du groupe la Pléiade (dont Du Bellay et Ronsard) influencés par la culture antique et l’Italie innovent dans la versification (odes, ballades, sonnets). Le théâtre continue à cultiver les genres médiévaux traditionnels. Peu d’innovation dans la première moitié du siècle. Dans la deuxième moitié la tragédie est portée par le renouveau humaniste

30 La rime est une esclave et ne doit qu’obéir. 2 31 Lorsqu’à la bien chercher d’abord on s’évertue, 32 L’esprit à la trouver aisément s’habitue ; 33 Au joug de la raison sans peine elle fléchit 34 Et, loin de la gêner, la sert et l’enrichit. 35 Mais, lorsqu’on la néglige, elle devient rebelle, 36 Et, pour la rattraper, le sens court après elle. 37 Aimez donc la raison : que toujours vos écrits 38 Empruntent d’elle seule et leur lustre et leur prix. 39 La plupart, emportés d’une fougue

nombre de vers de la strophe, il est préférable d'observer la règle de l'alternance des rimes d'une strophe à l'autre : si la première finit par un vers masculin, la seconde commencera par un vers féminin et vice versa (bien que les quatrains des sonnets ne respectent pas cette règle : souvent ABBA puis de nouveau ABBA). Les strophes sont, dans presque tous les cas, séparées par une ligne blanche. Noms basés sur l'organisation de la strophe La dénomination d'une strophe peut se référer au rapport

tradition lyrique (Pétrarque puis Ronsard). Thèmes de l’étoile, et des astres porteurs de toute une symbolique qui reprend les thèmes évoqués. - Poétique apollinarienne : recueil présentant un grand nombre de formes diverses qui posent la frontière entre prose et vers : strophes variées avec les mètres de prédilection (octosyllabes/ alexandrins), calligrammes (appelés dans les lettres : idéogrammes lyriques), blason, ode, fable, dialogue, poème épistolaire, sonnet, épigramme, acrostiche… et des strophes

Les séparés de Marceline Desbordes Valmore Découvrir un poème de la séparation Définir le lyrisme de façon inductive Séance II- Versification à partir d’un sonnet élégiaque Page 7 Diaporama 2 Dominante : Lecture Je vis je meurs, de Louise Labé Rappel des règles de versification Analyser un sonnet élégiaque : la contradiction des sentiments Séance III- Deux thèmes lyriques : le temps et l’eau Page 9 Diaporama 3 Dominante : Lecture Le lac, de Lamartine

poème chanté avec accompagnement musical. Les bardes, dont le plus célèbre, Assurancetourix, jouaient de la harpe ou jouer avec un instrument à cordes pincées. Récit bref d’environ 500 vers, même longueur qu’un fabliau. Corpus relativement modeste : 35 textes conservés au total, car elle est rarement produite à l’écrit. Marie de France est active à la cour d’Angleterre, de Londres, mais est originaire d’Ile de France. Le lai relève d’une tradition trilingue, produit de rencontre de 3 cultures et de

impression de limpidité et de facilité. Il a surtout composé des poèmes courts, ballades et rondeaux, ainsi que quatre complaintes et deux dits narratifs. Sa forme de prédilection est le rondeau de 12 ou 15 vers, très proche par la forme et les thèmes du sonnet qui triomphera au siècle suivant. |    II- L'INVENTION DE LA POÉSIE 17- François Villon (1431 ou 1432 – ap. 1463) | D'après divers documents découverts au XIXe siècle, François de Montcorbier, orphelin de père, naît à Paris en 1431 ou 1432,

tourner en ridicule »... Le plus récent Dictionnaire des Lettres françaises[4] insiste pour sa part sur l’élasticité d’un genre qu’il ne confine nullement au registre populaire, puisqu’il cite des complaintes lettrées de Jean Molinet, Marot, Ronsard, Du Bellay (« Complainte du Désespéré »), d’Aubigné : les complaintes « savantes » de Laforgue ont donc de nombreux précédents. C’est aussi le cas en Angleterre des Complaints d’Edmund Spenser (1591) pleurant « Les ruines du Temps », ou encore de

présente toujours son histoire. Ensuite, on trouve plusieurs fois des opinions directes de la narratrice sur l’histoire, vers 134 : «  Voilà Lanval bien heureux ! », vers 140 « Voilà Lanval bien pourvu ! » et vers 154 « Voilà Lanval bien logé ! ». Au vers 35 « N’en soyez pas surpris, seigneurs », elle s’adresse directement au lecteur, de la même manière qu’au vers 39 : « le chevalier dont je vous parle », ou qu’au vers 88 : « dont je ne peux dire la valeur ». Enfin elle fait référence aux origines du texte