Robespierre Discours Sur La Peine De Mort

la récolte. Il a tout de même quelques obligations, que le clergé doit respecter, dans le cas contraire il risque la déchéance: ils sont soumis à toute une série d'interdits = interdiction de faire du commerce, de la violence, de prononcer la peine de mort, du mariage + tous les vœux traditionnels d'obéissance, de chasteté et de pauvreté. la noblesse : Dans la société féodale c'est le succès militaire qui détermine le pouvoir, ce groupe s'accroit tout au long du M-A. Pour conforter leur domination

VICTOR HUGO EN 1848 : LA LÉGITIMITÉ DU DISCOURS En mars 1870, Hugo écrivait en regard du dossier de Choses vues pour l'année 1848 : J'ai écrit ces notes, très consciencieuses du reste, dans les premiers mois de 1848. [...] J'observais cela dans un étrange état d'esprit, comprenant peu cette révolution et craignant qu'elle ne tuât la liberté. Plus tard, la révolution s'est faite en moi-même ; les hommes ont cessé de me masquer les principes. 1 Cette lecture rétrospective indique assez l'évolution

démocratique, avec l'instauration du suffrage universel masculin. On passe d'un corps électoral de 200 000 personnes à 9 000 000. C'est une république libérale qui ne pas réactiver le souvenir de la Terreur (ce ne sera donc pas Robespierre et la Convention) : abolition de la peine de mort en matière politique (destiné à rassurer les orléanistes), abolition de l'esclavage avec Victor Schœlcher (essentiellement aux Antilles car il y a un blocus des anglais en Afrique). Un problème se pose dans l'immédiat :

l’accusé. Bartol dit « le fils n’est point puni pour le délit du père ». Il existe des domaines où droit romain et droit de l’Eglise divergent dont la peine. Le droit pénal romain prévoit des sanctions lourdes, sévères. Les peines sont atroces pour décourager les personnes de passer à l’acte. Le droit de l’Eglise est un peu nuancé, même si à Rome la peine de mort est couramment utilisée de même que les supplices corporels, mais l’Eglise désapprouve cette cruauté. Dès lors, elle indique que la justice peut

« Et pourtant elle tourne » s’exclame Galilée en tapant du pied quand l’église l’oblige, sous peine de se faire guillotiner, à retirer sa théorie de la pensée dite scientifique à l’époque. Cela montre que la science a eu des difficultés à s’inscrire dans l’histoire. L’histoire est la succession d’évènements qui s’enchainent selon une suite de conséquences et de causes. C’est l’ensemble des évènements, des causes, et des conséquences qui créent ensemble ce qu’on appelle l’Histoire, dans son déroulement

monarchiste qui veut un Gouvernement des riches o « Essai sur les mœurs » Ecole des physiocrates : quel est le rôle de l’Etat : protéger la propriété foncière Rousseau : critique de la propriété qui est le fondement des inégalités o « Discours et fondement des inégalités » Ces idées dérangent toute la société car elles sont largement diffusées. b- Les classes populaires urbaines Elles partagent avec la bourgeoisie la haine de la noblesse mais elle n’a pas su se structurer. Elle est

milieu d’une foule de jeunes gens qui laissent à peine dix pieds de place aux acteurs. » Après l’élimination des sièges sur scène en 1759-1760, le nombre de demande pour assagir le parterre et le réformer a significativement augmenté. On notera que cette disparition permet un nouvel investissement de l’espace. Ainsi, Voltaire installe sur scène un café avec des chambres sur les ailes, ce qui permet d’amplifier l’exposition des comédiens. Les discours architecturaux de cette période témoignent de cette

vont soulever concerne la hiérarchie des valeurs. Kelsen va considérer que chaque philo du droit tant à hiérarchiser des valeurs, morales, politiques, et à rendre une valeur proéminente par rapport à une autre. Or pour lui comment peut-on tenir un discours cohérent sur une valeur que ne renvoi à aucun contenu. Confusion entre l’interprétation des normes juridiques et le jugement de valeur. Le principal danger pour Kelsen de confondre les deux. Forme d’antagonisme entre ces deux approches, Villey a

accompagné d’une hostilité croissante envers l’Eglise, conséquence des origines "philosophiques" de tout le mouvement du siècle. Le terme, c’est la Révolution, qui engendre un monde nouveau. Les événements qui délimitent le Siècle des lumières sont la mort de Louis XIV, en 1715, et le coup d'état perpétré par Napoléon Bonaparte, le 18 Brumaire an VIII (9 novembre 1799), annonciateur de l'empire. Entre ces deux extrêmes, le siècle se décompose en plusieurs temps: d'abord la Régence (1715 - 1723), puis

Clemenceau 1.2 Jeunesse : du lycée de Nantes au séjour américain 1.3 L'effondrement de l'Empire 1.4 De la Commune au conseil municipal de Paris 2 Le député radical (1876-1893) 2.1 La lutte pour l'amnistie 2.2 La rupture avec Gambetta et le discours de Marseille 2.3 Jules Ferry et le colonialisme 2.4 La vague boulangiste 2.5 « La Révolution est un bloc » 2.6 Le scandale de Panama 2.7 La campagne haineuse de 1893 3 De l'Affaire Dreyfus au Sénat (1893-1902) 3.1 Clemenceau, l'écriture, la