Robespierre Discours

Dans une première partie, nous étudierons l'aspect polyphonique de cette tirade, puis le théâtre dans le théâtre et enfin la fonction satirique du passage. Etude I - Une tirade polyphonique - Dans cette scène on peut voir un mélange du discours et du récit. Cléanthis reprend les paroles d'Euphrosine au style direct, au présent de l'indicatif et à la première pers. du sing. "Cependant" marque l'intervention de Cléanthis. Les passages narratifs, dans lesquels Cléanthis résume les principales

destinataire - présence physique du narrateur par le « je » => Discours direct On est alors dans la sphère du discours. 2) Est-ce qu’il y a plusieurs discours ? - 1er discours : entre La Fontaine et le Comte - 2ème discours : dans la morale, on a du discours direct -> Le narrateur s’adresse au lecteur mais aussi au Comte => Forte gradation. On est entre 2 discours : Celui de la fable avec les protagonistes. - Autres discours : Bûcheron et Mercure  Dialogue. Fable variée avec plusieurs

classant les idées ( La préparation matérielle Préparer ses notes sans rédiger Prévoir des supports pour illustrer l’exposé S’entrainer à haute voix, se chronométrer face à un miroir 2/ L’exposé lui-même Les gestes : Structurent le discours et appellent la participation de l’auditoire. Evitez les gestes de substitutions et d’autocontact Le visage : Traduit les émotions + les sentiments décodés par les auditeurs. Le regard : Il doit balayer tout l’espace de l’auditoire. La mobilité :

par conséquent être solide. En clair, il faut indiquer brièvement la nature, les sources, le(s) auteur(s), les dates, le contexte historique, l’idée centrale des documents. I - Présentation du document Bien noter aussi la nature du document (discours politique, loi,extrait de journal), qui est d‘une grande importance pour cerner « l’esprit » du document. Après avoir souligné qui est l’auteur, à qui est destiné le document et sa date de rédaction, il faut alors faire état du contexte général dans

I) La satire d’une coquette 1. La duplicité de Cléanthis 2. La duplicité d’Euphrosine 3. Le rôle de Trivelin II) La représentation de la contestation sociale 1. La mise en abyme 2. Le spectacle 3. Le discours polémique Plan Syntaxique I ) La satire d’une coquette 1. La duplicité de Cléanthis Dans cette scène, la prise de parole est plus grande chez Cléanthis. Nous serons, ici, face à l’épreuve du portrait. Dans la première prise de parole de celle-ci, nous pouvons remarquer la présence

présentatifs (« C’est…qui ») qui soulignent le caractère emphatique du discours -présent de vérité générale -formules sentencieuses : « Qui en choque un, se les attire tous sur les bras » -questions rhétoriques -référence implicite à la cabale des dévots =>accentue la portée de sa démonstration II.Un éloge paradoxal a.Eloge de l’hypocrisie (du vice) Mise en relief : -par l’usage de tournures impersonnelles qui simule un discours moral : « C’est ainsi qu’il faut profiter… » -par un ton appréciatif :

cette fable met en scène les apparences de la force et de la fragilité humaine ? Développement I) Le récit d’une dispute arbitrée par le vent A) Deux argumentations opposées sur la résistance au vent Chêne :se moque de la fragilité du roseau(discours direct et se vante de sa résistance :c’est la faute de la Nature Roseau :-prend la parole au v.18 ; fait une concession avec le mot compassion (diérèse) -a partie du v.20 le rapport de force est inversé ; de plus, le roseau connait

L'homme qui rit, Victor Hugo Ursus → auto-représentation de l'auteur = clé[*] possible du personnage mais pers. = plus que le modèle réel. Le discours social d'Ursus ressemble à celui de V. Hugo Hommes de savoir U. = intellectuel, « philosophe », ancien précepteur d'un Lord mais a été EXILÉ à cause de ses idées . = être inentendu // V. Hugo → appel à l'INSURRECTION après le coup d'état de Napoléon III U. = petit créateur ex nihilo Il a écrit une pièce de théâtre

le changement. Paris, Dunod. 2004 Ghiglione Rodolphe, Matalon Benjamin . Les enquêtes sociologiques. Théorie et pratique. Paris : Armand Colin, 1998 Jean Marie Floch : Identités visuelles, Paris, PUF, 1995 J Fontanille : Sémiotique du discours, Limoges PULIM,1998 Martin Henri-Jean. Histoire et pouvoirs de l'écrit. Paris : Albin Michel, 1996. 536p. Vaittraino- Soulard Marie-Claude. Les enjeux culturels d'Internet. Hachette éducation, 1998. Pierre Zémor, La communication publique

I) Justification du libertinage : un éloge paradoxal 1) Une argumentation construite ( deux arguments principaux étayés de petits arguments et d'exemples de son expérience personnelle) 2) Eloquence du discours ( Passion et exaltation du discours avec la gradation, les hyperboles et le rythme des phrases, Dom juan se met lui même en valeur avec la comparaison avec Alexandre et la volonté de se faire passr pour une victime courageuse) 3) En quoi est-ce un éloge paradoxal? ( Eloge