Rivage

Díaz proposé par Camila Baratieri Le prix du silence Anne Hébert Le cri fait gicler la voix Comme la pierre l’eau Puis se noie Le cri est un couteau Pointu privé de manche Les mains le poursuivent comme L’onde l’illusion du rivage Et plongent On tue au fond de l’eau Le sang beau lac anonyme est le prix Du silence La Grenouille Lorsque la pluie en courtes aiguillettes rebondit aux près saturés une nain amphibie, une Ophélie manchote, grosse et se jette au prochain

paysage apaisé, pas même la naissance de la déesse qui flotte au-dessus de l’écume (aphros) sur son coquillage. La terre : À la droite du tableau se dessine un paysage terrestre végétal et luxuriant. En effet, la nymphe accueille Vénus sur le rivage. Les côtes se profilent au bord de l’eau et les arbres parfaitement rectilignes font écho à la multitude de fleurs disséminées dans le tableau. Ce paysage terrestre est donc riche, prospère et accueillant, la nature elle-même semble disposée à souhaiter

l’aurai dit. Pensez-y, belle Marquise :Quoiqu’un grison fasse effroi,Il vaut bien qu’on le courtise,Quand il est fait comme moi. Alphonse de Lamartine Alphonse de LamartineMédiations poétiques Le Lac Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,Dans la nuit éternelle emportés sans retour,Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âgesJeter l’ancre un seul jour ?Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière,Et près des flots chéris qu’elle devait revoir,Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette

et le questionne naïvement sur ses agissements ( « pourquoi cette ruine […]sage » v.14) Le champ lexical que La Fontaine emploie pour le philosophe est celui de la mort et de la destruction, comme par exemple « la faux du Temps » (v.17), « noir rivage » (v.18), « universel abatis » (v.24). Les comparaisons consacrées au philosophe le dévalorisent; à titre d’exemple « ce scythe exprime bien un indiscret stoïcien », l’assimilent aux stoïciens, philosophes partisans de la suppression des passions

l'illustre Déesse Kalypsô le reconnut, car les Dieux immortels ne sont point inconnus les uns aux autres, même quand ils habitent, chacun, une demeure lointaine. Et Hermès ne vit pas dans la grotte le magnanime Odysseus, car celui-ci pleurait, assis sur le rivage ; et, déchirant son coeur de sanglots et de gémissements, il regardait la mer agitée et versait des larmes. [85] Mais l'illustre Déesse Kalypsô interrogea Herméias , étant assise sur un thrône splendide : - Pourquoi es-tu venu vers moi, Herméias

naissance de Vénus, Sandro Botticelli a. Description Femme dans un coquillage sur un rivage entourée de 3 personnes. b. Analyse esthétique * Utilisation de couleurs pastelles * Incohérence au niveau de l’anatomie et des proportions * Les personnages flottent dans l’air * Vénus dans la position du chiasme c. Interprétation Représentation de la naissance de Vénus poussée par les vents sur le rivage et accueillie par une servante. Cette peinture reste énigmatique, principale raison de

Alphonse de Lamartine, Méditation poétiques (1820) Ce poème est inspiré du lac du Bourget, en Savoie. Il parle de l’amour de Lamartine pour Julie Charles, ils se sont promis de se retrouver près de ce lac. Le lac Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir

car il s’agit de traductions de Corinne Atlan, toutes éditées par l’édition du Seuil) à l’endroit d’expressions murakamiennes. Comme corpus, nous prenons les métaphores tirées des trois romans, Danse, danse, danse, La fin des temps et Kafka sur le rivage. 0. Distinction des cas À l’occasion de cette étude, je vous propose de distinguer quatre catégories de traductions des métaphores de Murakami, qui sont respectivement ; 1. Métaphores supprimées dans la traduction 2. Métaphores raccourcies

fixer la trace ? » (v. 43)  Traduit son désespoir devant ce constat d’impuissance : L’homme subit le joug impitoyable du temps. constate ses effets néfastes 1. Métaphore filée + allongement du vers dû aux fréquents enjambements a) « nouveaux rivages » (v. 3), « emportés sans retour » (v. 4), « l’océan des âges » (v. 5), « Coulez, coulez » (v. 28) b) toutes les strophes où l’on entend la voix du poète, évident dès les premières strophes  Analogie avec l’eau dévoile la nature fuyante du temps

Indes. b. L'Amérique. En 1500, le navigateur florentin Amérigo Vespucci dirige une exploration à l'ouest de l'Orénoque. La même année, le portugais Alvarès Cabral se laisse pousser par l'alizé vers le sud-ouest et aborde un rivage inconnu où il trouve des bois de teinture rouge (brazil : couleur de braise). Il reprend sa destination primitive pour rejoindre l’Inde par l’Est. En 1504 et 1505, Amerigo Vespucci prétend que l'on se trouve en présence d'un « nouveau monde »