Republique Et Particularismes Religieux

avait de grands intérêts patrimoniaux, elle va développer son propre droit ! (= droit canonique/ canons : lois, règles de droit qui représentent la législation de l’Eglise). Ce droit canonique n’ayant pas un droit comme les autres, est un droit religieux, créé par l’Eglise. Un droit séculier n’envisage que la matérialité du monde. Le droit de l’Eglise est un instrument de l’Eglise. But de l’Eglise c’est d’aider les fidèles à obtenir ce qui est le plus important, le salut de l’âme. Elle favorise les

Théories contemporaines a) Démocratie, droit et démocratie délibérative b) Démocratie : pouvoir et justice PARTIE II : La démocratie comme moyen : justifications instrumentales A - La problématique de la représentation B - Démocratie ou république ? PARTIE III : Critiques et pratiques contemporaines A - Démocratie et représentation B - Démocratie et différences C - La démocratie contre le pouvoir Introduction Il y a 2 grdes perspectives de problématisation de la démocratie :

Chapitre 3 - Humanisme et Renaissance Boudier Aurélien - 2 e B - Page 1 I. La renaissance artistique A. L'art de la Renaissance, culture chrétienne et tradition antique 1. Les sujets religieux sont encore majoritaires La plupart des peintres des XV e et XVI e siècles s'inspirent de la tradition religieuse chrétienne. Leurs sujets d'étude portent sur les récits de l'Ancien et du Nouveau Testament. C'est le cas du peintre Véronèse qui réalise une toile mettant en scène le récit des Noces

solitaire. Ils sont sujets de droits hors de la société. Le droit des hommes n’existe pas seulement parce que seulement les hommes vivent en société. Il existe d’autres catégories de droits autres que celles de la société. C’est un phénomène religieux, philosophique. « Ubi societas ibi jus » : Aucune société ne peut vivre sans droit (même l’anarchie (Stroski)). Le Droit rend vivable et organise la société. Buts du Droit : - Paix sociale = ordre public. L’ordre public est garant de la

RELIGION ET SOCIEÉ TEÉ Retour sur Charlie Hebdo : Il n'existe pas de deé terminisme religieux des eé veé nements. Pour expliquer les causes, certains ont revendiqueé un droit au blaspheè me c'est-aè -dire le droit de ne pas se sentir lieé par ce qu'une religion impose aux individus. La liberteé d'expression est une liberteé totale qui inclut le droit au blaspheè me. Comment appréhender la place de l'Islam dans l'espace républicain ? Il n'existe pas de reconnaissances communautaires : on ne peut pas

modèle français » . . 1. Etude des notions d’intégration et d’assimilation . . 1.1 La menace de l’acculturation . . 1.2 Quelle politique d’intégration ? . . 2. L’identité française . . 2.1 Les crispations autour de l’identité. . . 2.2 La France, République indivisible . . 3. La citoyenneté comme identité . . 3.1 La citoyenneté comme garant de l’égalité . . 3.2 Le « modèle français » n’aboutit-il pas à une situation d’inégalité de facto? . . II – Sphère publique / sphère privée : la réponse communautaire

il met en avant la raison pure et nue, c'est la raison, instrument avec lequel on va progresser intellectuellement, épurer des passions, désirs et préjugés. Il faut faire abstraction de ces préférences. Descartes était un croyant, il était même religieux comme la quasi-totalité des auteurs de son époque et Descartes n'était pas un révolutionnaire, homme de cabinet, plutôt conservateur en matière politique. L'œuvre d'un auteur a une réalité et un avenir qui lui échappe. Descartes a été extrêmement

puissantes sociétés de géographie qui financent les explorations et publient leurs récits. -C’est de plus le temps des missionnaires : Nouvelle forme de vocation religieuse qui consiste à évangéliser des populations lointaines. Ils ont un rôle religieux mais aussi social puisqu’ils construisent des dispensaires et des écoles, comme les fameux « pères blancs » en Algérie. - le poids des chambres de commerce : de véritables groupes de pression qui militent pour la colonisation au nom des intérêts

société. La maîtrise de l'écrit devient de plus en plus nécessaire. Mais c'est aussi la main mise de l’Église sur les affaires scolaires, l'institution aussi bien en charge de la formation des têtes que de la formation des âmes, cette emprise du religieux ne cesse de croître depuis qu'avec l'empereur Constantin au 5ème siècle les romains ont adopté la religion chrétienne. Réservé à l'élite chez les grecques et les romains, une école un peu plus populaire apparaît donc au Moyen Age (appelé les petites

Grande Charte  Limitation du pouvoir du roi  Grand conseil  Parlement bicaméral - Au début du XVIIème siècle : Monarchie autoritaire 1628 – Rappel à l’ordre (Malgré ce rappel à l’ordre : toujours un régime autoritaire) - 1642 : Guerre civile  République - 1660 : Restauration de la monarchie et du rôle du parlement (Mais toujours un pouvoir absolu) - 1688 : Glorieuse révolution  1689 : Déclaration des droits  Démocratie avec – Séparation des pouvoirs - Droit de vote d’une partie de la population