Retable

quatre fils, et perd sa mère en octobre 1491, et perd son père en aout 1494. Son père occupait une place plus que honorable en tant que artiste au sein de la société à Urbin, en effet il était lui aussi un peintre reconnu, il a réalisé de nombreux retables pour des églises. Il est aussi connu pour avoir rédigé une biographie en tercet du Duc Frédéric de Montefeltre, son commanditaire, œuvre qui est conservé au Vatican. On peut sans aucun doute penser que Raphael fit ses premières classes avec son

de Raphaël. o Dès 1500, à dix-sept ans, il commence à s’affirmer comme « magister ». Il n’est ainsi plus disciple d’un autre maître, mais maître lui-même. Cela lui confère le droit d'avoir un atelier, des aides et des élèves. Il peint le retable « le Couronnement du bienheureux Nicolas de Tolentino » pour l' église Sant'Agostino de Città di Castello, un tableau qu'il exécute avec l'aide d' Evangelista da Pian di Meleto, ancien assistant de son père. o Son premier chef d'œuvre peut

hommes. La nouvelle théologie des ordres prêcheurs est porté sur l’évangélisation. On le voit avec la répartitions des couvents qui entrent dans la ville. Les francisacains et les dominicains vont devenir des commanditaires de commandes d’œuvre, retables, fresques qu’ils font réaliser aprtout au XIII et XIV. Leur influence est très grande puisque elle cadre avec la nouvelle Eglise citadine ouverte et urbaine. Giotto, Madonne Ognisanti, 1310 Va illustrer au mieu cette humanisation dans les figures

Le retable connu sous le nom de « Polyptique de la Passion » (ou Polyptyque Orsini), a probablement été transféré à la chartreuse de Champmol, près de Dijon, à la fin du XIVè siècle. Avant d’être divisés puis acquis par les différents musées européens. Il était composé de 6 planches peintes à la tempera sur bois de peuplier de de 23,5 par 16,5 excepté une de 29,5 sur 20,4 - l'ange de l'Annonciation, la Vierge de l'Annonciation, la Crucifixion et la Déposition de la Croix se trouvent à Anvers depuis

triangle (centre du tableau) dans lequel on retrouve une intensification de la lumière et des éléments qui composent l’œuvre. Le centre rappelle les compositions pyramidales des peintures d'Histoire, les 3 parties peuvent rappeler les triptyques ou retables des églises... -la scène ne se passe ni à l’intérieur, ni à l’extérieur (cf tuiles en haut, fenêtre et cadre de porte, bâtiment en flamme..) elle peut se dérouler nulle parte et partout à la fois. Description et symboles Au premier plan : les

fixe, L’arrière-plan présente une explosion de feu. Enfin, dans la prédelle, des corps de soldats sont visibles ainsi que des rats dans ce qui ressemble à un tombeau. Je peux comparer cette œuvre avec l’œuvre de Matthias Grünewald qui ce nomme le retable d’Issenheim. (Car on parle également de mort de souffrance) Frida Kahlo : Biographie : Frida Kahlo est une peintre née au Mexique en 1907 et décédée en 1954. Son père est  allemand (Wilhelm Kahlo) et sa mère est mexicaine d'origine indienne

peintre a utilisé la technique ancestrale de la tempera également souvent utilisée pour les tableaux religieux. Elle est actuellement visible à la galerie Gemäldegalderie Neue Meister de Dresde. On peut par exemple la comparer au tableau religieux « Retable d'Issenheim » Biographie d’Otto Dix Otto Dix est né en 1891 à Untermhaus en Allemagne d’un père ouvrier et d’une ancienne poète. Elle fut en partie responsable de son éducation artistique avec son cousin, un peintre dans le studio duquel Otto

la sauvagerie des combats. -''Der Krieg (La guerre)'', triptyque, 1932, huile sur bois, panneau central : 204 x 204 cm, panneaux latéraux : 204 x 102 cm, prédelle : 60 x 204 cm, Musée de Dresde (Allemagne). Otto Dix reprend ici la tradition du retable, tableau sur bois composé de plusieurs panneaux mobiles. L’artiste montre clairement les ravages de la guerre. La dureté du panneau central, représentant des cadavres pourrissants, un squelette et un paysage dévasté, illustre sa propre expérience

donc complétement happé vers le christ, puisque tout mène à la lui, chaque ligne ( symbolique également présente ici, tout nous ramène à Jésus et son enseignement.) La composition montre un genre de triptyque, s’inspirant alors des compositions des retables médiévaux. La partie centrale montre les apôtres disposés en arc de cercle. L’éclairage est unifié. Masaccio tiens compte qu’il y a une fenêtre sur la droite de la peinture. Ainsi, il joue avec la lumière de la fenêtre pour éclairer sa peinture

dans ses bras un soldat blessé. *Sur le prédelle, le peintre inscrit dans ce format la représentation de ce qui semble être un caveau ou un cercueil collectif : des soldats allongés évoquent le corps du Christ mort représenté dans la prédelle du retable d'Issenheim. *Les couleurs utilisée par Otto Dix est limitée à des couleurs sombres : le noir, le marron, le gris. La couleur blanche, plus claire, est utilisée mais elle donne un aspect fantomatique aux soldats. Ces couleurs produisent un sentiment