Respect

quelqu'un, c'est reconnaître sa valeur, sa dignité : en général, on respecte la personne humaine, qui est douée de liberté et de moralité. Or, qu'est-ce que la nature ? C'est l'ensemble des êtres animés et inanimés, qui ne sont pas le fruit de l'activité de l'homme (de la technique). On peut ainsi penser qu'il est possible de respecter la nature, puisqu'elle est associée à la vie et la survie de notre espèce. Mais si on respecte la nature, alors on ne peut pas en faire n'importe quoi (la nature

volonté plutôt que dans le corps humain. Cette tendance s’inversa lorsque l’on s’aperçut que la volonté n’apparaît que liée à un corps. « La loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à sa dignité de celle ci et garantie le respect de la vie humaine dés son commencement .» Cette loi bioéthique met alors en pratique ce principe. Elle fut insérée au code civil le 19 juillet 1994 par la loi n°94-653. Par sa valeur protectrice elle résout le problème de la défense de la personne

Le respect de la vie privée sur internet Introduction :Internet aujourd'hui est un espace d'échange et de communication publique or il est difficile de faire régner la loi sur la toile et d'y garantir le droit(notamment celui de la vie privée). De plus aujourd'hui encore il n'y a pas de code de l'informatique qui permettrai de concentrer les lois relatives a cet espace même si l'affaire SAFARI fait surgir une loi de « l'informatique et libertés » la lutte est rendu difficile par le fait que internet

alors toujours respecter les lois ? Il n'y a pas que les lois qui sont bonnes ou mauvaises. C'est aussi notre façon de les respecter ou de les refuser qui est d’autant plus important. Au fil de cette réflexion, nous verrons qu’à première vue, il faut obéir à la loi car par définition nous sommes obligés d’y obéir. Par contre, si nous sommes face à une loi autoritaire et injuste, il ne faudrait pas y obéir. Tout d’abord, la grande majorité des hommes ne se pose pas la question du respect des lois.

ou des comportements dégradants), la police militaire vous interroge chacun à votre tour. La consigne est de ne rien dire. Pourtant, il faut adopter des mesures pour améliorer le comportement des militaires (changer la culture de l’armé) et faire respecter la loi, l’ordre, la discipline et la moralité. De plus, il faut refaire l’image des soldats dans l ‘opinion publique. Un de vos collègues a été suspendu pour avoir fait des révélations. Rendez-vous sa défense publiquement ? Utilitarisme et Kant

Il existe bien une charte du journalisme, qui fixe des devoirs aux journalistes, le premier d’entre eux étant de respecter la vérité, mais leur éthique est confrontée à d’autres enjeux. Cette éthique met tout d’abord en avant le nécessaire respect se la vérité ceux sur quoi s’accorde tous les documents. Cependant, la déontologie quand à elle reste assez floue. En effet, le code éthique peut être altérer par différents acteurs tels que la pression du temps mais également celui de la rédaction ; ensuite

bénéfiques pour moi. Il doit me respecter et respecter mes biens, ma religion, ma race, mon sexe etc.. Ces normes juridiques sont petit à petit intériorisées et deviennent des valeurs morales. Elles deviennent des valeurs « évidentes » aux yeux des individus et permettent de diminuer la violence et la peur. Avec autrui j'échange, j'échange mes opinions, j'échange ma culture, mon savoir-faire,mes connaissances et même des produits matériels. Je peux donc exiger du respect d'autrui, mais parfois cela n'est

le « respect ». « Respectez-vous les uns les autres », nous répète-t-on dans toutes les capitales d’Europe. Ce n’est qu’un mot qui bien souvent empêche chacun de progresser et dissimule un pauvre relativisme… Car enfin, ai-je à « respecter » la vision du monde que je ne partage pas, et que je considère comme fausse, voire rétrograde ? Il faut bien dissocier « respect de l’autre », de sa dignité d’être humain, et « respect des opinions », qui au fond s’opposent l’un à l’autre. Si je respecte vraiment

faut »). Selon Nietzsche, on ne dit jamais la vérité par respect pour la vérité, mais par intérêt et par commodité (mentir est plus compliqué que dire la vérité). Critique : ce perspectivisme ne risque-t-il pas de se transformer en cynisme ? III – Dire toujours mais pas toujours toute la vérité ? 1) Il faut toujours dire la vérité : il est difficile, voire contradictoire de renier ce principe ! Sinon, autant dire qu’il ne faut pas respecter la loi ! Simplement, l’universalité du principe n’implique

atteinte de la maladie d’Alzheimer et est porteuse d’une BMR urinaire, cette patiente est entrée pour une fracture diaphysaire du fémur droit sur matériel. Cette situation m’a fait me questionner sur ma pratique professionnelle et sur le fait de respecter ou non la prescription du médecin de contentionner Mme G. Le médecin a jugé que la contention allée être installée pour le bien de la patiente cependant je ne trouve cette méthode convenable pour Mme G. même si celle-ci est démente. Je vais donc