Rimbaud Chair Et Soleil

___________________________________________________________________ Spleen Les Fleurs du Mal Introduction Baudelaire, à partir du milieu du XIX ème siècle, met en forme le style qu'est le symbolisme. Il en est le maître incontesté, et Rimbaud ira même jusqu'à le qualifier de " dieu ". Baudelaire crée donc cette école nouvelle, mais est encore grandement inspiré par le romantisme dont il s'inspire. Le symbolisme est l'ext ériorisation de ses sentiments. Baudelaire, et ce texte le prouve

CHARLES D’ORLEANS le prince poète : poème prend le rythme d’une chanson : Le temps a laissié son manteau De vent, de froidure et de pluye Et s’est vestu de de brouderie De soleil luyant, cler et beau. Le temps devient une figure vivante, tient autant qu’à son naturel, à la pointe de mélancolie Double mouvement dont l’héritage sera revendiqué par les grands rhétoriqueurs : - subjectif et allégorique - réaliste et

G. Cadou “Hélène” (p.226-227, manuel Français Livre Unique 3ème Hatier) Analyse du poème. Repérage des champs lexicaux et métaphores. séance 3 ODL Notions de versification : mesure du vers, rimes et rythme Supports : « Le Dormeur du val », de Rimbaud + exercices d’application sur des extraits de poèmes d’Aragon, Apollinaire et Eluard Cours mené à l’aide d’un TBI (tableau blanc interactif) séance 4 lecture Le lyrisme africain de Senghor : “Femme noire” Senghor “Femme noire” (p.75 A mots ouverts

| |séance 3 |Notions de versification : mesure |Supports : « Le Dormeur du |Cours mené à l’aide d’un TBI (tableau blanc interactif) | | |du vers, rimes et rythme |val », de Rimbaud + exercices| | |ODL | |d’application sur des | | |

au Θ la sauvagerie du spectateur, son canibalisme sur un plan non pas extérieur mais intérieur ». Pulsions out. Spectacle où les mots sans cesse confrontés aux gestes, aux sons, aux lumières dans une sorte d'application théâtrale des Paroles de Rimbaud dans Une saison en enfer. A la base du Θ se trouve la transe et la danse. Veut rappeler la rythmique du corps. Proposition d'une sortie du régime logocentrique. Conteste tradition judéo-chrétienne de la primauté du Verbe, et actualisation du verbe

grand reposoir. Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige, Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ; Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige. Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir, Du passé lumineux recueille tout vestige ! Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige... Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir ! LECTURES COMPLEMENTAIRES : « JE NE SAIS COMMENT JE DURE… » Rondeaux, Christine de

l'entretien 15 19 23 28 31 35 38 42 Montaigne (1) Montaigne (2) Diderot, Bougainville Voltaire, L'Ingénu Nouveau Apollinaire, « Zone » « Le Pont Mirabeau » « Mai » « La Prose du Transsibérien » Nouveau 47 Baudelaire, « Invitation au voyage » 51 Rimbaud, « le Bateau ivre » Nouveau 55 « Tu es plus belle… » 59 63 67 71 Dom Juan I, 2 III, 2 IV, 3 V, 2 76 Le Jeu de l'Amour et du Hasard I, 6 81 Amphitryon I, 2 (extrait) 87 Les Liaisons dangereuses 92 Bel-Ami (incipit) 94 Le Rouge et le Noir Nouveau

Cédille La poésie « Une peinture parlante ? » Lectures analytiques : Groupement de textes : VILLON, « Epitaphe Villon » BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal, XXII, « Parfum exotique » VERLAINE, Fêtes galantes, XV, « Mandoline » RIMBAUD, Illuminations, « Les Ponts » (manuel p 183) Textes, documents et activités complémentaires : 1° Sur les formes poétiques : Paul Valéry, Propos sur la poésie, « La marche comme la prose… » Une ballade : Charles d’Orléans, « Las ! Mort qui

fonctions de l’apologueProblématique choisie :-Réfléchir aux différentes formes de l’écriture poétique, qu’elle soit lyrique, engagée directement ou non, ou bien axée sur le langage poétique. | Texte 1 : Jean de SPONDE, Sonnets, (1597)Texte 2 : Arthur RIMBAUD, Poésies, « Le Dormeur du val », (1870).Texte 3 : Victor HUGO ,Les Châtiments, Livre II, 3, « Souvenir de la nuit du 4 », (1852).Texte 4 : Paul VERLAINE, Poèmes Saturniens, "Melancholia", VI, (1866). | -Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal, Tableaux

poétique qui ne se confond plus avec la référence à un objet bien défini, mais s’entoure des voiles de l’allusion, des associations qui se nouent entre les mots. Cependant, le partage essentiel est celui qui sépare, voire oppose, les héritiers de Rimbaud à ceux de Mallarmé. Ce clivage, indéniable, a été interprété de multiples façons. On y voit aujourd’hui la source de deux courants : a) rimbaldien, qui lie étroitement le travail de l’écriture au dérèglement de tous les sens, c’est-à-dire des significations