Robespierre Discours

surtout distanciation vis-à-vis des personnages. La Révolution éclate, et Laclos, épris de liberté, rejoint le club des Jacobins. Commissaire aux armées, il prépare largement la victoire de Valmy. Mais il est bientôt arrêté... C'est la chute de Robespierre qui le sauve de l'échafaud. Réintégré dans l'armée par Bonaparte, il continue de produire quelques poèmes, mais meurt avant d'avoir achevé son second roman. Marivaux : 1688 1723. La Colonie : 1729. L’Ile des Esclaves : 1725. Le Jeu de l’Amour

DDHC est velléitaire (sans audace, hésitant, etc.) elle instaure une égalité fictive entre les citoyens. Sous la terreur, il est aussi critique envers Robespierre. En octobre 94, il commence à publier un journal qui s’appelle le tribun ( le porte-parole) du peuple, il veut son journal proche des sans-culottes. Or, alors qu’il était opposé à Robespierre, il critique avec virulence la convention thermidorienne, il est emprisonné à Arras et rencontre ceux qui seront ces complices dans la conjuration des

» Fils d’un officier de la marine commerciale, Joseph Fouché débute sa carrière comme oratorien (société de prêtres sans vœux) et enseigna dans les collèges oratoriens de Saumur puis Vendôme, Juilly et enfin d’Arras, où il fait connaissance de Robespierre. Au moment de la Révolution, il quitte l’habit ecclésiastique et devient avocat. En 1792 il est élu député à la Convention et lors du procès de Louis XVI, il vote « la mort sans sursis », du roi. Il adhère aux événements des 31 mai et 2 juin 1792

1. Le régime politique en place à la date du décret (10 juin 1794) est le régime de La Terreur. Un personnage emblématique de cette période serait Robespierre. Maximilien Marie Isidore de Robespierre est né le 6 mai 1758 et mort le 28 juillet 1794. Élu député du Tiers état aux États généraux en 1789, il devient bientôt l'une des principales figures des « démocrates » à l'Assemblée constituante, défendant l'abolition de l'esclavage et de la peine de mort, le droit de vote des gens de couleur, des

pouvoir pendant le règne de la Terreur. Leur modèle reste Robespierre. sont radicalement opposés aux Girondins. Ils sont pour une alliance avec les sans-culottes, entre le peuple des rues et les députés. Ils ne récusent pas la violence. Ils sont favorables à la centralisation parisienne. Marat, Danton, Robespierre. Côté gauche de l’assemblée. Thermidoriens : Républicains plus modérés ayant pris le pouvoir après la chute de Robespierre et des Montagnards, le 9 thermidor. Assurer la prépondérance

les Rosati l'amena à donner entre autres prénoms à son fils aîné celui de Saady, en référence au poète persan Saadi, auteur de l'Empire des Roses. En 1787, entre aux Rosati une future autre célébrité de la Révolution française à venir : Maximilien de Robespierre. Les almanachs des Muses du temps recèlent des poésies de Lazare Carnot extrêmement légères. Celui de 1791 contient ainsi, page 37, le Temps passé, dialogue burlesque entre madame Fagotin et M. Barbichon. À Paris, en 1797, avec d'autres, dont

Rosati l'amena à donner entre autres prénoms à son fils aîné celui de Saady, en référence au poète persan Saadi, auteur de l'Empire des Roses. En 1787, entre aux Rosati une future autre célébrité de la Révolution française à venir : Maximilien de Robespierre. Les almanachs des Muses du temps recèlent des poésies de Lazare Carnot extrêmement légères. Celui de 1791 contient ainsi, page 37, le Temps passé, dialogue burlesque entre madame Fagotin et M. Barbichon. À Paris, en 1797, avec d'autres, dont

révolution et entame en parallèles à sa carrières artistique une activité politique en devenant députés à la convention et ordonnateur des fêtes révolutionnaires. Son engagement l'amène à voter la mort de Louis XVI, et son amitié pour Maximilien de Robespierre lui vaudra, d'être emprisonné. Ses activité politiques prennent fin sous le directoire, il devient membre de l'institut et se prend admiration pour Napoléon Bonaparte. Il se met à son service quand celui-ci accède au pouvoir impérial, et il réalise

10 octobre et 4 décembre 1793 (19 vendémiaire et 14 frimaire an II) : décrets sur le gouvernement provisoire et révolutionnaire. Mars-avril 1794 : Chute de Danton et des Dantonistes (et des Hébertistes). 27 juillet 1794 (9 thermidor an II) : Robespierre décrété hors-la-loi (exécuté le 28). Début de la convention thermidorienne. 21 février 1795 (3 ventôse an III) : Séparation de l’Eglise et de l’Etat. 22 août 1795 (5 fructidor an III) : Vote de la Constitution de l’an III ; décret des « deux tiers

place une souveraineté nationale, en excluant les ennemis de la Révolution. Ce gouvernement lance une politique de déchristianisation et interdit le culte catholique. Il poursuit les prêtres qui doivent renoncer à leurs fonctions. Maximilien de Robespierre lance un Culte de l’Etre Suprême avant d’être guillotiné en 1794 sur la place de la Concorde, comme Louis Capet deux ans auparavant. Après la mise en place de la terreur de la dictature, les français n’ont d’autre choix que de se mettre d’accord