Rire

Corrigé de la dissertation : pensez-vous que l’on puisse traiter de sujets graves et sérieux sur le mode plaisant ou humoristique « Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer », dit Figaro à son maître dans Le barbier de Séville.Il prend ainsi les évènements douloureux de sa vie avec détachement et en plaisantant, le recul aidant à mieux supporter les difficultés.Mais Figaro est un personnage de théâtre, de fiction : ses préceptes sont-ils applicables dans la vie réelle 

récepteur, qui peut réagir par le rire devant un lapsus dans la production langagière de son interlocuteur. Le locuteur, ou le scripteur, n’a pas cherché à produire un effet comique. Il se peut même qu’il ne se rende pas compte de son lapsus, si ce n’est par le rire qu’il a provoqué. Ex : « Au bois de de mon cœur » qui est appelé vulgairement une « coquille ». La plupart des fautes sont gênantes mais n’empêchent pas la compréhension et donc ne provoquent pas le rire. Ex2 : « Blongé » au lieu de « Plongé » ;

soleils Me font rire, pleurer et rire, Parler sans avoir rien à dire. Paul Eluard, in Capitale de la douleur (1923). # Ce poème est toujours aussi beau. Et puis, c’est marrant car c’est un peu le sujet de ton blog finalement! “Rire Débattre S’étonner Partager Etre heureux” n’est pas si éloigné du dernier paragraphe : “Elle a toujours les yeux ouverts Et ne me laisse pas dormir. Ses rêves en pleine lumière Font s’évaporer les soleils Me font rire, pleurer et rire, Parler sans avoir

humaines » ? Les valeurs humaines : -l’amour (le baiser N/N : échec alors qu’ils s’aiment + pas de gestes affectifs entre H/C alors que relation père/fils page 18) -le rire (la blague N/N ne fait plus rire Nell : échec p 34 + cf. pouffons ensemble : échec transition... -le langage / les paroles : rupture du rire avec le public + conversations répétitives -le déplacement -> la bipédie -les sens -> vue (aveugle + vue qui baisse p. 28), ouï (parler plus fort p. 29 + crier), touché

au cours de certains jeux de scène est d’une efficacité telle que les spectateurs sont amenés à communiquer entre eux, ou les rire communicatif dans certaines situations cocasses montre à quel point le public peut rendre réelle cette situation. Les acteurs, avant tout humain, sont trahit par leur attitudes spontanée : transpiration, rougeur, lapsus, trou de mémoire, fou rire, qui authentifie l’émotion aux yeux du public et rend l’action réelle. Le théâtre n’est donc pas une piètre imitation du réel

fois elle fut posée, mais jamais véritablement résolue. Il est temps de prendre le taureau, que dis-je, la vache par les cornes et de nous pencher sérieusement sur cette obscure énigme. Tout d’abord, l’hypothèse la plus évidente pour expliquer le rire intrigant de notre vache est la suivante : c’est une vache folle. La vie morne et paisible d’une vache se résumant à la mastication de kilos d’herbe, transformés soit en lait, soit en bouses et flatulences au détriment de la couche d’ozone, pourquoi

confus et forcés, s’ils l’apercevaient, de rire indécemment. Un jour le bourreau vint, et Gwynplaine le fit rire. On voyait Gwynplaine, on se tenait les côtes ; il parlait, on se roulait à terre. Il était le pôle opposé du chagrin. Spleen était à un bout, et Gwynplaine à l’autre. Aussi était-il parvenu rapidement, dans les champs de foire et dans les carrefours, à une fort satisfaisante renommée d’homme horrible. C’est en riant que Guynplaine faisait rire. Et pourtant il ne riait pas. Sa face riait

Tous ont leur propre idée sur ce sujet, et leur propre manière d’en parler. Pour nous faire réfléchir sur la mort, la littérature peut choisir de faire rire ou de susciter la pitié. Selon vous, laquelle de ces deux voix et la plus favorable à la réflexion ? La réponse de cette question est constituée de trois parties, la littérature à travers le rire, à travers la pitié et enfin, nous verrons quelle voix et la plus favorable. L’humour est considéré comme un « passe-temps », quelque chose qui casse

fait penser à Clown, clown et auguste) Maître / valet (comédie) [Don Juan, Figaro, .. ] * Mise en abyme, théâtre dans le théâtre -> Clov s'adresse au public : p.43 "J'ai fait exprès" "une foule en délire" -> avec les objets il veut faire rire,lunette + escabeau = jeu clownesque = comique de gestes * Petits passages qui ressemblent à des sketches : puce, scène du chien. 2) Le langage * Beckett utilise beaucoup de jeux de mots : paronomases ("sans Hamm pas de home", "coite / coîte"

c’est au diable qu’on attribuait plutôt le rire. Mais aujourd’hui, celui-ci est réhabilité, au cœur même du religieux. Il ne s’agit donc pas dans ce numéro de la satire religieuse, mais du rire des croyants. Y a-t-il un concept théologique de l’humour qui traverse les religions ? Quelles en sont les formes d’Orient en Occident et d’hier à aujourd’hui ? Cette exploration dans le temps et l’espace fait l’objet du recueil. Au sommaire : B. Sarrazin, "Le rire et le sacré d’Orient en Occident" ; J. Deperne