Roi Liche

interpelle son auditoire mais on note une évolution du public (« messieurs » -> cercle restreint, puis « chrétiens » -> toute personne de fois, puis « nous » -> émetteur et peuple tout entier), cet élargissement est aussi pris en compte ligne 17 « Le Roi, la Reine, Monsieur, toute la Cour, tout le peuple », ainsi il prend pour récepteur toute personne concernée par la mort de la princesse : aussi bien la famille que le peuple. Pour l’ancrage spatio-temporel on remarque une coïncidence entre le moment

A cette époque, le roi souverain voyait son autorité décroitre au profit des relations féodo-vassaliques. Le pouvoir central était affaiblit, et le pouvoir souverain était transféré vers les fiefs. L’auto-administration de ces fiefs faisaient que l’autorité et le rôle du roi souverain était reléguée au second plan. Cependant, ce système va commencer à décliner au début du XIIème siècle. L’anarchie due aux conflits entre seigneurs à la fin des invasions, va profiter au roi souverain, qui va imposer

dit le Roi, je suis ravi que vous m’en ayez parlé si bonnement ; c’est moi qui l’est fait. – Ah ! Sire, quelle trahison ! » 6) Mme de Sévigné pense que la « farce » qu'a fait le Roi au maréchal est cruelle et qu'aucuns courtisans ne devrais subir cela. lettre 1 l16-17 « Le roi à ri fort de cette folie et tout le monde trouve que voila la plus cruelle petite chose que l'on puisse faire a un vieux courtisant  7) La dernière phrase de la lettre 1 veut dire que Mme de Sévigné veut que le Roi sache comme

L’exécution de Renart allait avoir lieu, n’en déplaise à qui que ce soit1, si le roi n’avait pas regardé en bas de la plaine où il vit une troupe à cheval dans laquelle de nombreuses dames étaient affligées. C’était la femme de Renart qui traversait un essart2, juchée3 sur sa monture. Elle chevauchait rapidement et était en proie à une grande douleur. Ses trois fils n’étaient pas en reste et ils ne traînaient pas en route malgré les manifestations de leur désespoir. Ils tiraient, s’arrachaient les

maline et inventive. Le roi Marc est tolérant, intelligent et il a pitié. C'est un personnage influençable, indéci, pathétique. Il est un roi impulsif, son pouvoir et son autorité sont contestés. Il n'est pas très beau. Question n°5 Où et quand se déroule l'histoire ? L'histoire se déroule aux temps anciens en Cournouailles, au Pays de Galles, à Tintagel et dans la forêt du Moorois. Question n°6 Un résumé de l'histoire en dix lignes seulement. Le roi Marc est en colère contre

tous à un niveau social élevé (Ruy Blas : noble, premier ministre ; CALIGULA : empereur et le Roi Béranger 1er dans la pièce de Ionesco Les trois héros savent qu’ils vont mourir, ils ont tous peur, mais il n’y a que dans le texte d’Hugo que cette mort est voulu par le héros lui-même (empoisonnement, suicide de Ruy blas) dans le but de sauver la Reine et d’obtenir son pardon, caligula est assasiné et le Roi meurt d’une maladie. Les trois auteurs ont voulu intégrer une certaine morale dans leurs œuvres

Louis XIV Long règne de 1643-1715, même si commence vraiment en 1652. Années 1660-80 = se distingue par les nombreuses réformes et innovations entreprit par Colbert et le roi. Colbert = contrôleur général des finances à partir 1665. Fin fronde : tableau sombre de la France extérieure et intérieure. le désordre Louis XIV en parle dans ses Mémoires qu’il a rédigé pour son fils : il décrit les troubles et les contestations qui ont fait perdre la grandeur de la France. Parle du mauvais

fois, un roi et une reine qui avaient décidé de se rendre à Lutèce en carrosse. Le cocher vînt les prendre à 8 h 00, après avoir vérifié la roue avant droite, la roue avant gauche, la roue arrière droite et la roue arrière gauche, enfin, toutes les roues du carrosse. Ensuite, le cocher attela les chevaux. Le cheval de droite (le préféré du cocher) était blanc ; le cheval de gauche, lui, était noir. Les chevaux fixés au carrosse étaient prêts pour le crissement des roues du carrosse. Le roi demanda

Le règne personnel de Louis XIV marque le triomphe de la monarchie absolue. La vie des nobles se partage entre l'armée de la Cour réunie à Versailles, centre d'attractions pour tous les talents mais aussi toutes les ambitions. Le roi y accorde une pension à de nombreux artistes. Cependant La Fontaine garde lui-même une certaine indépendance par rapport au pouvoir royal et porte même un regard critique sur la Cour. Ainsi « La Cour du lion » présente une satire de la vie de la cour des courtisans 

avec à sa tête le roi, Louis XIV. Les 3 ordres doivent obéir au roi. C'est une société fondée / qui repose sur l'inégalité. B / La monarchie de droit divin, 1p34 Selon Bossuet, le roi est l'envoyé de Dieu, il lui obéit. Cela oblige les sujets à être de la même religion que le roi, c'est-à-dire à être catholiques. Il est donc hors de question de contester un ordre du roi, car le roi est sacré. On parle de monarchie de droit divin car selon cette théorie le pouvoir du roi lui serait donné