Robespierre Et La Terreur

journaux et des brochures. => Sévérité particulière envers les colporteurs et des afficheurs, menacés de prison. Situation extrêmement tendue : crainte de soulèvements si des textes violents obtenaient trop de publicité. 1.3. La presse, victime de la Terreur (août 1792-juillet 1794) 10 août 1792 : chute de la Royauté mais aussi suppression brutale de la presse royaliste et suspension de la liberté de la presse => exigence de « salut public ». Contexte : menaces contre la Révolution. Sentiment que la

réclament des mesures fortes et considérées comme des gardiens de la révolution se sont également des citoyens passif. Ils sont partisans de la politique de Terreur. Pour faire face au danger intérieur et extérieur; un gouvernement révolutionnaire se met en place ayant a sa tete un comité de salut publique dirige par RobesPierre. La Terreur est l'ensemble des moyens de contraintes auquel la convention a recoure pour éliminer ses opposants.

septembre lors de la séance de vérification des pouvoirs faite en séance privée. Seuls 371 députés étaient présents mais ils s'étaient tout de même constitués. Ce jour là, les Girondins tenaient la majorité, Pétion avait été élu par 235 voix alors que Robespierre n'en avait recueilli que 6. Tous les secrétaires élus étaient également des Girondins. Le 21 septembre 1792, les conventionnels se rendirent à la salle du manège où une passation de pouvoir solennelle eut lieu entre les députés de la législative

politique de Robespierre et ses interprétations . Il est avocat (profession d'origine) ,il a été député du Tiers etat (Arras,à l'assemblée nationale constituante) (1791).Il participera à une société révolutionnaire appelé le club des Jacobins ==> va radicaliser des positions ,fuite du roi . Vont alimenter la partie gauche de l'assemblée législative. (1792) . Mouvement insurectionnel ==> entraine la chute de la royauté ;Dans la nvelle assemblée nommée la Convention nationale ,Robespierre y siègera

anglais, pour lui la DDHC est velléitaire (sans audace, hésitant, etc.) elle instaure une égalité fictive entre les citoyens. Sous la terreur, il est aussi critique envers Robespierre. En octobre 94, il commence à publier un journal qui s’appelle le tribun ( le porte-parole) du peuple, il veut son journal proche des sans-culottes. Or, alors qu’il était opposé à Robespierre, il critique avec virulence la convention thermidorienne, il est emprisonné à Arras et rencontre ceux qui seront ces complices dans

La proclamation de la Iere République (21 septembre 1792) et l'exécution de Louis XVI (21 janvier 1793) font craindre l'escalade. Sous la direction de Robespierre (1758-1794), rapidement, la France devient une dictature menée par la Terreur (17?3-1794), qui s'abat contre les chouans et autres défenseurs de la monarchie. Apres la chute de Robespierre, le Directoire continue la guerre contre l'Autriche et la Prusse (1795-1799). Réputé pour son art de stratège qui le conduit à fomenter un coup d'État

Léopold II afin qu'il tente de le rétablir en monarque absolu en envahissant le pays → rupture (= „divorce“) avec le peuple français qui découvre le double.jeu et la trahison du roi. B) La radicalisation révolutionnaire: la guerre, la République et la Terreur 1 Le tournant de 1792 et la proclamation de la Ière République (22 Septembre 1792) * Depuis octobre 1789 et la marche des femmes vers Versailles, la famille royale a déménagée aux Palais des Tuileries. Questions voir p. 263 1 Avril 1792: la France

du palais par Charles V et ses successeurs. La prison occupait le rez-de-chaussée du bâtiment bordant le quai de l’Horloge et les deux tours ; l’étage supérieur était réservé au Parlement. La prison de la Conciergerie était considérée pendant la Terreur comme l’antichambre de la mort. Peu en sortaient libres. La reine Marie-Antoinette y fut emprisonnée en 1793. Comme dans les autres prisons de l'époque le traitement des prisonniers dépendait de leur richesse de leur status sociale et de leurs connaissances:

combattre loin de leurs villages. Cette insurrection prend très vite de l’importance quand la Vendée se soulève d’un bloc. Pour tenter d’arrêter ces émeutes la Convention vote, le 19  mars  1793, une loi qui met en place une véritable logique de terreur : tous les insurgés pris les armes à la main ou convaincus d’avoir participé aux attroupements seront exécutés. Très vite, à la Convention, les insurgés sont traités de « brigands » et Paris donne le nom de « Guerre de Vendée » à leurs soulèvements

distinguer 1) lecture contre révolutionnaire, 2) lecture libérale, 3) lecture républicaine, 4) lecture marxiste, 5) et une lecture néolibérale. Il s’agit pour tous ces auteurs de réfléchir sur la révolution. « Qui est responsable de la terreur, pourquoi la terreur, comment l’expliquer, doit on avoir une vision unitaire de la révolution ou doit on distinguer 1789 et 1793, quel est l’héritage révolutionnaire ? (…) » Questions fondamentale au 19e et aujourd’hui encore. 1) Lecture contre révolutionnaire :