Requisitoire Contre Jean Valjean

Ruy Blas de Victor Hugo acte III scène 2 du début à « et s'armant de poignards » Problématique : en quoi la parole de Ruy Blas s'apparente t-elle à un réquisitoire contre les grands d'Espagne, pourquoi devient-il alors « sublime » ? Introduction : Le texte qui est présenté à notre étude est extrait du drame romantique Ruy Blas écrit par Victor Hugo au XIXème siècle. L'acte III débute par une discussion vive entre les ministres : ils se partagent les ressources de l'Espagne. Cet extrait

étrange et violent apparut sur le seuil. Trois hommes en tenaient un quatrième au collet. Les trois hommes étaient des gendarmes; l'autre était Jean Valjean. Un brigadier de gendarmerie, qui semblait conduire le groupe, était près de la porte. Il entra et s'avança vers l'évêque en faisant le salut militaire. -Monseigneur... dit-il. À ce mot Jean Valjean, qui était morne et semblait abattu, releva la tête d'un air stupéfait. -Monseigneur! murmura-t-il. Ce n'est donc pas le curé?... -Silence! dit

encadrer le texte. Conclusion: Hugo à voulu faire un roman réaliste. Il rend le condamné à mort sympathique (si , il avait voulu le rendre antipathique il aurait expliqué pourquoi il fut condamné à mort ). Hugo est contre la peine de mort ,ce roman est un plaidoyer contre la peine de mort. C' est un roman engagé. Commentaire : Roman de Victor Hugo (1802-1885), Le Dernier jour d’un condamné fut publié à Paris sans nom d’auteur en 1829. La 3e édition ajoute en ouverture une «espèce de préface

image de l’avenir, un personnage précurseur de jean Valjean dans Les Misérables 2/ « Ruy Blas une pièce engagée ? Une pièce doublement engagée sur le plan politique et littéraire Sur le plan politique : un contexte insurrectionnel contre le règne de Louis-Philippe qui ne répond pas aux attentes de changement des Français. Or cadre de la pièce = un règne décadent (Charles II) qui ne tient pas compte de la misère du peuple. • Un réquisitoire contre la noblesse : noblesse montrée comme dégénérée

Publié en 1829, Le Dernier jour d'un condamné de Victor Hugo (1801-1885) est un virulent réquisitoire* contre la peine de mort. Durant les derniers instants de sa vie, un homme consigne dans son journal ses pensées, ses impressions, son désespoir face à l'horreur de la guillotine. Les critiques trouvent l'oeuvre peu convaincante lors de sa parution. Trois ans plus tard, Victor Hugo rédige une préface pour une nouvelle édition dans laquelle il démontre que la peine capitale doit être abolie. On peut

une comparaison avec.... le TC au- dessous qui met en scène l'humiliation de Fantine, se prostituant pour permettre à sa fille de manger, humiliée par un homme et arrêtée par la police, et qui trouvera son salut grâce à l'amour et à l'action de Jean Valjean. *Syllepse La syllepse est une figure de style qui consiste à jouer sur la polysémie d'un mot en évoquant

son exécution. « Être en prison pour un crime n'empêche pas de commencer un autre crime. » écrivait Hugo en 1862 dans son livre Les Misérables. 30 ans plus tôt, en 1832, alors qu’il achevait d’écrire son réquisitoire contre la peine de mort Le dernier jour d’un condamné , il tombe sur un numéro de Gazette des tribunaux portant sur un dénommé Claude Gueux. Dès lors, l’écrivain engagé s’en saisi. 2 années plus tard

Dans l'histoire, une grande figure de l'engagement I – L'engagement politique de Victor Hugo A – Victor Hugo contre la peine de mort Ce combat contre la peine de mort, est sans doute le plus long, le plus constant et le plus fervent de tout ces combats. Mais c'est également le premier de tout les combats de Victor Hugo. Depuis son enfance, Victor Hugo est fortement impressionné par la vue d'un condamné transporté vers l'échafaud, sur la place de Burgos. Ainsi qu'à son adolescence, lors

personnage parle tout seul et qu’il nous permet d’accéder à ses pensées, ses sentiments. Aparté (masc.) : Paroles prononcées à l’insu d’un personnage dont souvent le public est le dentinaire. Son but est de faire rire/sourire, et nous dresser contre la personne contre qui on parle. 2ème Type "texte non dit" : texte destiné à être seulement lu et utilisé pour être mis en scène vocabulaire Les didascalies : indications de mis en scène notées par l’auteur dans son texte (souvent en italique). Les différents

reprises, prend le lecteur à témoin pour aboutir à des réflexions plus générales. Le poème, pris dans son intégralité, offre différentes étapes : un tableau précis, la complainte de la grand-mère, la réponse satirique du poète qui constitue un réquisitoire contre Napoléon III. Comment le poète arrive-t-il à rallier le lecteur à sa cause dans se poème ? I) La mise en place d'une atmosphère particulière. II) Dramatisation et tonalité pathétique. III) D'une scène réaliste à une scène à dimension sacrée