Rire et Châtiment

comporte réellement des passages comiques et dramatiques. 1) Fin de Dom Juan 
 • Image traditionnel de l'enfer: champ lexical. du feu 
*souffrance : interjection, ponctuation très dense 
*didascalie: mise en scène spectaculaire. 
-->Mélange de châtiment chrétien et de foudre païenne • Commandeur: homme tué, père des jeunes filles, ou Dieu le Père (Deus ex Machina) 
Dénouent = vengeance divine • [Refus des commandements: • 1:croire en Dieu (Acte II Scène 1 : «Je crois que 2 et 2 sont 4») •

par Euripide ] Evocat° du dîner *transgress°: communicat° interdite *comportement épicuriste libertin (le bien vivre) *provocation: ne peut plus goûter Insistance de Dom Juan, accepte le défi du mort --> La sentence tombe: châtiment faisant échos au début de la scène 5. -->Tous ces artifices spectaculaires font de ces scènes finales un passage marqué par l'outrance baroque. II)Le dénouement C'est une tragi-comédie, que Molière a sans doute appelée comédie

sont elles reliées entre elles : liaisons logiques, chronologique, effet de contraste ou d’opposition... ? C’est un poème très long, subdivisé en neuf parties lesquelles correspondent à peu de choses près au six parties de l’œuvre intégrale des Châtiments. L’examen de ces neuf parties permet de dégager une structure d’ensemble cohérente. Le poème repose sur une structure narrative dont l’événement essentiel est le coup d’état de Napoléon. Examinons en premier lieu la progression chronologique , et

PRESENTATION ORALE N°1 : JOYEUSE VIE, LES CHÂTIMENTS INTRODUCTION Hugo écrit ce recueil durant son exil de 18 ans ds ls iles anglo-normandes Publié : 5 septembre 1870 après son retour des iles Hugo était fortement opposé a toutes le actions de napoléon durant l’exil L’œuvre dénonce ttes les act° de Nap dès lors qu’il s’autoreconduit a la tete du gouv par un cp d’etat L’extrait de Joyeuses vie : Les Châtiments livre III-9 vers 91-120 LECTURE … STRUCTURES Idée Générale : opposition forte

mort, de par sa présence, laissera toujours au moins une once de pathétisme, de par le rejet évident de la mort, il serait réducteur de la limiter à cela. Elle porte en effet en elle d’autres fonctions. La mort peut par exemple être une morale, un châtiment, quelque chose de mérité donc et qui ne portera pas cette pitié si chère au registre pathétique. C’est le cas dans Dom Juan de Molière. Même si la pièce est ambiguë du début à la fin, on peut voir en la mort de Don Juan la mort mérité d’un homme

familière, voire grossière. * Spectateur invité à rire (en raison du ridicule, ou des défauts des personnages) mais invite aussi à la réfléxion sur une question morale ou sociale. * Les registres privilégiés sont le comique, le satirique et le burlesque. * Les conflits : caractère trop excessifs d’un personnage ou préoccupations matérielles… (L’argent est important dans la comédie) * Il existe différents procédés pour provoquer le rire : le comique de mots, de gestes, de situation, de

l’extrait dans le genre farcesque tout en amorçant la réflexion grâce à la satire. Le deuxième mouvement du texte se concentre sur le châtiment de Gargantua jouant le rôle de justicier.II. La vengeance de Gargantua (lignes 9 à 14)▶À la violence du harcèlement des curieux s’oppose le sourire du géant, ce qui atténue la cruauté du châtiment imposé : c’est par le rire que le géant se libère des oppresseurs.▶Cet épisode traduit le

Nous avons ici au poème qui ouvre le livre VII des Châtiments mais aussi le dernier intitullé « les sauveurs se sauveront ». Hugo décide de reprendre la parole pour annoncer l’avenir et donne au 7ème livre une valeur prophétique .A travers le poème « sonnez, sonnez toujours clairons de ma pensée » le poète amorce le mouvement final du recueil. Ainsi, Hugo a choisi de conserver le prénom du héros, le contexte et l'histoire et son contenu. Cependant il a choisi de ne raconter que le dernier jour (7ème

d'un commandeur que Don Juan a tué avant le debut de la pièce. En quoi cette pièce fait-elle preuve d'originalité? Nous allons répondre a cette question en abordant d'abord le châtiment divin qui fait appel au surnaturel ensuite la fin ambigüe de cette pièce. En effet, cette comédie met en scène un châtiment divin dans laquelle le lecteur/spectateur assiste à une mort violente dans laquelle Don Juan est tiré vers les Enfers. Quelques scènes auparavant (Acte III, Scène 5), le héro et

« La Loreley » v.1 – v. 26 : proposition d’explication linéaireMouvement 1 : Le portrait d'une héroïne ambiguë (v1-2)v1-2 : Nous avons avec l'emploi de l'imparfait de l'indicatif la description de la situation initiale de l'héroïne de ce récit. Un portrait physique ambigu qui emprunte les codes du conte merveilleux :* La tournure impersonnelle «  Il y avait » : formule habituelle des contes souvent associée au fameux « Jadis/ autrefois... ». * Substitution du lieu au temps :