Roman de Brut

montre J.-C. Baillon), peut se présenter comme un événement à la frontière de la réalité et de la fiction, et passionner le public selon le même processus projectif. Mais il s'agit là de fantasmes et de pulsions. Le Grand Guignol, les mélodrames et les romans noirs peuvent jouer à cet égard un rôle comparable aux faits divers, à ceci près qu'ils sont des genres purement fictionnels. [II- Une approche instructive] Tout le monde n'a heureusement pas la même approche du fait divers. Aujourd'hui il constitue

s de “journal ordinaire”  ou “journal amélioré” (papier ayant une blancheur supérieure).  Exemple : La Provence    2. Le bouffant  C’est un papier non collé, que l’on dit “brut de machine” ou légèrement apprêté.  Le bouffant est un papier rugueux, plus ou moins pelucheux par défaut de collage.  Exemple : Pages de roman    3. L’offset  C’est un papier bien collé, apprêté (sur lisse) ou satiné (sur calandre). Excellents papiers, plus ou moins  apprêtés ou satinés, ils conviennent à tous les imprimés

DOSSIER M311 2009-2010 Tout le document devra être dactylographié et suivre les normes suivantes : - Marges par défaut (2,5 cm de chaque côté ; Fichier Mise en Page Marges). - Police Times New Roman de taille 12, couleur noire. - Interligne 1,5 sur l’ensemble du document (Format Paragraphe Interligne 1½). - Alignement justifié (Format Paragraphe Alignement). - Numérotation des pages (Insertion Numéros de page). - Impression recto uniquement. - Le document devra également être relié ou agrafé. - Une

ÉMILE ZOLA “Thérèse Raquin” (1867) Roman de 240 pages Résumé Thérèse Raquin est la fille d'un capitaine français qui était en Algérie et d’une indigène. À l'âge de deux ans, il l'emmena en France, chez sa s' ur, femme au visage gras et placide qui vit à Vernon, pour qu'elle s'occupe d’elle parce que sa mère était morte. Madame Raquin a un fils, Camille, qui, les cheveux d'un blond terne, le visage couvert de taches de rousseur, est lymphatique et maladif. Elle éleva Thérèse dans l'unique

purisme*)le rend également sensible à leur traitement de la couleur qu'il reproduit dans ses œuvres architecturales (sur les façades et les murs latéraux). Les couleurs sont franches primaires sur les loggias, ce qui contraste avec la teinte grise du béton brut; les portes des appartements sont colorées de différentes teintes pour contraster avec les couloirs sombres et, à l'intérieur des appartements baignés de lumière, des couleurs harmonieusement réparties viennent en ponctuer les agencements et délimiter

sélectionner le texte pour définir les marges, les en-têtes, les pieds de page… Pour paramétrer ces divers éléments faire : Format /Page TRAVAUX À RÉALISER : APPLICATION 1 : 1. A partir de s:\profs\filalbert, récupérer le document appelé « texte brut » 2. Insérer un titre : Votre chien… et votre jardin Le titre devra être : centré, en caractères gras, Arial 16, encadré, avec une trame de fond de couleur bleu clair 3. Appliquer à tout le texte un retrait de paragraphe de première

éloquence d’une avocate b) elle use de plusieurs registres pour jouer sur les émotions de son interlocuteur : *registre satirique : ce texte=réquisitoire. Blâme les H, les réduits à deux attributs physiques (les poils et les muscles) : brutes *nb termes péjoratif « vilain » et « rude » *registre laudatif : plaidoyer = l’éloge de la femme *registre pathétiques : souffrances endurées Conclusion : rappeler la question Faire le bilan : les personnages de ce petit récit plein

naturels de quelques héros » Nous sommes face à des scènes de viol. « des personnes « a demi-brulées criaient » Maupassant, lui, est plus brut, dans sa façon de décrire la guerre. Pour lui, la guerre, quand il songe à ce mot « il [lui] vient un effarement comme si [on] [lui] parlait de sorcellerie, d’inquisition (…) [d’] abominable, monstrueuse » décrit dans son roman sa de la guerre. « [D]es lacs de sang, des plaines de chair pilée (…) des cervelles écrabouillées » montre bien la barbarie. Nous retrouvons

1. Miolo_IntercambioL’ECRITURE DE « L’ENTRE DEUX » DANS PASSAGES D’EMILE OLLIVIER Christiane Albert Université de Pau et des Pays de l’Adour Résumé : Le roman Passages d’Émile Ollivier est représentatif des écritures migrantes qui élaborent une véritable poétique de l’errance. Celle-ci rompt avec les représentations littéraires antérieures de l’exil et se caractérise par une problématisation de la migration qui se situe au niveau de l’écriture. Elle se manifeste par une créolisation de la langue

le haut-de forme, car veut ressembler non à un homme, mais à un écrivain. Plus pratique pour sillonner Paris, être seule dans la rue : Je n’étais plus une dame, je n’étais pas non plus un monsieur… je me promenais dans le désert des hommes. A un roman dans ses bagages. Rencontre yacinthe de Latouche, cousin d’un ami, qui dirige le Figaro, journal de 4 pages, qui vient de naître. Lui lit son manuscrit, Aimé, le trouve détestable, mais lui propose d’écrire dans le journal. Un autre interlocuteur,