Résurrection

Guillaume confie à son meilleur ami, Doudou, élève de cinquième comme lui, qu’il regarde de sa fenêtre, dans l’immeuble d’en face, une vieille dame qui écrit toutes les nuits. Lorsque sa lampe s’éteint, quelques minutes plus tard, étrangement, une jeune fille se glisse dehors. Cette nuit, Guillaume a décidé de lui parler. La jeune fille, qui ne doit pas avoir plus de quinze ans, porte des escarpins terriblement démodés. Guidé par le bruit de ses talons, le garçon pénètre, à sa suite, par une

Commentaire composé Le Second Empire, « cette étrange époque de folie et de honte » comme l'appelait Emile Zola. C'est pendant cette période qu'il situe l'histoire de Thérèse Raquin, un de ses premiers romans naturaliste, achevé en 1867. Dans le chapitre onze, Laurent noye Camille dans la Seine pour pouvoir vivre avec Thérèse, mais depuis, la victime hante l'assassin, et au chapitre vingt-cinq, dans le passage que nous allons étudier, ce dernier ne parvient pas à peindre autre chose que le visage

De la ligne 8 à 17, la lamentation et l’avarice sont mises en avant. Molière utilise les interjections « Hélas ! » (l.8) et « Euh ? » qui soulignent son désarroi face au vol dont il a été victime. L’emploi répété de pronom de la première personne « je » avec 6 occurrences (l.9,10,12,16) ainsi qu’avec les 16 occurrences des adjectifs possessifs : « me » (l.13), « ma » (l.10) et « mon »(l.8,9,10,13,16) reflète d’un travail sur soi-même, d’une analyse. Il utilise aussi des hyperboles comme « tout est

Molière, L’Avare, acte IV, scène 7 Harpagon (Il crie au voleur dès le jardin, et vient sans chapeau.) : Au voleur ! Au voleur ! A l’assassin ! Au meurtrier ! Justice, juste ciel ! Je suis perdu, je suis assassiné, on m’a coupé la gorge, on m’a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? Qu’est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N’est-il point là ? N’est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête. Rends-moi mon argent, coquin… (il se prend

 SCÈNE VII HARPAGON.Il crie au voleur dès le jardin, et vient sans chapeau..- Au voleur, au voleur, à l’assassin, au meurtrier. Justice, juste Ciel. Je suis perdu, je suis assassiné, on m’a coupé la gorge, on m’a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? qu’est-il devenu ? où est-il ? où se cache-t-il ? que ferai-je pour le trouver ? où courir ? où ne pas courir ? n’est-il point là ? n’est-il point ici ? qui est-ce ? Arrête. Rends-moi mon argent, coquin... (Il se prend lui-même le bras.) Ah, c’est

La guerre incontrôlable Alors que la technologie évolue sur Terre au fil des années, le Kigam, obnubilés par la paix, expérimentent de nouveau procédés scientifiques dans le but de pouvoir ramener à la vie, les défunts morts au combat. Les revenants d’outre-monde seraient alors les défenseurs de la paix, mais la réalisation de ce projet est de dure labeur pour les chercheurs. Toutefois, ils ne perdent pas espoir. Mais cependant, ils ne se doutent pas que l’ombre de la mort plane sur eux… 2481 :

extrait du cours de Christologie qui porte sur la résurrection de Jésus. La Christologie fait parti du deuxième trimestre du premier cycle. L'extrait qui suit est le 5ème point de ce cours qui en comporte 6. Le cours complet de Christologie fait 10 pages. L’extrait ci-dessous représente environ un tiers du cours. 5. La résurrection de Jésus-Christ. Lire Matthieu 28:1-20. Jésus dit: « Je suis la résurrection et la vie. » (Jean 11:25). La résurrection de Jésus-Christ est la doctrine de chaque disciple

de Daniel Pennac sur la lecture est exprimée entre autre par une opposition fondée sur des valeurs du christianisme. Bon j'ai trouvé trois éléments du livre qui sont relatifs au christianisme, soit les 10 commandements, le saint Graal et la résurrection de Lazare. Le problème est que je ne comprends pas trop la question posée par le professeur. Je ne vois pas en quoi pennac est opposé au christianisme, et quelles sont les valeurs qu'il mentionne? ceux qui ont lu le bouquin, merci de m'éclairer

Demande de livre gratuit www.nlmission.com 14 PRÉFACE inutile et incorrect de croire en la Croix de Jésus sans croire en Son baptême. C’est pour ça que l’apôtre Pierre a dit : “C’était le baptême qui vous sauve, à présent...par la résurrection de Jésus-Christ” (1 Pierre 3:21). Tout comme les gens qui ne croyaient pas en l’eau (du déluge) à l’époque de Noé ont péri, ceux qui, aujourd’hui, ne croient pas en l’eau - le baptême de Jésus - périront sans doute. La foi complète qui nous

enfants >>> http://www.prierenfamille.com/ - Document 216 – Le temps du Carême a une orientation très précise : c'est un temps de prière et de purification de nos âmes, en vue de nous préparer à la fête de Pâques, fête de la Résurrection de Jésus notre Sauveur. Résurrection dont nous avons à vivre nous-mêmes par une vie nouvelle, la vie des baptisés, des enfants de Dieu : mourir au péché et vivre pour Dieu, dans le Christ Jésus, notre Seigneur. (Rm 6, 11) Trois points précis sur lesquels faire porter