Robespierre Rapport Gouvernement Révolutionnaire

une partie des débats de l’assemblée constituante décembre 1789. du 23 Ce texte est tiré des archives parlementaires dont la publication fut commencée en 1802 à l’initiative des législateurs du second Empire. Des 1807 on y inclut la période révolutionnaire .Ces archives parlementaires furent dans un premier temps une reproduction du « Moniteur » journal officiel, fondé en 1789 et chargé de la transcription des débats parlementaires. Jusqu’à nos jours la publication de ces archives continue avec

construits une sté nvelle, sur les bases proposées par les révolutionnaires. Ces bases se sont la liberté du travail. Les révolutionnaires rêvent d’une Fce d’H libre, les H doivent ê pptaires, ac des artisans indépendants. Le monde est en effet plus libre, mais le prolétariat va se dev au 19eme, ce qui n’était pas prévu. Les pvr pub vont être bcp de tps à se rendre compte de la situation et pr agir CHAPITRE 1 : L’HERITAGE REVOLUTIONNAIRE (Le travail ds le monde libéral du 19éme) Sous l’ancien

gens qui ne sont pas considérés comme capable de raisonner par eux même, on va instaurer un suffrage à deux niveaux. On va faire élire par les citoyens les grands électeurs, qui eux éliront les députés. Pour pouvoir être un grand électeur, les révolutionnaires créent une condition, celle de payer 50 livres par an, et d’être propriétaires. Cette question de l’accès à l’électorat va être un point de clivage très important sous la révolution avec d’une part les modérés (bourgeois, les Girondins) pensent

villes : c’est comme ça que commence la commune de Paris. Le 4 septembre, on a un gouvernement provisoire qui est mis en place. Il est élu par acclamation : on a pas d’élections. Ce gouvernement contient un certain nombre de républicains qui avaient participés aux élections 1869. On a notamment Jules Ferry. Le but de ce gouvernement est de vaincre l’ennemi présent sur le territoire. Ce gouvernement se dénomme gouvernement de la défense nationale et se donne un programme : ramener la paix et organiser

entretiennent des rapports de manière individuelle ou collective. Cette distinction droit public / droit privé est fondée sur trois critères : -le critère organique, en vertu duquel c’est la qualité des personnes en cause qui permet de déterminer la nature des rapports juridiques créés. Les rapports entre deux autorités publiques et une autorité publique et un individu sont en principe des rapports de droit public. A l’inverse, les rapports entre deux individus privés sont en principe des rapports de droit

constitution qu’on lui a imposée. Au contraire, Louis XVIII a largement contribué aux idées inspirant les principes de la charte de 1814. Mais les monarchistes traditionnels critiquent cette charte qu’ils dénoncent comme étant trop conciliatrice par rapport aux idées libérales. En 1830, Louis Philippe rencontre des oppositions et à cette époque, deux thèses s’affrontent : Guizot : « Le trône n’est pas un fauteuil vide »  le Roi doit intervenir. # Thiers : « Le Roi règne mais ne gouverne

assemblée / blvt = bouleversement / F = France. / MA = Moyen-Age / càd = c'est-à-dire / E = appartient / // = par rapport à ou en parallèle / tjr = toujours / ex = exemple / dc = donc / EG = États Généraux / q° = question / pvr = pouvoir / Pdt = pendant / tt = tout ou ts = tous / qq = quelque / mtnt = maintenant / DDHC = Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen / Gvt = Gouvernement / W = travail / NB = Napoléon Bonaparte / LN = Louis Napoléon / chgt = changement / 1GM ou 2GM = Première Guerre

Machine de guerre contre les privilèges + rétablissement de l’ordre Prend model sur la déclaration des droits de l’homme aux USA Paradoxe : reste l’esclavage dans les colonies Moteur révolutionnaire = manifeste pour légitimer l’agitation des politiques Pression populaire ⋄ dynamique révolutionnaire 12 juillet 1790 : constitution civile du clergé [ordre puissant qui détient la moitié du territoire français, alliés aux nobles] = nationalisation des biens du clergé sous tutelle des biens

l’unité est notre salut », ne cesseront de répéter Saint-Just et Robespierre. L’idée de nation, posée comme un être unitaire et transcendant dont l’unité et l’indivisibilité sont nécessairement indépendantes de tout principe extérieur, finit alors par recouvrir la notion de peuple jusqu’à s’y substituer, inaugurant une tradition que le droit public de bien des pays n’a cessé de perpétuer depuis lors. Enfin, la conception révolutionnaire de la souveraineté rend synonymes nationalité et citoyenneté :

dernières années 57 2.2.3.6. Conclusion 57 2.2.3.6.1. la souveraineté populaire 58 2.2.3.6.2. La démocratie directe 58 2.2.3.6.3. L’État de l'homme en société 59 2.3. Chapitre 3 la pensée politique de la décennie révolutionnaire en France 1789-1799 60 2.3.1. Section 1 : la révolution libérale et la pensée d'Emmanuel Sieyès 60 2.3.1.1. Introduction 60 2.3.1.2. Paragraphe 1 : l'égalité : la fin des privilèges et l'égalité politique 62 2.3.1.2.1.