Rodolphe Boulanger

entouré du pharmacien Homais et du percepteur Binet, mène une existence insignifiante aux yeux d'Emma. Un jeune clerc de notaire romantique, Léon Dupuis, la courtise mais il ne se déclare pas et quitte la ville. Emma se laisse alors séduire par Rodolphe, boulanger ; elle s'abandonne alors à une passion exaltée. Ce séducteur, effrayé par la violence de cette passion la quitte, après qu'elle eut projeté de partir avec lui en Italie. Remise de la maladie consécutive à cette rupture brutale, elle retrouve

:"Alors il écrivit sa m re pour la prier de venir, et ils eurent ensemble de longues conférences au sujet d'Emma". Mme Bovary m re ne trouve gu re de solutions miracles. Il faut, selon elle, "emp cher Emma de lire des romans". Un jour de marché, Rodolphe Boulanger, le nouveau châtelain de la Huchette, rend visite Charles Bovary, avec un de ses fermiers qui il faut faire une saignée. Durant l'intervention de l'officier de santé, il regarde Emma et la trouve tr s jolie. Aristocrate libertin, "de tempérament

C'est cette contrainte  estudiantine qui va  séparer temporairement Léon d'Emma. 2-              les comices          C'est la partie  du récit met  d'avantage l'accent sur la sensibilité d'Emma. En effet, il y apparait un personnage du nom Rodolphe boulanger  d'un  caractère fort et insolite célibataire et riche propriétaire de la Huchet te, il fait la connaissance  d'Emma alors qu'il se présente chez Charles avec un patient.  Il là trouve conquête et  compte bien lui conter fleurette. Les comices

"Yonville –L’Abbaye". Emma rechercha l'amour à l'extérieur de sa vie conjugale, elle devient alors la maitresse de Rodolphe boulanger, un riche campagnard qui finit par l’abandonner. À Rouen, madame BOVARY retrouve Léon quelle connaît depuis longtemps, se jette dans ses bras et devient sa maitresse. Très dépensière et couverte de dettes elle demande l’aide de Léon et Rodolphe qui la repoussèrent. Ne trouvant pas de solution à ses problèmes, elle dérobe de l’arsenic chez M. HOMAIS le pharmacien

quitter la ville de Tostes et s'installer à Yonville. Emma fait la connaissance des personnalités locales : le pharmacien progressiste et athée M. Homais ; le curé Bournisien ; Léon Dupuis, clerc du notaire M. Guillaumin ; le noble libertin Rodolphe Boulanger. Emma est déçue par la naissance de la petite Berthe, puisqu’elle aurait préféré mettre au monde un garçon. Elle s'enlise dans l'ennui, et perd tout espoir d'une vie meilleure. Elle n'éprouve plus aucun amour pour Charles, qui pourtant ne lui

dorinţa de a trai in alta lume decat cea pe care o au. Indragostit de ea fara speranţa, fara sa ştie ca şi ea ii impartaşeşte sentimentele, Leon se hotaraşte sa plece la aris. Dupa plecarea lui, ea cade intr-o apatie din care doar intalnirea cu Rodolphe Boulanger, la expoziţia de toamna din Yonville, o mai poate scoate. Acesta un desavarşit seducator, inteligent şi foarte bogat, decide s-o aiba pe Emma. Şi o va avea. Copleşind familia doctorului cu atenţii, ajunge un vizitator obişnuit al lor şi inţelege

amoureux du jeune Léon. Ce n’est qu’après le départ de celui-ci qu’elle connaît enfin la passion tant attendue. Un riche propriétaire des environs, Rodolphe Boulanger, fait d’elle sa maîtresse et Emma se jette avec fougue et sans réfléchir dans l’amour adultère. Emma en arrive même à mépriser son mari et cherche le moyen de s’enfouir avec son amant Rodolphe. Ce projet romanesque ne plaît guère ou effraye celui-ci, qui l’abandonne. Et lui écrit ceci : « Je serai loin quand vous lirez ces tristes lignes

médiocre et insipide et ce ne sont ni ses amants, ni sa fille, ni ses avoirs qui parviendront à changer cela. Charles l'exprime d'ailleurs à la fin du roman (« c'est la fatalité » à propos de l'adultère et de la mort de sa femme quand il parle à Rodolphe). Un relecture actuelle, le surendettement : Sans doute Flaubert n'imaginait-il pas qu'une des morales de son histoire serait tant un problème de société plus d'un siècle et demi plus tard. Il est facile de faire le rapprochement entre la situation

comme nous allons le voir, elle s'étend aussi à son adultère. En effet, est-ce la faute d'Emma si elle a tant plu à Rodolphe, qu'il a inventé un moyen pour la détourner du regard de son mari? De plus, c'est bien Charles qui l'encourage à aller chevaucher avec Rodolphe: «Pourquoi n'accepte-tu pas les propositions de monsieur Boulanger, qui sont si gracieuses?» (p.226) Rodolphe arrive d'ailleurs à cheval, tout comme Charles lors de sa première rencontre avec Emma, ce qui les a conduit à s'aimer

fantaisies, acheta par exemple une écharpe à Lheureux. Un jour de marché, Rodolphe Boulanger, le nouveau châtelain de la Huchette, entra en contact avec les Bovary à l'occasion d'une saignée à faire à un de ses fermiers. Il trouva Emma très jolie. Cynique aristocrate, célibataire et coureur de jupons invétéré, il décida aussitôt de la séduire. À la mi-août, tout le village fut en fête pour la solennité des comices. Rodolphe n'attendait que cette occasion pour faire sa cour à la jeune femme. Il s'arrangea