Revenu national

premiers ‡ construire les seconds. ´†Les moyens de restaurer la prospÈritȆª, 1933 Les †deux vices marquants du monde contemporain o_ nous vivons sont le premier que le plein emploi n’y est pas assurÈ, le second que la rÈpartition de la fortune et du revenu y est arbitraire et manque d’ÈquitÈ. ThÈorie gÈnÈrale de l’emploi, de l’intÈrÍt et de la monnaie, 1936 ThÈorie gÈnÈrale de l’emploi, de l’intÈrÍt et de la monnaie La ThÈorie gÈnÈrale de l’emploi, de l’intÈrÍt et de la monnaie quitte les mains

constant. Si les deux revenus nationaux, réel et nominal restent constants, la création d’un nouvel équipement engendrera un gaspillage de ressources dans un premier temps. Dans un second temps, la substitution du capital nouveau au capital existant apportera un danger pour l’economie. Finalement, le capital peut être substitué au travail s’il résulte d’une réduction volontaire de la main-d’œuvre ou de la durée de travail. Le problème est que l’emploi est une fonction du revenu national sur une courte

dans le territoire) moins les exportations, les revenus (les ressources qui sortent du territoire). Si les ressources qui sortent du territoire sont égales ou supérieures à celles qui entrent, nous pouvons ainsi dire que l’économie se porte bien. Il y a trois méthodes complémentaires pour calculer le PIB : - Évaluation de la production : sommes des valeurs ajoutées + TVA + droit de douane – subventions à l’importation - Évaluation des revenus : rémunérations des salariés + impôts liés à

4/ Le fonctionnariat 2nd partie : Les limites de l’accroissement de la dette publique : Frein à la prospérité : 1/ Impact négatif directe sur la génération présente 2/ Impact négatif sur les générations futures 3/ Le respect des indicateurs nationaux / mondialisation des normes comptables : 4/ Le respect du Pacte de stabilité : Conclusion Q-59 : A partir de quand la croissance de la dette publique devient-elle problématique ? INTRODUCTION Depuis la crise financière fin 2008 (crise de confiance

agent économique). L’ensemble de l’économie nationale est constituée d’unités institutionnelles résidentes (= unité qui a un centre d’intérêt sur le territoire économique du pays). Territoire économique français = métropole + DOM. Secteur institutionnel (SI) = regroupement d’UI résidentes. 5 SI + 1 : - SNF : fonction principale = produire biens et services non financiers (= entreprise). 3 sous-secteurs : • SNF publique • SNF privée nationale • SNF sous contrôle étranger - SF : fonction

:  faut-il s'en réjouir ou la redouter? Préparé par les services du FMI 12 avril 2000 | |   | I | Introduction | II | Qu'est-ce que la mondialisation? | III | Croissance sans précédent et aggravation des inégalités : les tendances du revenu au XXe siècle | IV | Pays en développement : niveau d'intégration | V | La mondialisation accroît-elle la pauvreté et les inégalités? | VI | Comment les pays pauvres peuvent-ils combler plus rapidement leur retard? | VII | La mondialisation

comptabilité national représente de façon macroéconomique, des flux quantitatifs d'activités d' agents d'une économie nationale et des relations qu'ils entretiennent avec le reste du monde. Les acteurs concernés par ce système sont les secteurs institutionnels : unités regroupées, ayant des comportements économiques similaires par leurs fonctions principales et la nature de leur activité. Chaque secteur effectue des opérations selon leurs productions, l'utilisation de leurs revenus ou des opérations

quantité de biens et de services qu'un revenu donné permet d'acquérir. Pour un ménage, le pouvoir d'achat est la capacité d'achat que lui permet l'intégralité de ses revenus. Le pouvoir d'achat dépend donc du niveau des revenus et des prix. Les évolutions du pouvoir d’achat correspondent aux variations des revenus en valeur réelle (c’est-à-dire après correction des effets de l'inflation). Le pouvoir d'achat global d'un pays est égal à son revenu national brut. Le pouvoir d'achat des ménages

les inégalités de revenus ? Au début du XXe siècle, en France, les 10 % les plus aisés représentaient environ 40 % du revenu global, contre 33 % à la fin des années 1990. A long terme, les inégalités de revenu ont donc diminué. Sur une période plus récente, on constate que les inégalités de revenus se sont réduites au cours des années 1970 et jusqu'au tout début des années 1980. Mais on assiste aujourd'hui à un retournement de tendance. Le revenu primaire est constitué des revenus du travail et du

grandes catégories : - les impôts directs : prélevés directement sur les revenus ou sur le patrimoine ; - les impôts indirects : payés par le consommateur et reversés à l'État. b) les principaux impôts Les principaux impôts directs sont : - l'impôt sur le revenu : environ 20 % des recettes fiscales de l'État. Cet impôt est payé par les ménages sur leurs revenus de l'année écoulée. C'est un impôt progressif : les revenus sont découpés en tranches ; les tranches inférieures sont exonérées de