Retable

Métropolis (La grande ville). Retable triptyque (1927/28). Les années 20, ce sont les années folles. Une vision mythique des années 20 en retient surtout l’époque de la beauté et du plaisir. C’est le jazz, la revue nègre, les cabarets, Sydney Bechet, le strip-tease, le strass, les paillettes. Mais celà n'est qu'une façade. L'envers du décors, c'est la réalité cruelle et sordide d'une époque contre laquelle vont s'engager les artistes. Cette réalité, Otto Dix va la peintre en 1928 à travers un triptyque

Heemskerck et l’humanisme. Une œuvre à penser. Musée des Beaux-Arts de Rennes Cette exposition-dossier est née de l’intention de renouveler le regard sur une œuvre majeure de la collection du musée des Beaux-Arts et restaurée à cette occasion : le retable Saint Luc peignant la Vierge. Elle présente également une seconde facette de l’œuvre d’Heemskerck, son œuvre graphique. Afin de restituer le tableau dans son contexte intellectuel et artistique, l’exposition présente un grand nombre de pièces, dont

{draw:frame} {draw:frame} {draw:frame} Triptyque Portinari A la fin XV ème, un peintre, Hugo Van der Goes, fut l'auteur d'un retable passant pour un véritable chef d'œuvre, le triptyque De L'adoration des bergers, dit de « Portinari ». Ce retable tant pour Vasari que pour des historiens de l'art contemporain de notre époque, constitue une des œuvres qui marqua de manière indélébile l'Histoire de la peinture Européenne. Et c'est bien entendu l'artiste lui même, Van der Goes, qui par sa créativité

donne du sens à ses œuvres è Archange qui crée le mouvement Conclusion : - rigueur et science de la perspective - perspective en représentation spatiale - perspective comme forme de récit (unités) Question : - étapes de l’évolution du retable ? - qu’est-ce qu’une sainte Conversation ? - au dessus de l’autel, grande évolution au XIVe et Xve mais destruction et dispersion aux XVIIIe et XIXe - Au départ juxtaposition de panneaux rassemblés par un cadre de bois sculpté (polyptique)

les reliques ne sont plus un prérequis à l’expression de la virtus des saints, les images se suffisent à elles-mêmes progressivement sans se substituer aux reliques. Images médiévales : Des images sur l’autel, les retables · Le lieu du sacré par excellence est l’autel et ce par le sacrement (manifestation efficace de la présence de Dieu. · L’autel est inaccessible voire invisible pour les laïcs

Le retable d’Issenheim-musée d’Unterlinden de Colmar. La crucifixion d’Issenheim. Matthias Grunewald aurait en réalité le nom de Mathis Gothart Nithart et serait né probablement à Wurtzbourg en Bavière vers 1475-1480 et mort à Halle en Saxe-Anhalt en 1528. Bien qu’étant l’un des plus grands Peintres allemands, il reste mal connu, son nom, sa date et son lieu de naissance ne sont pas sus avec précision. Ce Peintre est aussi un ingénieur hydraulique de la Renaissance. Il signe avec des initiales

préraphaélites. [pic] Le premier tableau que nous allons voir est le retable (=tableau peint et décoré que l'on place verticalement derrière un autel) de Simone Martini peint en 1333 intitulé L’Annonciation et deux saints. Nous pouvons voir que l’ange Gabriel est placé à la gauche de Marie ce qui marquera une tradition durant plusieurs siècles. L’art médiéval ici est parfaitement illustré car ce retable, exposé au Musée des Offices de Florence, en possède quasiment toutes les caractéristiques

cour de l’hôtel Gallo-romains Compte rendu thématique 1) L’œuvre choisie Retable Hauteur : 58cm ; Longueur : 376cm Ce retable date de du XIIIe siècle (vers 1265-1267). Il provient de la chapelle de la Vierge de l’abbaye Saint-Germer-de-Fly (Oise). Son auteur nous est inconnu. Il a été attribué au musée de Cluny en 1846. Comme beaucoup de retables d’autel du XIIIe siècle, ce retable se présente comme une grande pierre rectangulaire, avec un arc en plein cintre en son centre

jeunes enfants ou les personnes malades. Le baptême est devenue systèmatique après la naissance donc utilisation plus fréquente du baptême par infusion et non plus du baptème par immersion. Exemple, retable de Klosterneuburg par Nicolas de Verdun en 1181 (plus ancien exemple connu). Dans cette retable, Jean Baptiste n'impose plus seulement la main sur la tête du Christ mais verse de l'eau sur la tête du Christ à l'aide d'une fiole, le corps du Christ n'est plus immergé dans les eaux du Jourdain. Autre

particulier que le peintre réalise cette œuvre afin de rappeler l’extrême brutalité et la sauvagerie vécue pendant les conflit. Cette œuvre est une triptyque, elle rappelle la forme des retable de la renaissance que le peintre a choisie puisqu’il évoque avec son triptyque une œuvre majeur de la renaissance: le retable d’Issenheim de Mathias Grünewald. Première partie: description Dimension: panneau central 204*204cm, panneau latéraux 204*102 cm chacun Sur le volet de gauche, une roue apparait