Rhapsodie

 Nous sommes en présence d'un poème intitulé Hymne au soleil issu du recueil Rhapsodies écrit par Pétrus Borel en 1832. Dans ce poème Pétrus Borel s'en prend à la bourgeoisie, et au romantisme lyrique. Ce poème appartient au XIXème siècle, il s'agit de la période du romantisme. Ce poème appartient donc au romantisme, un mouvement culturel apparu en Europe au cours du XIXème siècle, jusqu’aux années 1850. Il s’exprime dans la littérature, la peinture, la sculpture, la musique et la politique. Ce

action qui se déroule en temps limité: 40 jours. Mais le poète a étendu l'action en y introduisant des récits si bien que toutes les aventures ayant marqué le retour d'Ulysse (lequel dure 10 ans) sont racontées. Le récit se divise en 4 groupes de rhapsodies ou chants: – Les chants I à IV: consacrés à Télémaque le fils d'Ulysse. – Les chants V à XII: consacrés à Ulysse. Ils évoquent des aventures étranges et merveilleuses qui relèvent du genre du conte. Les principales sont celles d'Ulysse chez le

popularisant ainsi le chant scatté. Il y avait un marché plus important pour les groupes de jazz formés de musiciens blancs, comme le Jean Goldkette Orchstra et le Paul Whiteman Orchestra. En 1924, Whiteman passe commande à Gershwin pour son Rhapsodie in Blue qui sera joué pour la première fois par son orchestre. Les autres groupes influents furent les orchestres de Fletcher Henderson, Duke Ellington ( en résidence au "Cotton Club" à New-York dès 1927 ) et Hear Hines (à Chicago). Tous ces

le dégoût et le mépris que lui inspire une poésie ou un roman d’un caractère sombre et outré, il lance le mot: Pétrus Borel! et tout est dit. Le jugement est prononcé, l’auteur est foudroyé. Pétrus Borel, ou Champavert le Lycanthrope, auteur de Rhapsodies, de Contes immoraux et de Madame Putiphar, fut une des étoiles du sombre ciel romantique. […] Sans Pétrus Borel, il y aurait une lacune dans le Romantisme. […] Pour moi, j'avoue sincèrement, quand même j'y sentirais un ridicule, que j'ai toujours

et la sagesse ». Jean-Pierre Vernant le présente comme le principe qui « rend manifeste la dualité, la multiplicité incluse dans l'unité »[2]. Éros (Amour) et Himéros (Désir) accompagnent Aphrodite depuis sa naissance[3]. Dans la théogonie des Rhapsodies, qui est la théologie orphique, Éros est à l'origine de la création. Il nait de l'œuf cosmique issu de l'union de l'Éther et du Chaos. À la fois mâle et femelle, il a de nombreuses têtes d'animaux. Il engendre Nyx (la Nuit) et le monstre Échidna

IV. -Préface de Corneille : désigne son œuvre par une métaphore dépréciative : « un étrange monstre » : un amusement qui n’entre dans aucun cadre défini. Le « monstre » qualifie donc la construction de la pièce : « cousues ensemble » : une rhapsodie, manquant d’unité (le plus grand reproche à l’âge classique). Mais Corneille assume avec fierté cette monstruosité : l’excuse par sa réussite auprès du public. Désignera cette pièce comme un hapax dans son œuvre. -Jeu avec les genres : pastorale

Séance 2 : La structure de l’œuvre. 1) La structure générale du poème. C’est un poème de 12 114 vers qui, comme l’Iliade, est divisé en 24 chants que les anciens appelaient rhapsodies ou encore lettres. La division en chant date de la période Alexandrine. Malgré leurs différences de ton, l’Iliade et l’Odyssée ont un très grand point commun : les ellipses temporelles et narratives. L’Odyssée, c’est l’œuvre dans laquelle nous vivons la fin du voyage d’Ulysse ( 10 après la fin de l’Iliade

Lemoine) 9 ans de piano (niveau cycle 3) - BACH : Prélude et fugue en mi bémol majeur (1er livre du clavier bien tempéré) - BEETHOVEN : 1er mouvement de la sonate op.10 n°3 en ré majeur - CHOPIN : Etude op. 25 n°2 en fa mineur - BRAHMS : 2ème rhapsodie op.79 n°2 - GRANADOS : La jeune fille et le rossignol 10 ans de piano et au-delà - BEETHOVEN : 2ème et 3ème mouvement de la sonate op.81a en mi bémol majeur (« les adieux ») - CHOPIN : Etude op.10 n°5 en sol bémol majeur - CHOPIN : 3ème

Les larmes sont-elles de douleur ou de volupté ? Finalement la demande de pardon initiale semble céder le pas à la revendication du plaisir et à une indifférence par rapport au jugement et au regard des autres. Epigraphe tirée de « Doléance », Rhapsodies (1832) de Petrus Borel, poète romantique (1809-1859). Mais le poème évoque une autre référence : « Fantaisie » de Nerval qui faisait appel au phénomène de la « mémoire involontaire » théorisé par Proust. Mais ici, malgré le croisement des sensations

comme un clair de lune sur la grève. Je me rappelle les fastes du Couchant Où Koumba N'Dofène(3) voulait faire tailler son manteau royal. Je me rappelle les festins funèbres fumant du sang des troupeaux égorgés. Du bruit des querelles, des rhapsodies des griots(4) . Je me rappelle les voix païennes rythmant le Tantum Ergo, Et les processions et les palmes et les arcs de triomphe. Je me rappelle la danse des filles nubiles Les choeurs de lutte - oh! la danse finale des jeunes hommes,