Retraite Discours Humour

vie par l'inégalité des richesses (1.12-13 + "comme il faut dîner")[+ ~Cl - + allusion au droit du seigneur dont sont victimes les vassaux (1.34 « et pour prix d’avoir eu par mes soins son épouse, il veut intercepter la mienne » dénonçant avec humour l’ingratitude d’Almaviva) 2. L'arbitraire des lettres de cachet: 1.14-17. Formule à l'irréel "je lui dirais" : Jeu sur l'absence de ces "puissants", mais la présence des spectateurs (entre autres, aristocrates, lors de la représentation de 1784)

l'actualité de son époque, n'a participé à aucun salon, et il est l'homme d'un seul livre – si l'on adjoint aux Caractères les annexes, Discours sur Théophraste, et Discours à l'Académie française. Jean de La Bruyère est né à Paris en août 1645 ; son père est un roturier, contrôleur général des rentes de l'Hôtel de Ville (même si La Bruyère affirme avec humour descendre des Croisades) ; à la mort de celui-ci, l'enfant est élevé par son oncle. Licencié en droit, il abandonne le barreau en 1673 ;

« Un tabou devenu sujet de comédie : la possible méchanceté des personnes âgées » (Etienne Chatiliez, "Tatie Danielle" (1990)) Comme le disait Etienne Chatiliez « L'intelligence sans humour est difficilement de la vraie intelligence », cette phrase illustre parfaitement son film « Tatie Danielle » sorti en 1990. Ce film traite, en effet avec beaucoup d’intelligence et d’humour sarcastique un sujet auparavant considéré comme tabou : la méchanceté des personnes âgées. Malgré ce sujet délicat

de ceux chez qui l'hypertrophie du paraître compense une carence de l'être. Voir par exemple comment l'hypocrisie royale du lion des Animaux malades de la peste est dénoncée dans la seconde partie de son discours (v. 25-29). L'effet comique est d'autant plus acéré que la première partie du discours du lion (v. 15-24) se déploie sur le ton héroï-comique. L'effet comique du burlesque repose sur l'usage dépréciatifs de termes "bas" et réalistes, voire triviaux : "gloutons", "moutons", "manger", "berger"

argumentatif, essais...), les genres dramatiques (Drame, tragédie, comédie), lyriques (élégie, hymne, ode), narratifs (conte, fable, légende, épopée, nouvelle, portrait, roman)- la forme de discours : est-ce argumentatif, explicatif, descriptif, narratif ?- les registres : les registres peuvent être comique (humour, ...), délibératif, didactique, épique, épidictique (éloge ou blâme), fantastique, lyrique et élégiaque, pathétique, polémique, satirique, tragique. - le mouvement du texte : comment s'articule

modes d’expression » particuliers, créent ce qu’il est convenu aujourd’hui d’appeler la « culture beur ». Cette culture, aux manifestations multiples et variées, a créée sa musique propre, son écriture littéraire, ses oeuvres cinématographiques, son humour et ses modes comportementaux. Elle exprime souvent le mal-être de cette génération de jeunes Français issus de l’immigration, en quête d’identité, qui sont partagés entre deux cultures : celle du pays d’origine et celle de la patrie de naissance.

Antoine (optimiste) L’intruse : Odile relève des faits surprenants dans son appartement (apparition…), son mari psychologiquement perturbé. Le faux : Aimée est la maitresse de son employeur, y est fortement attaché. Cependant lorsque il part a la retraite il se retire avec sa femme. Aimée change de comportement. Descente aux enfers Tout pour être heureuse : Isabelle a tout pour être heureuse à un mari riche mais ce dernier a une seconde vie qu’Isabelle découvre La princesse aux pieds nus : Fabio

sont en quelque sorte des otages du système. L’exemple actuel le plus flagrant est celui justement du réchauffement climatique. Il y a certes une volonté de la part de la population de ne pas détruire la planète, mais les politiques tiennent un faux discours. Rien n’est réellement fait politiquement pour que la situation actuelle change, mondialement. Par ailleurs, l’ambiance générale ainsi que les décors mais aussi le teint des personnages donc le travail fait sur le maquillage, nous rappelle l’esthétique

l'histoire du fils de Gargantua, « Pantagruel » (1532), sous le pseudonyme d'Alcofribas Nasier (anagramme de François Rabelais). Pantagruel est un personnage médiéval que Rabelais transforma en géant. Immense succès populaire, ce récit picaresque, tout en humour débridé et en imagination libre est condamné par la Sorbonne. Rabelais est cependant protégé par le futur Cardinal du Bellay, alors évêque de Paris, qui l'emmène à Rome en tant que médecin personnel en 1534. La même année, il écrit « Gargantua:

des images négatives :« un assemblage informe », « désespoir », « tourments » ; « Comment cela m'est-il arrivé ? Pourquoi ces choses et non pas d'autres ? Qui les a fixées sur ma tête ?». Figaro fait de la prison (comme Beaumarchais) : « pendant ma retraite économique » Figaro fait alors référence à son emprisonnement, par des images désignant l'emprisonnement, « je vois, du fond d'un fiacre baisser pour moi le pont d'un château fort » . On remarque aussi dans les didascalies que figaro a une situation