Représentations Du Spleen De Baudelaire

1857, Charles Baudelaire publie Les Fleurs du mal. Le titre de la 1ère section de ce recueil, « Spleen et idéal », illustre la dichotomie qui déchire le poète, partagé entre ses élans vers un idéal perdu et la tentation du spleen. Dans « Une charogne », le lecteur est amené à réfléchir à une nouvelle conception de la poésie seule capable d’arracher les êtres aux contingences de la condition humaine. Ce poème contribua fortement au succès des Fleurs du Mal, à tel point que Baudelaire a pu même s'en

1903, il tient une rubrique dans la revue d’art dramatique. En 1904, il devient l’ami de Picasso et de Max Jacob. Cette rencontre va permettre l’élaboration du cubisme qui privilégie l’inspiration abstraite et géométrique au détriment de la représentation du réel. En 1907, il rencontre Marie Laurencin, en tombe amoureux et aura une liaison passionnée avec elle jusqu’en 1912. Elle le quittera en 1912 parce qu’elle ne supporte plus sa jalousie. En 1913, il s’installe boulevard St-Germain

la France Charles Baudelaire Les Fleurs du mal (1861) Petits poèmes en prose – Le Spleen de Paris (1869) suivi de Honoré de Balzac – Le Chef-d’œuvre inconnu (1831) Parti Communiste Marxiste-Léniniste-Maoïste de France 2 Perspectives culturelles 2 Présentation Il existe en France un gigantesque malentendu sur Charles Baudelaire, un malentendu exprimé par exemple en février 2012 par Marine Le Pen : « Le livre sur ma table de chevet, ce sont les Fleurs du mal de Baudelaire et je ne suis pas une

Baudelaire, Les Fleurs du Mal « A une passante » Analyse + Etude linéaire Le titre oxymorique « Les Fleurs du Mal », recueil le plus célèbre de B, sonne comme une provocation en 1857. Dans ce recueil, a la croisée de plusieurs mouvements littéraires : le Parnasse, le symbolisme et le romantisme. Il décrit sa descente aux enfers et son tiraillement entre le spleen et l’idéal, entre le sublime et le sordide. En 1861, la 2e édition des Fleurs du Mal s’est

plutôt ouvrir en faisant un lien simple avec une autre partie de l’œuvre, montrer une opposition de caractère d’un personnage, etc.… Puisque l’une des œuvres les plus techniques du lot c’est don juan, je te conseille de te renseigner sur les deux représentation (Bluwal et Delcampe) car elle peuvent être placée dans toute présentations et permettent de montrer que tu as fait quelques recherches par toi-même et ça fait toujours bien face à l’examinateur. De plus elles illustrent parfaitement le mythe de

le précèdent. La liberté est une notion centrale et elle se retrouve au cœur même du processus d'écriture (notamment dans les recherches formelles sur le vers libre). Si des courants antérieurs, comme le Parnasse, se réclamaient d'un art de la représentation, privilégiant par analogie la peinture, c'est le phénomène de suggestion qui se trouve au cœur de l'esthétique symboliste, et ce n'est plus la peinture qui est prise pour modèle mais la musique. En musique, Wagner, dont l'apport théorique sur

l’homme moderne. Baudelaire est un des pères fondateurs de la poésie moderne. La poésie romantique Alphonse de Lamartine, Alfred de Musset, Alfred de Vigny et Victor Hugo = principaux représentants du courant romantique. La place majeure faite aux sentiments amène les poètes à assouplir l’alexandrin en employant des rejets, en variant les rythmes. La révolution du poème en prose. Aloysius Bertrand (1807/1841) met en évidence l’importance qu’il accorde à la mise en page. Baudelaire est celui qui

langage. L’attention portée à la matérialité du signe notamment favorise une appropriation personnelle de la langue, l’invention d’une « parole » où s’inscrit la singularité d’un sujet. La séquence peut se centrer autour d’un poète : la poésie de Baudelaire telle qu’elle apparaît dans Les Fleurs du Mal, mais aussi Les Petits poèmes en prose, ou encore Fusées ou Mon cœur mis à nu, voire les écrits dits « critiques » que sont L’Art romantique ou les Curiosités esthétiques... Ou encore : pourquoi la prose

les écrivains de la seconde moitié du 17ème siècle, notamment Racine, La Fontaine, Bossuet et Molière. Dans le théâtre, Molière se plait à critiquer l'imposture et la fausse dévotion. Sa pièce Dom Juan jouée en 1665 eut un gros succès mais sa représentation fut rapidement retirée et censurée. Dom Juan, représenté à la première scène par son valet Sganarelle est dépeint comme un coureur de jupons. Lorsque son maître arrive, il s'empresse de changer de discours mais ne peut s'empêcher de le blâmer

qu’elle représente, la saisie du poème est linéaire, jouant ainsi sur l’effet de retardement et de surprise. Une dénonciation de l’absurdité de la mort et de la guerre La révélation de la mort est déroutante : on s’attendrait plutôt à une représentation sanglante, violente et dramatique des désastres de la guerre. Bien que Rimbaud se place dans la lignée des poèmes antimilitaristes on ne trouve chez lui ni satire, ni dénonciation directe mais une simple description (« c’est un trou de verdure »)