Roger Martin Du Gard Realisme Les Thibault

toujours. Tous se retrouvaient au café Guerbois, Grande-rue des Batignolles, pour vitupérer l'académisme et rêver de nouveauté, de motifs inédits, de paysages palpitant de couleurs. De ses années de bohème et parfois de misère, il allait garder le goût des avant-gardes. D’autre part, il assistait aux “conférences de la rue de la Paix” fondées par des opposants à l'Empire, était un lecteur assidu du journal “Le siècle”, cherchait à entrer dans les équipes de journalistes républicains. Mais il ne militait

projection ; l'analyse était gênée par les contraintes du temps filmique (1h 30...). Depuis que l'on dispose aisément d'un magnétoscope, plus accessible qu’une visionneuse, les conditions de réception pour analyse ont bien changé ; il faut cependant garder à l'esprit que le spectateur ordinaire dans une salle de cinéma ne peut pas décortiquer un film lors de sa consommation / réception. Cela a certes déjà un impact sur la perception des effets spéciaux, des trucages comme de certains plans très brefs

de la Révolution (1930). A côté de ces prestigieuses revues, naquirent des hebdomadaires littéraires dont la vocation était de toucher un plus large public. On retiendra, en particulier, les Nouvelles littéraires lancées avec succès par Maurice Martin du Gard en 1925 ou l'on trouvait, bien entendu, des informations sur l'actualité littéraire, mais aussi des récits, des entretiens et des reportages, ce qui, aux yeux du grand public, rendait cet hebdomadaire plus séduisant que l'austère (mais pourtant

de la Révolution (1930). A côté de ces prestigieuses revues, naquirent des hebdomadaires littéraires dont la vocation était de toucher un plus large public. On retiendra, en particulier, les Nouvelles littéraires lancées avec succès par Maurice Martin du Gard en 1925 ou l'on trouvait, bien entendu, des informations sur l'actualité littéraire, mais aussi des récits, des entretiens et des reportages, ce qui, aux yeux du grand public, rendait cet hebdomadaire plus séduisant que l'austère (mais pourtant

46 Brave Margot (1953)n 28 2 52 La cane de Jeanne (1953)n 28 2 *56 J'ai rendez-vous avec vous (1953) 30 2 58 Le vent (1953)n 32 2 60 Il n'y a pas d'amour heureux (Louis Aragon) (1953)n 34 3 *84 Le nombril des femmes d'agents (1953) 35 2 48 Pauvre Martin (1954)n 36 2 *50 La première fille (1954) 38 2 *54 Je suis un voyou (1954) 40 2 62 La mauvaise herbe (1954)n 42 2 *64 Le mauvais sujet repenti (1954) 44 2 *66 P... de toi (1954) 46 3 72 Les sabots d'Hélène (1954)n 48 3 70 Chanson pour l'Auvergnat

dictionnaire ça cacher cadeau cahier calcul camarade camion camionnette camp capable difficile dimanche dîner dire directeur dix docteur doigt malade place G malgré placer malheureux plaire plaisir gagner maman manière planter garçon manquer plat garder marchand plein gâteau pleurer gauche marcher mardi pleuvoir gentil mars pluie gens mathématiqueplus glace matin plusieurs glisser mauvais poids grâce méchant point grand meilleur poisson grandmême pomme mère mer (eau) pomme de grandmerci terre père

de l’Elysée, ce qui n’est pas pour lui déplaire… Certes, l’ex-candidate socialiste à la présidentielle ne caracole plus en tête dans les sondages depuis déjà plusieurs mois. Certes, un certain nombre de ses lieutenants ont mis les voiles. Certes, Martine Aubry lui a « volé » le thème de la rénovation du PS. Mais Royal connaît par cœur les leçons apprises auprès de François Mitterrand : rester accroché au terrain pour mieux rebondir plus tard sur la scène nationale. Et donner du temps au temps. Royal

« lettre ouverte » leur demandant « solennellement d’entendre le point de vue des organisations syndicales » sur la réforme des retraites. Seule FO, qui exige « le retrait » du projet de loi, n’est pas signataire de ce courrier signé par Bernard Thibault (CGT), François Chérèque (CFDT), Jacques Voisin (CFTC), Bernard van Craeynest (CFE-CGC), Alain Olive (Unsa, autonome), Bernadette Groison (FSU) et Annick Coupé (Solidaires). « Au nom des salariés, nous vous demandons solennellement d’entendre le

France métropolitaine. Son père marin a disparu en mer, enlevé par la monstrueuse Maman D’lo. Racik, le conteur, raconte sa légende : la métropole n’est-elle pas Maman D’lo, puisqu’elle enlève les mères ? L’illustration est chaude, elle évoque avec réalisme la vie antillaise. L’interprétation graphique poétise le sentiment de la séparation, en montrant en image la joie de vivre communicative de la petite héroïne. Maman D’lo est une histoire qui tisse des fils serrés comme ceux d’une étoffe de madras:

écrire cette réalité, comme par exemple le romantisme qui a prétendu décrire la réalité, en refusant la séparation des genres pour mieux décrire la vérité jusqu’au moment où apparut le réalisme (qui décrit la réalité telle quelle) et là on se posait la question ; qu’est-ce que le réalisme au théâtre ? Le réalisme n’est pas seulement la volonté d’écrire la réalité mais aussi de l’expliquer et de l’interpréter à travers le contexte. Le théâtre français semble avoir toujours interrogé l’articulation