Rivage

comme moi." Domingue et moi nous retirâmes des flots le malheureux Paul sans connaissance, rendant le sang par la bouche et par les oreilles. Le gouverneur le fit mettre entre les mains des chirurgiens ; et nous cherchâmes de notre côté le long du rivage si la mer n’y apporterait point le corps de Virginie : mais le vent ayant tourné subitement, comme il arrive dans les ouragans, nous eûmes le chagrin de penser que nous ne pourrions pas même rendre à cette fille infortunée les devoirs de la sépulture

plu. Le Lac Illustration de F.Dehane en 2006 pour « Le Lac » « Ö temps, suspends ton vol, et vous heures propices, suspendez votre cours. » Alphonse de Lamartine – Les Méditations poétiques Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? Ô lac ! L’année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! Je viens seul m'asseoir

échanger des liens et des affinités puisque notre héros avait disparu près de 20 ans dont 10 ans d’errance. De plus, avant d’avoir échoué en phéacie, ‘’Ulysse fils de Laërte enfant de Zeus ‘’ avait du subir 20 jours de tempête de mer. Ils appréhende le rivage sur lequel il est échoué pensant trouver, de nouveau ‘’ ‘’ des brutes, des sauvages sans justice’’ mais ils rencontrent les Phéaciens qui l’accueillent chaleureusement. Ulysse réintègre donc, après 10 ans d’errance une communauté. Cela permet aussi

nous en aller sous les arbres profonds ?Elle essuya ses pieds à l'herbe de la rive ;Elle me regarda pour la seconde fois,Et la belle folâtre alors devint pensive.Oh ! comme les oiseaux chantaient au fond des bois !Comme l'eau caressait doucement le rivage !Je vis venir à moi, dans les grands roseaux verts,La belle fille heureuse, effarée et sauvage,Ses cheveux dans ses yeux, et riant au travers. Introduction Victor Hugo a rythmé de ses créations poétiques au courant du XIXème siècle. Après le

Buenos Aires au Paraguay * Du Paraguay à chez les Oreillons * Des Oreillons à l’ELDORADO * De l’ELDORADO à Surinam * De Surinam à Venise en passant par la France et l’Angleterre * De Venise à Constantinople en passant par les Rivages de la Propontide 3 – Les Conséquences du Voyage dans Candide a – Conséquences Négatives b – Conséquences Positives CONCLUSION GENERALE INTRODUCTION Le roman soumis à notre étude est une œuvre de la littérature

LES LITTORAUX TOURISTIQUES DANS LE MONDE Introduction Le littoral est l’espace de contact, l’interface, entre la terre et a mer : il est constitué d’un rivage, d’un avant-pays marin exploité, d’un arrière-pays continental dont les paysages , les aménagements et les activités sont fortement marqués par la présence de la mer. Aujourd’hui, près de la moitié de l’humanité vit sur une bande côtière d’environ 50 kilomètres de large. La mondialisation des échanges, l’industrialisation des côtes et l’essor

voire répétitif. La syntaxe n'est pas complexe. Seul lechamp lexical de la nature est présent : "joncs", "arbre", "oiseau", "bois", "eau", "rivage". Toute autre trace d'humanité a disparu, faisant de ce couple un couple édénique. En revanche on assiste à une présentation anthropomorphique, à une personnification de la nature : "Comme l'au caressait doucement le rivage". Cette représentation permet de montrer l'accord entre cette scène et la nature. 2 - L'accord entre la scène et la nature On remarque

répétitif. La syntaxe n'est pas complexe. Seul le champ lexical de la nature est présent : "joncs", "arbre", "oiseau», «bois", "eau", "rivage". Toute autre trace d'humanité a disparu, faisant de ce couple un couple édénique. En revanche on assiste à une présentation anthropomorphique, à une personnification de la nature : "Comme l'eau caressait doucement le rivage". Cette représentation permet de montrer l’accord entre cette scène et la nature. 2 - L'accord entre la scène et la nature On remarque

respire ». Le lien entre l'odeur et la vision est étroit, de même que « rivage heureux » est mis en parallèle avec « sein chaleureux ». On peut donc dire que la vision exotique remplace le contact sensuel : la femme disparaît au profit du paysage, elle devient le prétexte à la rêverie, elle est la médiatrice et ne réapparaîtra qu'au v9, 1° T, « guidé par ton odeur » Cette vision a quelque chose de paradisiaque : les rivages heureux, les feux éblouissants, le soleil omniprésent, monotone, dans le

expliquera-t-il plus tard, mais il était absolument impossible de prévoir sur quoi allait déboucher cette attente très anxieuse[28]. » Cette période très particulière d'une guerre déjà déclarée mais pas encore commencée lui fournira la matière du Rivage des Syrtes (1951) et du Balcon en forêt (1958)[29]. Louis Poirier est mobilisé à la fin du mois d'août 1939 dans l'infanterie, avec le grade de lieutenant au 137e régiment. Le régiment, d'abord cantonné à Quimper, est envoyé à Dunkerque, puis en