Rōnin

organisation japonaise, ils sont spécialisés dans le crime organisé , les Yakuzas seraient apparus au 15ème siècle, il y a plusieurs histoires autours des Yakuzas et leur origine serait encore un mystère selon certains auteurs ils seraient descendant des Ronins (des samouraïs) ou encore des Bakutos (des joueurs de jeux de hasards). Les jeux de hasards sont en effet aujourd’hui l’une des principales activités des Yakuzas mais selon certains dires ils seraient descendant des Tekiya (ce sont des routiers

prend en compte ses employés plus il est apprécié de ces derniers. C’est la dimension paternaliste du patron japonais, qui est comme nous le disions dans la première partie le père de la grande famille qu’est l’entreprise. L’histoire des quarante sept rônins, qui est considérée dans les manuels d’histoire japonais comme « une légende nationale » permet d’illustrer ce point. Ōishi Kuranosuke est un leader paternaliste et les 46 samouraïs qui le suivirent dans la vengeance savaient très bien qu’ils mourraient

de la mystérieuse mallette transportée dans la voiture, et dont le contenu n'est jamais montré, vient d'un classique du film noir : En quatrième vitesse de Robert Aldrich1, idée qui fut reprise dans un film d'Alex Cox : Repo man, réalisé en 1984 et Ronin de John Frankenheimer sorti en 1998. Tarantino explique qu'elle contient plus ou moins ce qu'on veut. Cela ouvre bien des possibilités. Parmi les différentes théories, on trouve : des lingots d'or, très classique ; les diamants préalablement volés

mal vus dans la région. Le nouveau shogun mis en place est un fait mal vécu par la population et qui fait du nouveau daimyô un martyr. Une révolte se met alors en place, avec Amasuka Shirô, fils de samurai, à la tête d’un groupe d’agriculteurs et de rônin (guerriers libres). La forteresse de Shimabara est conquise un an plus tard par les forces shogunales ; les Japonais chrétiens appellent à l’aide aux Hollandais qui observent la situation pour le seul compte du shogun. La révolte des chrétiens échoue

parties, la dernière partie de la motivation pour la migration des personnes qui cherchent à gagner leur vie ou dans les possibilités d'emploi. En outre, Il ya un certain nombre d'armes à "la fille d'appui" en Chine un rêve de spéculateurs et de "Ronin". Depuis la guerre sino, les immigrants japonais au vainqueur victorieuse sera entré dans les villes côtières et villes de l'intérieur, et avec la mise en œuvre de la politique coloniale du Japon et de l'expansion de l'investissement en capital

Wakisashi Semblable au Katana, si ce n’est qu’il est plus court. Le waki, porté du même côté que le katana, n’est que très rarement utilisé à la main gauche : il est surtout une arme de secours, ou d’apparat. A noter que de rares samouraïs ou ronins s’en servaient pour combattre à deux armes, mais c’était assez mal vu. Cela dit, rien n’oblige le porteur à respecter le bushido, le code d’honneur imposant ces limitations… |Prise |Attaque |Longueur de lame |Dommages

livre l'empereur et le shogun, l'importance et la notion d'honneur omniprésente dans le bushido (voie du guerrier) qui imprégna le Japon pendant des siècles. Les récits de sabre tout en s'attachant à un héros "souvent d'ailleurs déclassé ou atypique : rônin, samouraï sans maître, samouraï accompagné d'un enfant- livrent souvent un témoignage politique et historique de grande qualité sur le Japon du XVIIIème siècle (Hirata, auteur de la série Satsuma est aussi un spécialiste de l'histoire du Japon et un

1680 : sous le shogun Tokugawa Tsunayoshi, la classe de marchands commence à prendre une très grande importance. Les daimyo sont parfois obligés de leur emprunter de quoi subvenir à leurs fastueuses dépenses. 1703 : incident de la « vengeance des 47 ronin » (samouraïs ayant quitté le service de leur maître et parcourant le pays en quête d'aventures) : le shogun les condamne à se suicider, mais cet événement va défrayer la chronique et inspirer d'innombrables récits et pièces de théâtre. 1709 : Arai

294 p..- Folio. SF, ISBN 2-07-042048-5 La voie du sabre, 2 : L'homme qui voulait tuer l'empereur. - Paris : Gallimard, 2003.- Folio. SF Résumé du tome 1 : Pour parfaire l'éducation de son fils Mikedi, le chef de guerre Nakamura Ito le confie à un rônin du nom de Miyamoto Musashi, le plus grand maître du sabre de l'Empire. Ensemble, pendant six longues années, le maître et l'apprenti vont arpenter la route qui mène jusqu'à la capitale Edo, où se trouve l'Impératrice-Dragon, dont Mikedi espère devenir

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