Risque financier

indirecte grâce au développement d’un marché financier « supranational » indépendant des marchés financiers nationaux. Au début des années 1980 et de la libéralisation financière des EU, l’intégration financière progresse en répondant à une autre logique  rapprochement direct des marchés nationaux. Henry Bourguinat (en 1999) la définit « le processus de mise en communication de plus en plus poussée des marchés nationaux de capitaux qui conduit à un marché financier mondial en voie d’unification croissante »

septembre 2008 marque un tournant dans la crise financière apparue pendant l'été 2007 aux États-Unis. Comment expliquer un tel effondrement du système financier mondial ? Depuis l’été 2007, le système financier international traverse une des plus graves crises depuis 1929. Le premier signal en est lancé le 17 juillet par un établissement financier américain, Bear Stearns, qui annonce alors la forte perte de valeur de ses fonds du fait des subprimes. Toutefois, l’évènement majeur de cette crise qui

de produits d'assurance via les guichets de banques : bancassurance Qu'en est-il de cette activité en Algérie ? Hamid H. Conseiller auprès de la Direction Générale - COMPAGNIE ALGERIENNE DES ASSURANCES - CAAT Le décloisonnement des services financiers n'a été que partiel en Algérie puisque seules les banques ont été autorisées à vendre des produits d'assurance (bancassurance) mais pas les sociétés d'assurance qui auraient pût vendre, elles aussi, des produits bancaires (Assurbanque) et faire

le risque systémique subséquent. J'insisterai aussi sur la suprématie de la logique financière résultante de l'exposition croissante aux marchés (OPA, OPE...), la recherche de rendements plus importants pour les entreprises au détriment des investissements, le gonflement artificiel des dividendes, la spéculation sur les monnaies qui pénalise parfois les entreprises (Airbus). La logique financière induit forcément des bouleversements sur l'économie réelle (participations croisées). Un risque de destabilisation

elles d’où de problème de liquidité au seins de marchés. Cette crise a fait soulever des besoins d’encadrement des banques afin d’éviter de nouvelles dérives pouvant contaminer l’ensemble du système bancaire mondial. Pour stabiliser ce système financier, la supervision bancaire s’est révélé nécessaire afin de répondre à la mise en place de règle permettant de nouvelles crises. Dans un premier temps, nous analyserons les besoins de supervisions qui ont été crée par l’UE afin d’évoquer dans une deuxième

qualité des fonds propres 3.2 Renforcement du niveau des fonds propres 3.3 Maîtrise de l’effet de levier 3.4 Amélioration de la gestion de la liquidité 3.4.1 Ratio de liquidité à court terme 3.4.2 Ratio de liquidité à long terme 3.5 Couverture des risques du portefeuille de négociation 8 9 5 6 7 7 … qui doivent permettre de créer les conditions de la stabilité financière… 3 3 4 4 Les évolutions réglementaires en cours sont un sujet de préoccupation majeur évoqué par les banques et rendent

Sujet : La diversification permet-elle de limiter le risque de perte en capital ? Résumé La théorie moderne du portefeuille fait de la diversification un des principes fondamentaux de la gestion d’actifs. Nous montrons d’abord en quoi la constitution d’un portefeuille diversifié est plus efficiente que l’investissement dans des titres isolés. Cependant, l’appréciation de la corrélation, élément-clé de l’exercice de diversification, est délicate. Se pose en particulier le problème de fonder

3 Principales mesures 4 3.1 Amélioration de la qualité des fonds propres 4 3.2 Renforcement du niveau des fonds propres 5 3.3 Maîtrise de l’effet de levier 7 3.4.2 Ratio de liquidité à long terme 8 3.5 Couverture des risques du portefeuille de négociation 9 4 Calendrier de mise en oeuvre des mesures 2. Architecture de Bâle III 10 5 Chantiers à venir pour les établissements 8 Domaines d’expertise de KPMG Dans ce contexte, cette brochure vous présente

exceptionnelle Après le miniséisme boursier de l’été 2007, le tsunami financier s’est déclenché en septembre 2008 avec la faillite emblématique de Lehman Brothers le 15 du même mois. Les “secours d’urgence” ont été mis en place dès novembre, consolidés par un “G20” décisif début avril 2009, marquant le retour de la confiance avec l’annonce d’un montant de 5 000 milliards de dollars injectés dans l’économie. Ce choc financier sans précédent a mis brutalement un terme à quatre ans de croissance mondiale

correction… En 2008, c’est la hausse de l’immobilier et une politique de taux bas qui incité des banquiers à prêter à des ménages dont la solvabilité pouvait être discutée. A cela s’est ajoutée une pseudo-dilution des risques au travers de la titrisation. Bref, une perte de la notion de risque semble être à l’origine de ces 2 crises. Pour autant, il serait par trop simpliste de considérer ces 2 crises comme identiques car elles divergent sur de nombreux point que nous allons maintenant aborder. II