Ronsard Nature

« Mignonne allons voir si la rose » (Pierre de Ronsard) Mignonne allons voir si la roseMignonne, allons voir si la roseQui ce matin avait décloseSa robe de pourpre au soleil,A point perdu cette vespréeLes plis de sa robe pourprée,Et son teint au votre pareil.Las ! voyez comme en peu d'espace,Mignonne, elle a dessus la place,Las, las ses beautés laissé choir !O vraiment marâtre Nature,Puisqu'une telle fleur ne dureQue du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne,Tandis que vôtre

Pierre de Ronsard (16e siècle: la Renaissance) Il est promis à une carrière diploatique et militaire MAIS devient sourd (doof) à 15 ans. -> il devient poète. Il imite les modèles grecs et latins, mais à côté de cela, la douceur est aussi essentielle dans son poésie. Il a crée l’école de la Pléiade qui veut défendre le français contre la dominante culture du latin. Auteur de trois autres oeuvres: - Amours de Cassandre -Amours de Marie - Sonnets pour Hélène Cassandre Salviati: Fille

forces ne sont pas bornées» (11). La déclaration que Richelieu «n'est pas moins père des vers» (13) peut signifier son rôle de patron de l’art et de la littérature et comme fondateur de l’Académie Française en 1635. Ronsard et Malherbe sont aussi des exemples des réussites de Richelieu. Ronsard faisait partie du groupe de poètes humanistes de la Pléiade qui contribuait à l’enrichissement de la langue française. Il est devenu poète officiel de la cour, conseiller et aumônier du roi en 1558. Malherbe était

recueil Comme on voit sur la branche ... de Pierre de Ronsard (1524-1585) un poète français de la renaissance appartenant au groupe de la Pléiade notamment avec Joachim du Bellay. Il s'agit d'un sonnet écrit en alexandrin. Dans son poème, Ronsard s'adresse à Marie, son amante alors décédée. Comment est traité l'image de la Femme dans ce poème ? Nous verrons qu'a travers différentes images l'auteur nous transmet un éloge de Marie. Pierre de Ronsard nous décrit Marie comme une fleur, on note ainsi la

craintes de l'auteur. La poésie lyrique exprime des sentiments personnels sur des thèmes généraux comme l'amour, la nature, ou la mort. Par exemple dans le poème de Pierre de Ronsard : « Sur la mort de Marie » un sonnet écrit en hommage à la femme aimée. On retrouve ce « je » lyrique dans le dernier tercet : « Mes larmes, et Mes pleurs ».De plus le theme de la mort ainsi que celui de la nature y sont très présents. C’est donc un poème lyrique. Chez Hugo, ce « moi » est inévitable puisque dans « Demain

fonction de la poésie : une fonction thérapeutique, curative évidente. Parmi les thèmes récurrents, le lecteur retrouve les troubles de la passion, la mélancolie, le regret, la tristesse, la douleur à travers les thèmes de l'amour, de la vie, de la nature, de la confidence, de la solitude, de la fuite du temps et de la mort. L’origine même de la poésie renvoie à cette volonté de dire les émotions. Le mythe d’Orphée évoque cet homme, fils d’une muse, capable de charmer les animaux avec sa lyre, instrument

de Ronsard et Joachim du Bellay.  Le genre dominant de cette époque est la poésie lyrique. Les caractéristiques sont l'intérêt de la langue française et le modèle antique (succès du sonnet) les thèmes abordés sont l'amour, la jeunesse, la beauté, la fuite du temps et la nature.  Les caractéristiques et principes dominants sont : l'intérêt pour la langue française et le modèle antique.  Les thématiques étudiées sont celle de l'amour, la jeunesse, la beauté, la fuite du temps et la nature. 

- Et pourtant vous serez semblable à cette ordure, Ce beau matin d'été si doux : A cette horrible infection, Au détour d'un sentier une charogne infâme Etoile de mes yeux, soleil de ma nature, Sur un lit semé de cailloux, Vous, mon ange et ma passion ! Les jambes en l'air, comme une femme lubrique, Oui ! telle vous serez, ô la reine des grâces, Brûlante et suant les poisons,

Une ombre, une fiction ; Le plus grand bien est peu de chose, Car toute la vie n’est qu’un songe, Et les songes mêmes ne sont que des songes. Pedro Calderon de la Barca, La Vie est un songe DORANTE. Ce mage, qui d'un mot renverse la nature, N'a choisi pour palais que cette grotte obscure. La nuit qu'il entretient sur cet affreux séjour, N'ouvrant son voile épais qu'aux rayons d'un faux jour, De leur éclat douteux n'admet en ces lieux sombres Que ce qu'en peut souffrir le commerce

POETIQUE : LA PLEIADE : La pléiade de 1549 à la mort de Ronsard, la pléiade n'a jamais constitué une école. Le phénomène n'existe pas au XVI° siècle. Pour la première fois, des poètes et écrivains français se sentent liés par une communauté d'intérêts, prennent conscience de visées théoriques et poétiques homogènes, se reconnaissent un chef (Ronsard). Bref, ils s'identifient comme un groupe sous une domination commune. C'est Ronsard qui en 1556 a repris le terme de pléiade par cette constellation