Ronsard Soit Que Son Or

*l’apparition de nouveaux modes de diffusion de l’information, *la lecture scientifique des textes fondamentaux, *la remise en honneur de la culture antique, *le renouveau des échanges commerciaux *et les changements de représentation du monde. Or le terme humanisme est souvent mal interprété. Il signifie une tendance générale de cette période, en effet la Renaissance est caractérisée par la naissance de l’humanisme et de la conscience moderne. II) LES GRANDES DECOUVERTES DE LA RENAISSANCE

passionné et douloureux qui se voit directement avec ce vers «J'ai grands ennuis entremêlés de joie». L amour ici l investit lui fait perdre la raison, on peut dire que l amour la mets dans une situation de délire. Suivit d un poème de Pierre de Ronsard écrit au XVIe siècle : Amour me tue, et si je ne veux dire le poète présente à nouveau un amour qui à la fois le réjouit et le détruit on voit cette contradiction grâce à l antithèse du deuxième vers « Le plaisant mal que ce m'est de mourir». Puis

porté par terre, et ta douce beauté Ne me peut faire croire en toi la cruauté ». De la même façon, Ronsard essaye de surmonter la peur de vieillir en appréhendant sa mort qu’il sent proche. C’est ce que l’on voit dans son poème « Je n’ai plus que les os… », et notamment dans les vers : « Adieu, plaisant soleil, mon œil est étoupé, Mon corps s’en va descendre où tout se désassemble.» Ronsard tente de surmonter sa peur et délivre par la même occasion un message d’adieu qui permettra à ses proches

cette double connotation est péjorative : - mendient => misère sociale -rousse => couleur de cheveux connoté négativement => rapport à la laideur ( à l’époque ) et à connotation satanique Le projet de Bdlaire est ici de faire de la boue en or (la «  boue » étant ici la mendiante ) . Il veut derrière la laideur voir la beauté des choses Cela s’illustre dans les trois premiers quatrain I) Un éloge paradoxale ( analyse des trois premières strophe)gsy=>pronom relatif « dhvcv »=> début

platonicienne. Question d'amour qui est au coeur de la poésie de Louise Labbé. La 2ème partie, 3 èlégies, poème sans forme fixe. La 3ème partie, 24 sonnets, forme fixe l'oeuvre qui intégre vraiment le sonnet par excellence est les amours de Ronsard. Au 16ème siècle, Louise Labbé est considéré comme un auteur du débat et non pour sa poésie. Dans les sonnets, nous avons affaire à une voix féminione qui s'adresse à un homme, elle dit l'amour qu'elle porte à cet homme ansi que sa beauté.

donné 1 résnce et signific° uniq-. Or le mot ø présent dans le corps des FDM, seulmt en titre. Emprunté de l’anglais, le terme vient du grec = rate. Le siège de la bille noire, ds humeurs mvse q selon Hippocrate se diffust ds le corps et ds l’âme. On peut dire = mélancolie MS pr B le spleen retrve des réalités + cplxe q’1 sple tendance aux idées noires. Spleen = place importte ds la vie de B hanté de manière chroniq- par la dépress° et la tenta° du suicide. Or le spleen = état psychiq- et une condi°

de couverture : Olympia (1863) Édouard Manet , Musée d'Orsay, Paris SOMMAIRE XVI ème siècle Blason du beau Tétin,Clément MAROT (1535) Blason des cheveux, Jean DE VAUZELLES Blason de l’œil , Mellin DE SAINT-GELAIS , Œuvres (1547) Sonnet X, RONSARD, Continuation des Amours (1555) Sonnet 9, O beaux cheveux d'argent mignonnement retors ! , DU BELLAY , Les Regrets (1556) Le blason de la main, Claude CHAPPUYS ( ) Blason du sourcil, Maurice SCÈVE, (1536) XVII ème siècle L'anatomie de

nouveaux – Les sciences et la connaissance – Le rôle du Prince – La religion, ses principes et sa pratique Tableau : la naissance de vénuse (1484), Sandro Botticelli. Auteur Discours des misères de ce temps de Pierre de Ronsard « On dit que Jupiter, fâché contre la race Des hommes qui voulaient par curieuse audace Envoyer leurs raisons jusqu’au Ciel, pour savoir Les hauts secrets divins, que l’homme ne doit voir, Un jour étant gaillard choisit pour son amie Dame

beauté de quinze ans enfantine, Un or frisé de maint crêpe anelet, Un front de rose, un teint damoiselet, Un ris qui l’âme aux Astres achemine ; Une vertu de telles beautés digne, Un col de neige, une gorge de lait, Un coeur jà mûr en un sein verdelet, En Dame humaine une beauté divine ; Un oeil puissant de faire jours les nuits, Une main douce à forcer les ennuis, Qui tient ma vie en ses doigts enfermée Avec un chant découpé doucement Ore d’un ris, or’ d’un gémissement, De tels sorciers

meurt en suisse toujours fidèle à ses idées protestantes. En France nous nous confrontons à un problème littéraire important. Les auteurs Français n’arrivent pas à écrire d’épopée. La France n’en a pas, de grand poètes ont tenté le coup tel que Ronsard et Voltaire mais le seul qui y est arrivée est un homme décalé : AA mais il sera ignoré car c’est un protestant. On peut noter que cette épopée est une épopée religieuse mais il y a une inversion c’est l’épopée du perdant. « La défaite ici c’est